ARCHIVES des
BILLETS SANTE DE LA QUINZAINE
Années 2018 - 2017 - 2016
NOTE : Les articles ci-dessous sont à visée informative et ne sauraient se substituer à un avis médical.
2e Quinzaine de Décembre 2018
Les merveilleux effets des ions négatifs !
Ah les ions négatifs (anions) ! Contrairement à ce que leur nom pourrait laisser penser, c’est leur présence dans l’air que nous respirons qui nous permet de nous sentir bien, comme après une journée en pleine nature ou au bord de la mer. Les zones naturelles en sont riches, notamment près des cascades (25 000 ions négatifs par cm3 d’air), en forêt (4 000 ions négatifs par cm3 d’air), en campagne (1000 ions négatifs par cm3 d’air) ou après les orages, alors que l’air des villes et des appartements en est pauvre (0-500 en extérieur dans les villes, 250-500 dans un intérieur sans air conditionné et sans fumeurs, 0-200 pour les intérieurs avec air conditionné et fumeurs) et abonde au contraire en ions positifs (molécules ayant perdu un ou plusieurs électrons) qui augmentent le stress, l’agressivité, et favorisent de nombreux déséquilibres.
Les bénéfices pour la santé des ions négatifs ont été prouvés par des études scientifiques : rééquilibrage du système nerveux autonome, neutralisation des radicaux libres dans l’organisme, amélioration du système immunitaire, revitalisation de nos cellules, etc.
Pour notre bien-être, il est donc important de vivre au plus près de la nature, ce qui est finalement très logique puisque c’est notre milieu …naturel ! Comme de nos jours, ce n’est pas toujours possible, il vaut mieux pendant nos loisirs privilégier les promenades et activités de pleine nature. Dans les appartements, une aération régulière, la présence de plantes (notamment les fougères) et de fontaines d’intérieur permet de limiter les dégâts. Il est également possible d’acheter des ioniseurs ou des purificateurs d’air qui émettent des courants d’ions négatifs.
En auto-réflexo, selon les besoins, travailler régulièrement les zones réflexes : des poumons (pour améliorer le confort respiratoire), du thymus (pour l’immunité), du plexus solaire, du diaphragme et des surrénales (pour le stress).
Les bénéfices pour la santé des ions négatifs ont été prouvés par des études scientifiques : rééquilibrage du système nerveux autonome, neutralisation des radicaux libres dans l’organisme, amélioration du système immunitaire, revitalisation de nos cellules, etc.
Pour notre bien-être, il est donc important de vivre au plus près de la nature, ce qui est finalement très logique puisque c’est notre milieu …naturel ! Comme de nos jours, ce n’est pas toujours possible, il vaut mieux pendant nos loisirs privilégier les promenades et activités de pleine nature. Dans les appartements, une aération régulière, la présence de plantes (notamment les fougères) et de fontaines d’intérieur permet de limiter les dégâts. Il est également possible d’acheter des ioniseurs ou des purificateurs d’air qui émettent des courants d’ions négatifs.
En auto-réflexo, selon les besoins, travailler régulièrement les zones réflexes : des poumons (pour améliorer le confort respiratoire), du thymus (pour l’immunité), du plexus solaire, du diaphragme et des surrénales (pour le stress).
Le gaz « anti-émeutes » utilisé en France par les forces de l’ordre est le CS ( 2-chlorobenzylidène malonitrile) concentré à 1% ou 2%.
A cette concentration, et en plein air (car dans un lieu fermé les effets sont gravissimes et potentiellement mortels) il a pour effet de produire une irritation intense, accompagnée de fortes sensations de brûlures, de la peau, des yeux, du nez, de la gorge et des poumons (la langue pouvant être réellement brûlée), des nausées, des spasmes, des douleurs thoraciques, des dermatites et des allergies. Sur les personnes en bonne santé les effets à court terme s’estompent en principe au bout d’une demi-heure et disparaissent progressivement en quelques heures. Selon le site medecinelegale.wordpress.com, les risques à long terme peuvent cependant être plus importants : hémorragie des glandes surrénales, œdèmes pulmonaires, nécroses des tissus des voies respiratoires ou de l’appareil digestif (lire l’article en entier en suivant le lien : https://medecinelegale.wordpress.com/2010/10/21/gaz-lacrymogene-les-effets-les-dangers-de-ce-compose-chimique-utilise-dans-les-manifs/). Le site alerte également sur : « L’effet mutagène et donc cancérigène des produits. L’effet tératogène : les femmes enceintes risquent donc d’avoir des enfants avec des malformations. Et l’effet nécrosant : une pneumopathologie chronique peut malheureusement s’installer et devenir irréversible. Ces gaz toxiques sont rapidement absorbés par voie pulmonaire. Une grande partie est hydrolysée puis éliminée par les reins dans les urines. »
Voici les conseils donnés par le site (medecinelegale.wordpress.com) pour limiter les risques, les effets et les dangers des gaz lacrymogène sur la santé :
"Restez calme si vous avez reçu du gaz lacrymogène, pas de panique.
Eloignez vous le plus possible de la foule.
Ne vous touchez pas le visage et ne vous frottez pas les yeux.
Il faut se moucher et cracher, pour évacuer les produits chimiques.
Le vinaigre et le citron permettent de diminuer la toxicité de ces gaz en réagissant avec eux. Il est donc conseillé d’imbiber les mouchoirs avec du vinaigre ou du citron pour respirer moins ces toxiques.
Il est conseillé aux femmes enceintes d’augmenter la surveillance médicale de leur grossesse et pour les personnes ayant présenté des atteintes pulmonaire, il est conseillé de faire des radios pulmonaires à distance de l’exposition à ces gaz toxiques.
– L’eau rajoutée à du savon liquide, à défaut à une lessive, permet de laver la peau et donc de diminuer l’effet irritant de ces gaz.
– Pour l'irritation des yeux, laver abondamment avec de l’eau physiologique (se prépare en faisant dissoudre 9 grammes de sel de table NaCl dans 1 litre d’eau bouillie), ou à défaut de l’eau courante.
– Si atteinte pulmonaire avec toux, traiter avec de l’ampicilline durant 1 semaine et associer une corticothérapie et des antalgiques. »
En auto-réflexologie plantaire, pour soutenir les processus d'auto-guérison : travailler pendant quelques minutes les zones réflexes des yeux, du nez, de la gorge, des poumons, ainsi que celles des reins et du foie pour aider l'évacuation des toxines.
Note : les informations données ici sont d'ordre général et ne remplacent en aucun cas une consultation chez un médecin.
A cette concentration, et en plein air (car dans un lieu fermé les effets sont gravissimes et potentiellement mortels) il a pour effet de produire une irritation intense, accompagnée de fortes sensations de brûlures, de la peau, des yeux, du nez, de la gorge et des poumons (la langue pouvant être réellement brûlée), des nausées, des spasmes, des douleurs thoraciques, des dermatites et des allergies. Sur les personnes en bonne santé les effets à court terme s’estompent en principe au bout d’une demi-heure et disparaissent progressivement en quelques heures. Selon le site medecinelegale.wordpress.com, les risques à long terme peuvent cependant être plus importants : hémorragie des glandes surrénales, œdèmes pulmonaires, nécroses des tissus des voies respiratoires ou de l’appareil digestif (lire l’article en entier en suivant le lien : https://medecinelegale.wordpress.com/2010/10/21/gaz-lacrymogene-les-effets-les-dangers-de-ce-compose-chimique-utilise-dans-les-manifs/). Le site alerte également sur : « L’effet mutagène et donc cancérigène des produits. L’effet tératogène : les femmes enceintes risquent donc d’avoir des enfants avec des malformations. Et l’effet nécrosant : une pneumopathologie chronique peut malheureusement s’installer et devenir irréversible. Ces gaz toxiques sont rapidement absorbés par voie pulmonaire. Une grande partie est hydrolysée puis éliminée par les reins dans les urines. »
Voici les conseils donnés par le site (medecinelegale.wordpress.com) pour limiter les risques, les effets et les dangers des gaz lacrymogène sur la santé :
"Restez calme si vous avez reçu du gaz lacrymogène, pas de panique.
Eloignez vous le plus possible de la foule.
Ne vous touchez pas le visage et ne vous frottez pas les yeux.
Il faut se moucher et cracher, pour évacuer les produits chimiques.
Le vinaigre et le citron permettent de diminuer la toxicité de ces gaz en réagissant avec eux. Il est donc conseillé d’imbiber les mouchoirs avec du vinaigre ou du citron pour respirer moins ces toxiques.
Il est conseillé aux femmes enceintes d’augmenter la surveillance médicale de leur grossesse et pour les personnes ayant présenté des atteintes pulmonaire, il est conseillé de faire des radios pulmonaires à distance de l’exposition à ces gaz toxiques.
– L’eau rajoutée à du savon liquide, à défaut à une lessive, permet de laver la peau et donc de diminuer l’effet irritant de ces gaz.
– Pour l'irritation des yeux, laver abondamment avec de l’eau physiologique (se prépare en faisant dissoudre 9 grammes de sel de table NaCl dans 1 litre d’eau bouillie), ou à défaut de l’eau courante.
– Si atteinte pulmonaire avec toux, traiter avec de l’ampicilline durant 1 semaine et associer une corticothérapie et des antalgiques. »
En auto-réflexologie plantaire, pour soutenir les processus d'auto-guérison : travailler pendant quelques minutes les zones réflexes des yeux, du nez, de la gorge, des poumons, ainsi que celles des reins et du foie pour aider l'évacuation des toxines.
Note : les informations données ici sont d'ordre général et ne remplacent en aucun cas une consultation chez un médecin.
2e Quinzaine de Novembre 2018
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Comme il agit sur l’activité de nombreux muscles à commande involontaire, lorsque son activité électrique est perturbée (sous l’influence d’une émotion ou de certains médicaments par exemple) il peut déclencher des symptômes vraiment désagréables et très variés, à savoir (selon la partie du trajet où il dysfonctionne) : vertiges, sueurs, palpitations, bouffées de chaleur, bourdonnements, nausées, diarrhée, voire le fameux malaise vagal qui consiste en une perte de connaissance de quelques secondes généralement sans gravité(si la perte de conscience dure davantage, il s’agit alors d’une syncope). Lorsqu’on rencontre l’un de ses problèmes, on peut appuyer pendant une minute sur la zone réflexe du nerf vagal, qui a été localisée par le Dr Martine Faure Alderson, et qui se situe sous la dernière phalange de l’auriculaire (sur les mains) ou du 5e orteil (sur les pieds), si le problème vient bien du nerf vague les symptômes disparaissent rapidement. A faire sur les deux mains ou sur les deux pieds, en appuyant bien, dès que l'on sent arriver le malaise.
Voici une recette d'infusion réputée pour augmenter les défenses immunitaires, particulièrement par temps froid et humide :
1 part de baies de sureau (stimulant immunitaire), 1 part de cinorhodon ou "gratte-cul" (il contient 40 fois plus de vitamine C que le citron), 1/4 de part de racine de gingembre, un peu de cannelle.
En auto-réflexologie : travailler régulièrement les zones réflexes des reins, de la vessie, et du thymus (voir dans ce site l'onglet "les zones réflexes par ordre alphabétique")
1 part de baies de sureau (stimulant immunitaire), 1 part de cinorhodon ou "gratte-cul" (il contient 40 fois plus de vitamine C que le citron), 1/4 de part de racine de gingembre, un peu de cannelle.
En auto-réflexologie : travailler régulièrement les zones réflexes des reins, de la vessie, et du thymus (voir dans ce site l'onglet "les zones réflexes par ordre alphabétique")
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(Note : les références des études mentionnées ci-dessous se trouvent–sauf mention contraire- dans le livre de La Leche League: « L’Art de l’Allaitement Maternel »).
Le lait maternel est un liquide physiologique vivant absolument extraordinaire, dont la composition évolue :
- au fil des mois en fonction de l’âge du bébé : la concentration en nutriments, très importante les premiers mois, diminue lorsque le bébé grandit et commence à manger des aliments solides, alors que la concentration en anticorps augmente puisque bébé commence à se promener à 4 pattes et entre en contact avec de nombreux pathogènes alors que son système immunitaire n’est pas encore performant.
- au cours de la tétée : parce que l’on peut avoir soif sans avoir faim, le lait de début de tétée correspond à une boisson : il est à ce moment-là surtout un soluté anti-déshydratation haut de gamme (de l’eau et des sels minéraux, plus des anticorps pour protéger bébé, donc bien plus salutaire pour lui que n'importe quelle eau minérale) ; mais si l'enfant continue à téter, le cerveau de la mère comprend qu’il faut fournir un repas, et le lait devient de plus en plus épais et riche en nutriments, se transformant en aliment d’une qualité inégalable. L’évolution du lait maternel en cours de tétée implique que l’allaitement maternel doit absolument être fait à la demande (= le bébé décide du nombre de tétée et de leur durée, contrairement à ce que prétendent certain-e-s « professionnel-le-s de santé » qui sortent, dans ce cas précis, de leur domaine de compétence et assènent des affirmations démenties par l'expérience et nuisibles à la réussite de l'allaitement). En effet, tout comme un adulte, un bébé peut avoir seulement soif (donc téter juste quelques minutes) et avoir faim une demi-heure plus tard : il faut donc le remettre au sein ; simplement s'il a "bu" moins d'une demi-heure avant, il faut commencer la tétée en lui redonnant le sein par lequel il a fini la tétée précédente, afin qu'il ait accès au lait de fin de tétée, bien plus nourrissant que celui de début de tétée. Et non, le rapprochement des tétées ne fatiguera pas son estomac, et non, l'enfant ne prendra pas de mauvaises habitudes (boire quand on a soif n'est pas une mauvaise habitude, c'est ce que nous, adultes, faisons la plupart du temps), Il est parfois bon de se souvenir que l’espèce humaine a existé avant l’invention des horloges...
Le lait maternel est un aliment inégalable :
1) - Parce qu’il est un liquide vivant, il est non seulement plein de nutriments mais aussi d’anticorps (absents du lait de vache soi-disant « maternisé »). Un chercheur japonais a même mis en évidence que lorsque la mère attrape un virus ou un microbe, on en retrouve les anticorps dans son lait moins d’un quart d’heure plus tard. De sorte que dans une famille, en cas de maladie contagieuse, le bébé allaité est souvent le seul membre de la maisonnée à ne pas tomber malade !
2) - Parce que sa composition est relativement stable sous toutes les latitudes : une étude a démontré que la qualité du lait maternel d’une femme mal nourrie du Burkina Faso est comparable à celle d’une New-Yorkaise parfaitement alimentée, et cela parce que la nature privilégie toujours l’enfant : si la mère est sous alimentée, ses nutriments passeront en priorité dans son lait, pas dans son sang, donnant la préférence à la santé de l’enfant .
La liste des autres bénéfices pour l’enfant serait encore longue. On peut citer, par exemple, un extrait du livre d’une spécialiste américaine de médecine ayurvédique, Lee Holmes (« Supercharge Your Gut ») : « Dès l’enfance, le colostrum (note : le liquide qui arrive dans les seins dès la naissance de l’enfant et qui constitue son premier aliment, environ trois jours avant la « montée de lait ») est le « terreau » qui aide à nourrir les graines de nos probiotiques, et à développer un microbiote sain (…) Le colostrum a aussi une grande influence dans la composition de notre intestin et peut réduire le nombre de pathogènes et autres substances qui pénètrent le flux sanguin. Sans colostrum, la perméabilité de l’intestin est affaiblie, ce qui peut conduire à l’incapacité d’absorber certains nutriments essentiels ».
Pour la mère, allaiter son enfant diminue le risque de dépression post-partum et les risques de cancer du sein, comme le montrent d’innombrables études.
Pour la planète, le lait maternel c’est zéro pollution, zéro déchet, zéro gaspillage de ressources naturelles. Donc que des bénéfices
A propos de pollution, on lit parfois que le lait maternel est pollué et que l’on y retrouve des résidus de pesticides etc. Oui, c’est vrai, hélas, tout comme on en retrouve dans le liquide amniotique ; d’où l’importance de manger bio et d’utiliser des produits de toilette pour le corps et d’entretien pour la maison le plus naturels possibles. Mais on retrouve ces mêmes résidus dans le lait de vache dit « maternisé », sauf que ce dernier est un liquide inerte qui ne contient pas tous les nutriments ni les anticorps présents dans le lait maternel et totalement adaptés à l’estomac et à la physiologie du bébé humain…
La clé pour réussir son allaitement est d’allaiter à la demande. Toute femme a du lait et peut allaiter son bébé, la survie de l’espèce a dépendu de l’allaitement et la capacité d’allaiter n’est pas une option, elle fait partie des équipements de base. Ce sont les mauvais conseils donnés aux mères depuis que la médecine s’est emparée du sujet qui le font échouer. Je ne saurais trop recommander la lecture du livre de La Leche League, l’Art de l’Allaitement Maternel. Il regorge de conseils pratiques et d'infos qui nous aident incroyablement à faire confiance à notre corps et à notre bébé !
En réflexo : travailler les zones réflexes de l’hypophyse (sur les 10 orteils ! Voir l’onglet « les zones réflexes par ordre alphabétique), et les zones réflexes de la poitrine. Mais surtout : répondre aux besoins de son enfant en l’allaitant à la demande, car c'est la succion du bébé qui déclenche la production de lait.
En ce moment, les rhumes vont bon train, et suite à une étude parue dans le British Medical Journal, on peut lire partout des articles sur l'éternuement.
Alors, pour mémoire : retenir un éternuement lorsqu’il est en cours (par exemple en se pinçant le nez ou en fermant fortement la bouche) n’est pas sans risque : en raison de la force de l’air (jusqu’à 50 km/heure) peut provoquer une déchirure du tympan et donc une diminution de l’audition, une lésion des côtes ou du diaphragme, une rupture d’un vaisseau sanguin dans l’œil ou –pire !- dans le cerveau, entraînant la mort.
Eternuer est un processus naturel qui permet d’expulser du nez les corps étrangers (poussières, microbes, corps étrangers) pour les empêcher d’atterrir dans nos poumons. Il faut donc l’accepter, mais sans retenir son éternuement il vaut mieux éternuer si possible dans un mouchoir (attention, sans pincer le nez avec le mouchoir) afin d’éviter la dispersion d'éventuels microbes dans l'environnement immédiat.
En cas de rhume, en auto-réflexologie plantaire : travailler les zones réflexes du thymus, du nez, des sinus et de la gorge, sur les deux pieds.
Les derniers chiffres montrent que les cas de cancers en France ne cessent d’augmenter. Pas très encourageant, alors que les cancers de toute origine sont déjà la première cause de mortalité dans notre pays (30% de l’ensemble des décès en 2014 - 2e cause après les infarctus dans la plupart des autres pays d'Europe). Il m’a paru intéressant, pour ce billet santé de la quinzaine, de partager une vidéo de Life Well Lived sur les travaux du Dr Johanna Budwig.
Life Well Lived
www.youtube.com/watch?v=92grex8rpOI
La partie sur le Dr Budwig commence à 4:35 minutes.
La vidéo est en anglais (elle traite de deux sujets différents, son titre est "The Oldest Man in The World", et la partie sur le Dr Budwig commence à 04 :35 minutes) et j’en ai traduit le texte en français, en laissant les termes anglais lorsque j’avais des doutes :
« (…) Les principaux facteurs de développement du cancer sont les toxines, les radiations et l’acidose, toutes causées par les produits chimiques et une alimentation de piètre qualité. L’acidose constitue le dernier stade, lorsque le corps est acide et que le sang ne peut garder et transporter l’oxygène comme auparavant. La mesure par un oxymètre permet de voir que le taux d’oxygène dans le sang des personnes en bonne santé se situe entre 98 à 100, alors qu’il est de 60 chez les patients atteints de cancer où l’oxygène dans le sang est remplacé par des déchets comme le dioxyde de carbone. L’insuffisance en oxygène provoque la formation de tumeurs et la mutation de cellules de façon à fournir (à l’organisme) de l’énergie à partir d’un processus de fermentation de sucre. Mais ce processus n’est pas « propre » biochimiquement : en effet la fermentation produit des déchets qui s’accumulent dans les tissus et conduisent à une toxicité plus importante, à l’acidose, et à la privation d’oxygène des cellules. A la fin, les cellules cancéreuses se multiplient et entraînent la mort. Cette théorie fut confirmée et soutenue par le Dr Otto Warburg qui obtint le prix Nobel de médecine en 1931. L’oxygène est l’arme principale dans la lutte contre le cancer et le traitement du Dr Budwig stimule les réserves d’oxygène de l’organisme (…). En fait, ce protocole alcalinise l’organisme en amenant son Ph au-delà du neutre, ce qui signifie que le corps est rempli d’oxygène lequel détruit les cellules cancéreuses. Le protocole du Dr Budwig comprend la consommation d’huile de lin et de fromage blanc (quark cheese). Le Dr Budwig remarqua que les régimes sans matières grasses aggravaient la situation, elle supprima donc les graisses préjudiciables et les aliments qui conduisaient à la privation d’oxygène des cellules, et leur substitua des aliments salutaires et des acides gras essentiels. Par ailleurs, elle souligna le rôle de la lumière du soleil comme source naturelle de vitamine D3, laquelle a de puissantes propriétés anticancéreuses.
Le traitement comprenait deux axes, le premier étant la consommation quotidienne d’un mélange entièrement naturel combinant les protéines-sulfure du fromage blanc et les graisses oméga 3 des graines de lin. En effet le Dr Budwig s’était aperçue que le corps synthétise les oméga 3 de l’huile de lin dans la quantité nécessaire. Elle explique : sans ces acides gras, les enzymes respiratoires ne peuvent pas fonctionner et la personne suffoque, même lorsqu’on lui donne de l’air riche en oxygène. Une déficience en ces acides gras hautement insaturés détériore de nombreuses fonctions vitales. Tout d’abord, une telle déficience diminue les stocks d’oxygène disponible. On ne peut pas survivre sans air ni nourriture, mais on ne peut pas survivre non plus sans ces acides gras. Ce remède (= le mélange de fromage blanc + huile de lin) devait être ingéré oralement, et dans les cas de phase terminale le Dr Budwig administrait de l’huile de lin sous forme de lavement. L’autre partie du protocole concernait un régime alimentaire particulier qui devait être suivi pendant au moins six mois.
Voici la recette du remède : 2 à 5 cuillères à soupe d’huile de lin, environ 10 capsules de supplément, ou 1 à 3 cuillères à soupe de graines de lin fraîchement moulues ; 1 tasse de « pur quark cheese » (de fromage blanc pur ?) ; 1 peu de cayenne. Il est crucial que le fromage blanc ne soit pas fait avec du lait homogénéisé (= pasteurisé ?), et l’huile de lin ou les graines de lin moulues devraient être utilisées juste après exposition à l’air. Remuez le remède avec une cuillère en bois. Ce remède devrait être pris oralement au moins une fois par jour.
La seconde partie du protocole du Dr Budwig concernait le régime alimentaire: consommer uniquement des aliments fraîchement préparés, éviter le beurre et la margarine, éviter les aliments traités et transformés, éviter les boissons sucrées, éviter le sucre et utiliser du jus de raisin pour adoucir tous les autres jus fraîchement pressés. Eviter les mayonnaises du commerce, les garnitures et sauces de salade toutes prêtes. Eviter la viande non biologique et les « non-range-fat-meats ». Eviter les graisses purement animales, comme le saindoux, le lard, etc. L’alimentation devrait être exempte de produits chimiques. Boire des jus de légumes fraîchement pressés faits avec des carottes, du céleri et des betteraves rouges, boire une tasse de thé chaud trois fois par jour, comme du thé à la menthe ou au cynorhodon, et sucrer exclusivement avec des sucres naturels. (…). Eviter l’eau du robinet et l’eau en bouteille et utiliser uniquement des produits sans fluorure. En outre, éviter les cosmétiques et les crèmes écrans solaires. Eviter les farines blanches, le pain blanc, le riz blanc, le sel blanc, le sucre blanc, ainsi que toute nourriture contenant des composés de chlore. Eviter l’huile de poisson, et les sources d’acides gras oméga 3 ne provenant pas du lin. Eviter le sel de table et le remplacer par du sel de mer non raffiné de bonne qualité. Eviter les huiles hydrogénées. Consommer chaque jour une cuillérée à thé d’huile de noix de coco pressée à froid, éviter les produits à base de soja et l’huile de colza. Utiliser de l’huile de lin biologique et pressée à froid, protégée de la chaleur, de l’air et de la lumière. Supplémenter avec de la chlorophylle. Prendre de la vitamine C mais pas plus de 5 grammes par jour pour éviter de stresser les reins. Prendre des boissons vertes chaque jour (« drink green drink daily »), prendre des boissons oxygénées plusieurs fois par jour (« use oxygen drinks several times a day »). Choisir des alternatives moins nocives aux détergents. »
En auto-réflexologie, pour soutenir l'action des autres traitements, on peut travailler les zones réflexes du Thymus (système immunitaire), des Poumons et du Cœur (oxygénation de l'organisme). Pour aider le corps à supporter la chimiothérapie et la radiothérapie travailler les zones réflexes des Reins et du Foie.
Note: cet article -comme tous ceux de ce site- a une visée purement informative et générale, il ne remplace en aucun cas une consultation chez un médecin.
Life Well Lived
www.youtube.com/watch?v=92grex8rpOI
La partie sur le Dr Budwig commence à 4:35 minutes.
La vidéo est en anglais (elle traite de deux sujets différents, son titre est "The Oldest Man in The World", et la partie sur le Dr Budwig commence à 04 :35 minutes) et j’en ai traduit le texte en français, en laissant les termes anglais lorsque j’avais des doutes :
« (…) Les principaux facteurs de développement du cancer sont les toxines, les radiations et l’acidose, toutes causées par les produits chimiques et une alimentation de piètre qualité. L’acidose constitue le dernier stade, lorsque le corps est acide et que le sang ne peut garder et transporter l’oxygène comme auparavant. La mesure par un oxymètre permet de voir que le taux d’oxygène dans le sang des personnes en bonne santé se situe entre 98 à 100, alors qu’il est de 60 chez les patients atteints de cancer où l’oxygène dans le sang est remplacé par des déchets comme le dioxyde de carbone. L’insuffisance en oxygène provoque la formation de tumeurs et la mutation de cellules de façon à fournir (à l’organisme) de l’énergie à partir d’un processus de fermentation de sucre. Mais ce processus n’est pas « propre » biochimiquement : en effet la fermentation produit des déchets qui s’accumulent dans les tissus et conduisent à une toxicité plus importante, à l’acidose, et à la privation d’oxygène des cellules. A la fin, les cellules cancéreuses se multiplient et entraînent la mort. Cette théorie fut confirmée et soutenue par le Dr Otto Warburg qui obtint le prix Nobel de médecine en 1931. L’oxygène est l’arme principale dans la lutte contre le cancer et le traitement du Dr Budwig stimule les réserves d’oxygène de l’organisme (…). En fait, ce protocole alcalinise l’organisme en amenant son Ph au-delà du neutre, ce qui signifie que le corps est rempli d’oxygène lequel détruit les cellules cancéreuses. Le protocole du Dr Budwig comprend la consommation d’huile de lin et de fromage blanc (quark cheese). Le Dr Budwig remarqua que les régimes sans matières grasses aggravaient la situation, elle supprima donc les graisses préjudiciables et les aliments qui conduisaient à la privation d’oxygène des cellules, et leur substitua des aliments salutaires et des acides gras essentiels. Par ailleurs, elle souligna le rôle de la lumière du soleil comme source naturelle de vitamine D3, laquelle a de puissantes propriétés anticancéreuses.
Le traitement comprenait deux axes, le premier étant la consommation quotidienne d’un mélange entièrement naturel combinant les protéines-sulfure du fromage blanc et les graisses oméga 3 des graines de lin. En effet le Dr Budwig s’était aperçue que le corps synthétise les oméga 3 de l’huile de lin dans la quantité nécessaire. Elle explique : sans ces acides gras, les enzymes respiratoires ne peuvent pas fonctionner et la personne suffoque, même lorsqu’on lui donne de l’air riche en oxygène. Une déficience en ces acides gras hautement insaturés détériore de nombreuses fonctions vitales. Tout d’abord, une telle déficience diminue les stocks d’oxygène disponible. On ne peut pas survivre sans air ni nourriture, mais on ne peut pas survivre non plus sans ces acides gras. Ce remède (= le mélange de fromage blanc + huile de lin) devait être ingéré oralement, et dans les cas de phase terminale le Dr Budwig administrait de l’huile de lin sous forme de lavement. L’autre partie du protocole concernait un régime alimentaire particulier qui devait être suivi pendant au moins six mois.
Voici la recette du remède : 2 à 5 cuillères à soupe d’huile de lin, environ 10 capsules de supplément, ou 1 à 3 cuillères à soupe de graines de lin fraîchement moulues ; 1 tasse de « pur quark cheese » (de fromage blanc pur ?) ; 1 peu de cayenne. Il est crucial que le fromage blanc ne soit pas fait avec du lait homogénéisé (= pasteurisé ?), et l’huile de lin ou les graines de lin moulues devraient être utilisées juste après exposition à l’air. Remuez le remède avec une cuillère en bois. Ce remède devrait être pris oralement au moins une fois par jour.
La seconde partie du protocole du Dr Budwig concernait le régime alimentaire: consommer uniquement des aliments fraîchement préparés, éviter le beurre et la margarine, éviter les aliments traités et transformés, éviter les boissons sucrées, éviter le sucre et utiliser du jus de raisin pour adoucir tous les autres jus fraîchement pressés. Eviter les mayonnaises du commerce, les garnitures et sauces de salade toutes prêtes. Eviter la viande non biologique et les « non-range-fat-meats ». Eviter les graisses purement animales, comme le saindoux, le lard, etc. L’alimentation devrait être exempte de produits chimiques. Boire des jus de légumes fraîchement pressés faits avec des carottes, du céleri et des betteraves rouges, boire une tasse de thé chaud trois fois par jour, comme du thé à la menthe ou au cynorhodon, et sucrer exclusivement avec des sucres naturels. (…). Eviter l’eau du robinet et l’eau en bouteille et utiliser uniquement des produits sans fluorure. En outre, éviter les cosmétiques et les crèmes écrans solaires. Eviter les farines blanches, le pain blanc, le riz blanc, le sel blanc, le sucre blanc, ainsi que toute nourriture contenant des composés de chlore. Eviter l’huile de poisson, et les sources d’acides gras oméga 3 ne provenant pas du lin. Eviter le sel de table et le remplacer par du sel de mer non raffiné de bonne qualité. Eviter les huiles hydrogénées. Consommer chaque jour une cuillérée à thé d’huile de noix de coco pressée à froid, éviter les produits à base de soja et l’huile de colza. Utiliser de l’huile de lin biologique et pressée à froid, protégée de la chaleur, de l’air et de la lumière. Supplémenter avec de la chlorophylle. Prendre de la vitamine C mais pas plus de 5 grammes par jour pour éviter de stresser les reins. Prendre des boissons vertes chaque jour (« drink green drink daily »), prendre des boissons oxygénées plusieurs fois par jour (« use oxygen drinks several times a day »). Choisir des alternatives moins nocives aux détergents. »
En auto-réflexologie, pour soutenir l'action des autres traitements, on peut travailler les zones réflexes du Thymus (système immunitaire), des Poumons et du Cœur (oxygénation de l'organisme). Pour aider le corps à supporter la chimiothérapie et la radiothérapie travailler les zones réflexes des Reins et du Foie.
Note: cet article -comme tous ceux de ce site- a une visée purement informative et générale, il ne remplace en aucun cas une consultation chez un médecin.
La rentrée apporte généralement son lot de stress, et pour s’en préserver, de nombreuses études montrent que la présence d’un animal domestique dans la maison (ou sur le lieu de travail) a un effet bienfaisant indiscutable. Regarder des poissons dans un aquarium ferait baisser la tension artérielle, et le contact avec un chien « a des effets positifs sur le niveau du stress et les défenses immunitaires qui commencent au bout de cinq minutes et durent au moins 9 fois plus longtemps que le temps passé en contact avec le chien » (étude Barker et al. 2005, citée dans « 100 Simple Secrets Why Dogs Make Us Happy : The Science Behing What Dogs Lovers Already Know »).
Mais comment venir en aide à notre chien s’il est lui-même stressé ?
Partout dans le monde, des réflexologues commencent à chercher des applications animales à la réflexologie. Pour relaxer vos amis à 4 pattes (chats ou chiens), posez votre pouce sur la zone réflexe du plexus solaire (voir photo ci-dessous : la zone réflexe se trouve sur les deux pattes avant, sous le coussinet du premier orteil), appuyez légèrement et effectuez un mouvement circulaire pendant quelques instants, relâchez, et recommencez quelques fois.
(La photo montre la patte avant droite)
A l'heure où nous enduisons notre peau de produits solaires, voici les réflexions de Nadine Artemis (aromathérapeute canadienne installée aux Etats-Unis, CEO de LIVING LIBATIONS, https://www.livinglibations.com/) sur l'importance d'utiliser des produits naturels pour les soins de la peau (il s'agit d'un extrait de conférence que j'ai pu traduire et publier ici, avec l'aimable autorisation de Nadine Artemis) :
Nadine Artemis, at the Longevity Now Conference 2011, “IF YOU WANT A BEAUTIFUL SKIN DO THIS (PART 2)”...
https://www.youtube.com/watch?v=IcZb3LxNvD4
"(…) Nous mettons quotidiennement sur notre corps des produits qui contiennent des tas de composants toxiques dont la plupart sont des dérivés de pétrole : huile minérale, parabènes, méthyl parabène, benzoate, alkyl para hydroxy, parfum, lisoparaben, butylparaben, propylène glycol, propylparaben, pigments colorés FDC, toluène, benzène, petrolatum, paraffine, oxybenzone… La peau est une chose tellement merveilleuse, dans laquelle des trillions de cellules et d’organismes composent un revêtement que l’on pourrait définir basiquement comme de l’eau chargée d’électricité ; nous sommes donc un corps électrique, et notre peau est ce fabuleux dispositif de communication, elle est le vaisseau qui peut nous mettre en relation avec le monde entier, elle est la première ligne de défense entre nous et toutes les énergies, tous les organismes, infectieux ou non, de la planète. Notre peau est notre uniforme universel, comme un pyjama divin, une extraordinaire membrane, qui joue un rôle de protection, de filtre. Lorsque nous touchons un de nos orteils, tout notre corps sait que nous touchons un de nos orteils, l’ensemble forme une sorte de ressource d’information holographique, car la peau est connectée avec le système endocrine, avec le cerveau, avec le système nerveux. Alors lorsque nous appliquons un produit toxique, notre peau le sait, et le reste de notre corps dans son intégralité envoie le signal que c’est dangereux. La peau est une partie vaste et importante du système immunitaire. Si vous appliquez du pétrole ou des toxines, la peau envoie des énergies hydrophiles pour bloquer ces toxines, exactement comme quand une bactérie ou un corps étranger sont en train de pénétrer, tout est holographique et notre peau travaille vraiment pour nous. Lorsqu’au contraire nous utilisons des produits de soin composés de substances en harmonie avec les cellules de la peau, qui vibrent réellement comme l’architecture cellulaire, c’est comme si des tissus végétaux travaillaient en collaboration avec notre peau ; des végétaux ou des minéraux(… ), des minéraux comme le sulfure s’infiltrent directement dans la peau, les huiles essentielles non seulement pénètrent dans la peau car elles sont lipophiles, mais elles communiquent en même temps avec le système endocrine, ce qui leur confère des propriétés rajeunissante. Pour en revenir à l’inflammation provoquée par l’application sur la peau de substances toxiques, elle entraîne la perte de toute la connectivité du tissu, la libération dans le corps des radicaux libres, et la production de stress oxydatif, lequel crée une molécule pro-inflammatoire qui va pénétrer en cascade dans l’organisme, migrer dans le noyau des cellules, et s’attacher à leur unité centrale c’est-à-dire l’ADN.
L’ADN va alors envoyer en retour encore plus d’inflammation, laquelle va libérer une cascade de cytokines. Or les cytokines, sont, basiquement, des destructrices de cellules (note : les signaux de dangers sont perçus par les cellules immunitaires via leur PRR, et en réponse à cette activation libèrent de l’histamine, des cytokines pro-inflammatoires et autres composés actifs médiateurs de l’inflammation). Tout ce processus crée aussi de l’inflammation dans la matrice extracellulaire qui est composée des fibres et tissus qui bien que ne faisant pas partie de la cellule soutiennent la cellule, et quand l’information arrive dans ce secteur, alors une autre sorte de némésis se met en place dans l’histoire de la peau, c’est la libération d’enzymes négatifs, les élastases et les collagénases, responsables de la détérioration de l’élastine et du collagène.
Or dans les soins de la peau l'objectif est au contraire de renforcer l’élastine et le collagène, de les maintenir en bon état. Il apparaît donc comme une évidence de travailler plutôt avec des substances qui inhibent l’inflammation et toute cette cascade de réactions inflammatoires : les solutions vont donc venir de la nature, bien sûr ; les éléments qui ont la solution pour rajeunir la peau proviennent du soleil, de l’eau, des minéraux et des plantes. Et ce n’est pas parce qu’ils sont naturels, mais parce qu’ils contiennent dans leur essence les principes d’auto-organisation qui peuvent entrer en relation avec l’architecture des cellules. Car c’est là la clef. Ils fournissent des ingrédients actifs pourvus de principes d’auto-organisation qui vont travailler avec notre corps : a contrario, les toxines, le pétrole, les substances qui sont transformées leurrent complètement tout ce principe d’auto-organisation.
Alors parlons du soleil ! Le soleil est source de tellement de belles choses sur la planète, il y a beaucoup de peurs à son propos, mais il est bon de se rappeler que notre corps a été conçu pour être exposé aux rayons du soleil, et notre peau contient en elle tous les éléments nécessaires pour produire et extraire de l’exposition au soleil des nutriments bénéfiques. Donc offrez-vous quelques rayons de soleil, c’est une bonne chose. Lorsque nous sommes au soleil et recevons ses rayons, nous renforçons l’immunité de notre peau. Notre peau est tellement étonnante, nous sommes exactement comme les plantes, nous avons notre propre forme de photosynthèse, et notre peau a la capacité de convertir les rayons de soleil en substances extraordinairement régénératrices. L’une de ces substances, que vous connaissez très certainement, est la vitamine D, et c’est très important, mais vous ne savez peut-être pas que l’exposition de notre peau au soleil produit aussi deux types de sulfures, un sulfate de cholestérol et un sulfate de vitamine D3, qui sont fondamentaux pour la santé des cellules, et qui vont booster l’immunité de la peau. Prendre des suppléments oraux de vitamine D3 est une bonne chose et nous sommes conscients de ses bénéfices. Mais la vitamine D3 que nous prenons en compléments alimentaires est liposoluble et ne contient pas de sulfures, donc en l’absorbant nous ne pouvons pas obtenir le sulfate de la vitamine D3, et ce sulfate de vitamine D3 est soluble dans l’eau, alors que la vitamine D3 des compléments alimentaires est soluble dans l’huile, cette vitamine D3 est sulfurée et circule librement dans le flux sanguin. Donc quand nous obtenons du sulfure par l’exposition au soleil nous pouvons booster l’immunité de notre peau en tant que barrière contre les bactéries. Une autre chose très intéressante est que le sulfure active les électrons, et en activant les électrons qui font partie des protéines de sulfure dans les mitochondries, les mitochondries qui bénéficient de cette activation deviennent plus fortes et plus résistantes (…) Cela contribue de manière certaine à la longévité de la cellule. Donc définitivement il est mieux d’éviter l’utilisation d’écrans solaires pétro-chimiques, car ils bloquent, ils inhibent l’action dans l'organisme des rayons de cet astre merveilleux qu’est le soleil, rayons qui sont réellement capables de communiquer et de parler à notre corps, et si vous avez besoin de vous protéger de l’exposition excessive aux rayons de soleil, vous devez utiliser des substances issues des plantes."
Nadine Artemis, at the Longevity Now Conference 2011, “IF YOU WANT A BEAUTIFUL SKIN DO THIS (PART 2)”...
https://www.youtube.com/watch?v=IcZb3LxNvD4
"(…) Nous mettons quotidiennement sur notre corps des produits qui contiennent des tas de composants toxiques dont la plupart sont des dérivés de pétrole : huile minérale, parabènes, méthyl parabène, benzoate, alkyl para hydroxy, parfum, lisoparaben, butylparaben, propylène glycol, propylparaben, pigments colorés FDC, toluène, benzène, petrolatum, paraffine, oxybenzone… La peau est une chose tellement merveilleuse, dans laquelle des trillions de cellules et d’organismes composent un revêtement que l’on pourrait définir basiquement comme de l’eau chargée d’électricité ; nous sommes donc un corps électrique, et notre peau est ce fabuleux dispositif de communication, elle est le vaisseau qui peut nous mettre en relation avec le monde entier, elle est la première ligne de défense entre nous et toutes les énergies, tous les organismes, infectieux ou non, de la planète. Notre peau est notre uniforme universel, comme un pyjama divin, une extraordinaire membrane, qui joue un rôle de protection, de filtre. Lorsque nous touchons un de nos orteils, tout notre corps sait que nous touchons un de nos orteils, l’ensemble forme une sorte de ressource d’information holographique, car la peau est connectée avec le système endocrine, avec le cerveau, avec le système nerveux. Alors lorsque nous appliquons un produit toxique, notre peau le sait, et le reste de notre corps dans son intégralité envoie le signal que c’est dangereux. La peau est une partie vaste et importante du système immunitaire. Si vous appliquez du pétrole ou des toxines, la peau envoie des énergies hydrophiles pour bloquer ces toxines, exactement comme quand une bactérie ou un corps étranger sont en train de pénétrer, tout est holographique et notre peau travaille vraiment pour nous. Lorsqu’au contraire nous utilisons des produits de soin composés de substances en harmonie avec les cellules de la peau, qui vibrent réellement comme l’architecture cellulaire, c’est comme si des tissus végétaux travaillaient en collaboration avec notre peau ; des végétaux ou des minéraux(… ), des minéraux comme le sulfure s’infiltrent directement dans la peau, les huiles essentielles non seulement pénètrent dans la peau car elles sont lipophiles, mais elles communiquent en même temps avec le système endocrine, ce qui leur confère des propriétés rajeunissante. Pour en revenir à l’inflammation provoquée par l’application sur la peau de substances toxiques, elle entraîne la perte de toute la connectivité du tissu, la libération dans le corps des radicaux libres, et la production de stress oxydatif, lequel crée une molécule pro-inflammatoire qui va pénétrer en cascade dans l’organisme, migrer dans le noyau des cellules, et s’attacher à leur unité centrale c’est-à-dire l’ADN.
L’ADN va alors envoyer en retour encore plus d’inflammation, laquelle va libérer une cascade de cytokines. Or les cytokines, sont, basiquement, des destructrices de cellules (note : les signaux de dangers sont perçus par les cellules immunitaires via leur PRR, et en réponse à cette activation libèrent de l’histamine, des cytokines pro-inflammatoires et autres composés actifs médiateurs de l’inflammation). Tout ce processus crée aussi de l’inflammation dans la matrice extracellulaire qui est composée des fibres et tissus qui bien que ne faisant pas partie de la cellule soutiennent la cellule, et quand l’information arrive dans ce secteur, alors une autre sorte de némésis se met en place dans l’histoire de la peau, c’est la libération d’enzymes négatifs, les élastases et les collagénases, responsables de la détérioration de l’élastine et du collagène.
Or dans les soins de la peau l'objectif est au contraire de renforcer l’élastine et le collagène, de les maintenir en bon état. Il apparaît donc comme une évidence de travailler plutôt avec des substances qui inhibent l’inflammation et toute cette cascade de réactions inflammatoires : les solutions vont donc venir de la nature, bien sûr ; les éléments qui ont la solution pour rajeunir la peau proviennent du soleil, de l’eau, des minéraux et des plantes. Et ce n’est pas parce qu’ils sont naturels, mais parce qu’ils contiennent dans leur essence les principes d’auto-organisation qui peuvent entrer en relation avec l’architecture des cellules. Car c’est là la clef. Ils fournissent des ingrédients actifs pourvus de principes d’auto-organisation qui vont travailler avec notre corps : a contrario, les toxines, le pétrole, les substances qui sont transformées leurrent complètement tout ce principe d’auto-organisation.
Alors parlons du soleil ! Le soleil est source de tellement de belles choses sur la planète, il y a beaucoup de peurs à son propos, mais il est bon de se rappeler que notre corps a été conçu pour être exposé aux rayons du soleil, et notre peau contient en elle tous les éléments nécessaires pour produire et extraire de l’exposition au soleil des nutriments bénéfiques. Donc offrez-vous quelques rayons de soleil, c’est une bonne chose. Lorsque nous sommes au soleil et recevons ses rayons, nous renforçons l’immunité de notre peau. Notre peau est tellement étonnante, nous sommes exactement comme les plantes, nous avons notre propre forme de photosynthèse, et notre peau a la capacité de convertir les rayons de soleil en substances extraordinairement régénératrices. L’une de ces substances, que vous connaissez très certainement, est la vitamine D, et c’est très important, mais vous ne savez peut-être pas que l’exposition de notre peau au soleil produit aussi deux types de sulfures, un sulfate de cholestérol et un sulfate de vitamine D3, qui sont fondamentaux pour la santé des cellules, et qui vont booster l’immunité de la peau. Prendre des suppléments oraux de vitamine D3 est une bonne chose et nous sommes conscients de ses bénéfices. Mais la vitamine D3 que nous prenons en compléments alimentaires est liposoluble et ne contient pas de sulfures, donc en l’absorbant nous ne pouvons pas obtenir le sulfate de la vitamine D3, et ce sulfate de vitamine D3 est soluble dans l’eau, alors que la vitamine D3 des compléments alimentaires est soluble dans l’huile, cette vitamine D3 est sulfurée et circule librement dans le flux sanguin. Donc quand nous obtenons du sulfure par l’exposition au soleil nous pouvons booster l’immunité de notre peau en tant que barrière contre les bactéries. Une autre chose très intéressante est que le sulfure active les électrons, et en activant les électrons qui font partie des protéines de sulfure dans les mitochondries, les mitochondries qui bénéficient de cette activation deviennent plus fortes et plus résistantes (…) Cela contribue de manière certaine à la longévité de la cellule. Donc définitivement il est mieux d’éviter l’utilisation d’écrans solaires pétro-chimiques, car ils bloquent, ils inhibent l’action dans l'organisme des rayons de cet astre merveilleux qu’est le soleil, rayons qui sont réellement capables de communiquer et de parler à notre corps, et si vous avez besoin de vous protéger de l’exposition excessive aux rayons de soleil, vous devez utiliser des substances issues des plantes."
L’été est la saison où l’énergie yang est à son apogée, particulièrement au mois de juillet. Portés par cette énergie, l’envie de bouger, de communiquer sont bien présentes, et les vacances d’été, avec leurs fêtes et festivals, les voyages, les apéros, les barbecues et autres, nous permettent de nous y livrer pleinement. C’est également la saison où, selon la médecine traditionnelle chinoise, les repas froids et crus sont mieux supportés par la Rate que durant le reste de l’année. En effet, lorsque la nature apporte du feu, l’Homme, pour rester en équilibre dans et avec le macrocosme, doit procurer de la fraîcheur à son corps, c’est donc le temps des salades composées et des fruits frais, et c’est justement le moment où la nature les produit en abondance. Cependant, étant donné que, toujours selon l’énergétique traditionnelle chinoise, l’équilibre interne d’une personne est toujours prioritaire sur l’harmonisation avec la saison, les personnes qui sont Yin dans l’élément Terre (tendance au surpoids accompagnée de tissus œdémateux et de gonflements*) ne devront donc pas abuser des repas froids (pris plutôt à température ambiante que sortant du réfrigérateur)ni des boissons froides, et lorsqu’elle prendront des crudités devront choisir plutôt des aliments tendres (ex : salade verte légère précuite avec un assaisonnement contenant du citron ou du vinaigre, plutôt que carottes râpées).
Pour aider le corps à mieux supporter la chaleur travailler les zones réflexes de l’élément Feu (cœur et intestin grêle), et pour les personnes yin dans l’élément Terre, travailler les zones réflexes de la rate, de l’estomac et du pancréas pour yanguiser ces organes leur permettra de s’autoriser plus de crudités *
* Attention, ces informations sont données à titre indicatif et reflètent la pensée traditionnelle chinoise. Elles ne remplacent en aucun cas une visite chez un médecin.
2e Quinzaine de Juin 2018
La bonne graisse ...
La bonne graisse ...
Manger gras ne rend pas gras, si l’on choisit les bonnes graisses. Notre corps a besoin des graisses poly et monoinsaturées, qui jouent un rôle capital sur notre apparence physique (l’éclat de la peau), notre moral, notre niveau d’énergie, l’état de notre cœur et de notre cerveau ; elles améliorent le goût des aliments et nous rassasient un bon moment, puisqu’elles sont plus longues à digérer que les protéines et les carbohydrates (= glucides). On trouve ces bonnes graisses dans les olives, l’huile d’olive vierge, l’huile de pépin de raisin, les avocats, les poissons d’eaux profondes et froides (saumons sauvages, anchois), les fruits à coques (amandes, noix, noisettes) et leurs beurres/purées.
Il faut par contre éviter à tout prix les graisses saturées (celles que l’on trouve principalement dans les produits animaux, surtout la viande rouge, et laitages) et plus encore les graisses trans. Les trans naturels sont très rares, mais on retrouve les trans synthétiques, fabriqués par l’homme quasiment dans TOUS les produits alimentaires transformés : les plats préparés, les céréales, la margarine faite d’huiles hydrogénées ou partiellement hydrogénées, les confiseries, les biscuits salés ou sucrés, les viennoiseries, les pâtes à tartiner, les chocolats non artisanaux, les pâtisseries de grandes surfaces, le beurre d'arachide non bio, et même certains aliments « santé » des rayons des supermarchés. Ces graisses trans ne doivent en aucun cas dépasser 10 % de la totalité des matières grasses que nous absorbons. Pour le calculer, regarder sur les étiquettes des produits et calculer le taux de matière grasse global moins le taux de graisses poly et monoinsaturées, ce qui donne la quantité de graisse trans qui, elle, n'est pas toujours indiquée !.
Les graisses de notre alimentation sont digérées grâce à la bile, produite par le foie et stockée dans la vésicule biliaire. La réflexologie plantaire peut aider à garder ces organes en bonne santé : travailler régulièrement (quelques minutes 2 à 3 jours par semaine, une ou deux semaines par trimestre) les zones réflexes du foie et de la vésicule biliaire. Attention : ces informations sont d'ordre général, et ne sauraient se substituer à un avis médical.
Il faut par contre éviter à tout prix les graisses saturées (celles que l’on trouve principalement dans les produits animaux, surtout la viande rouge, et laitages) et plus encore les graisses trans. Les trans naturels sont très rares, mais on retrouve les trans synthétiques, fabriqués par l’homme quasiment dans TOUS les produits alimentaires transformés : les plats préparés, les céréales, la margarine faite d’huiles hydrogénées ou partiellement hydrogénées, les confiseries, les biscuits salés ou sucrés, les viennoiseries, les pâtes à tartiner, les chocolats non artisanaux, les pâtisseries de grandes surfaces, le beurre d'arachide non bio, et même certains aliments « santé » des rayons des supermarchés. Ces graisses trans ne doivent en aucun cas dépasser 10 % de la totalité des matières grasses que nous absorbons. Pour le calculer, regarder sur les étiquettes des produits et calculer le taux de matière grasse global moins le taux de graisses poly et monoinsaturées, ce qui donne la quantité de graisse trans qui, elle, n'est pas toujours indiquée !.
Les graisses de notre alimentation sont digérées grâce à la bile, produite par le foie et stockée dans la vésicule biliaire. La réflexologie plantaire peut aider à garder ces organes en bonne santé : travailler régulièrement (quelques minutes 2 à 3 jours par semaine, une ou deux semaines par trimestre) les zones réflexes du foie et de la vésicule biliaire. Attention : ces informations sont d'ordre général, et ne sauraient se substituer à un avis médical.
1e Quinzaine de Mai 2018
De l'eau pure.
Avec la chaleur, nos besoins en hydratation augmentent, et à ce propos il est important de se souvenir que l’eau est le seul liquide dont le corps a vraiment besoin : l’eau pure (filtrée, pour la débarrasser de son chlore et du maximum de polluants) est essentielle à notre santé. Toute autre boisson (y compris connue comme étant bienfaisante, comme le thé vert) n’a pas la neutralité nécessaire pour être bue en quantité tous les jours et à longueur d’année. L’excès de thé (même vert) ou d’infusions, par exemple, déminéralise l’organisme, et peut même causer une déshydratation en forçant les reins à trop éliminer, ce qui peut finir en plus par les épuiser et entraîner une fatigue générale.
Les personnes qui ont vraiment du mal à boire de l’eau plate peuvent y ajouter quelques gouttes de citron où y mettre quelques cubes de fruits pour l’aromatiser légèrement, ce qui donne une boisson moins « contraignante » pour le corps et moins déséquilibrante à long terme que le thé ou les infusions. En effet toute plante absorbée produit une action particulière sur l’organisme (cf. l’herboristerie), qui selon nos déséquilibres va avoir des effets positifs ou négatifs : dès que l’on ajoute quelque chose à notre eau de boisson, comme c’est le cas pour les infusions, on quitte le simple effet hydratant pour y ajouter une action complémentaire, pas toujours nécessaire ni souhaitable.
Pour une hydratation correcte, il faut donc penser à boire à sa soif (ne pas se forcer, sauf si l’on n’a jamais soif, auquel cas il faut se forcer un peu pendant quelques temps, jusqu’à ce que notre organisme se remette à envoyer les signaux de la déshydratation : la sensation de soif), et faire de l’eau sa boisson principale.
Et pour bichonner l’élément Eau selon la médecine chinoise : travailler régulièrement les zones réflexes des reins et de la vessie
Les personnes qui ont vraiment du mal à boire de l’eau plate peuvent y ajouter quelques gouttes de citron où y mettre quelques cubes de fruits pour l’aromatiser légèrement, ce qui donne une boisson moins « contraignante » pour le corps et moins déséquilibrante à long terme que le thé ou les infusions. En effet toute plante absorbée produit une action particulière sur l’organisme (cf. l’herboristerie), qui selon nos déséquilibres va avoir des effets positifs ou négatifs : dès que l’on ajoute quelque chose à notre eau de boisson, comme c’est le cas pour les infusions, on quitte le simple effet hydratant pour y ajouter une action complémentaire, pas toujours nécessaire ni souhaitable.
Pour une hydratation correcte, il faut donc penser à boire à sa soif (ne pas se forcer, sauf si l’on n’a jamais soif, auquel cas il faut se forcer un peu pendant quelques temps, jusqu’à ce que notre organisme se remette à envoyer les signaux de la déshydratation : la sensation de soif), et faire de l’eau sa boisson principale.
Et pour bichonner l’élément Eau selon la médecine chinoise : travailler régulièrement les zones réflexes des reins et de la vessie
2e Quinzaine d'Avril 2018
Le printemps et les beaux jours reviennent, et avec eux le temps des apéros. L’alcool, produit par la fermentation de fruits ou de céréales, accompagne l’humanité depuis des milliers d’années (à ce jour, la trace archéologique la plus ancienne concerne l’usage de bière et remonte à il y a 10 000 ans).
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On l’a principalement utilisé pour des raisons de santé puisque hormis dans les civilisations consommatrices de thé qui faisaient bouillir l’eau, les boissons alcoolisées (bière ou vin) étaient plus sûres que l’eau, toujours susceptible d’être contaminée par des bactéries. De ce fait, en plus d’un usage médical, nutritionnel, ou rituel (en offrande aux dieux, comme chez les Egyptiens il y a 5000 ans) la bière ou le vin étaient consommés quotidiennement pour étancher la soif.
Par contre, il semble que durant la Préhistoire, l’Antiquité et le Moyen-Age les bières et le vin ne contenaient généralement pas plus de 4 à 5 % d’alcool. En outre les excès étaient presque toujours très mal vus, et les médecins de la Grèce antique tout comme les anciens textes ayurvédiques en Inde expliquaient que l’alcool consommé avec modération est une médecine, mais devient un poison si on en prend trop. Aujourd’hui des études confirment que les gens qui boivent modérément de l’alcool vivent plus longtemps que ceux qui en boivent beaucoup… et plus longtemps aussi que ceux qui n’en boivent pas du tout ! (voir l’ouvrage de l’addictologue Amitava Dasgupta, « The Science of Drinking »).
Par contre au-delà de deux verres par jour, « le corps trinque » : outre les risques immédiats d’accidents, chutes etc., les effets à long terme sur les neurones, le foie, le cœur, le pancréas, l’estomac, les intestins, diminuent notablement l’espérance de vie. Une étude publiée dans Lancet du 13 avril 2018 montre qu’au-delà de 100 grammes d’alcool pur par semaine (soit 10 verres « standard » : 25 cl de bière, 10 cl de vin ou 3 cl d’alcool fort) à 40 ans on diminue son espérance de vie de 6 mois en consommant de 100 à 200 g d’alcool par semaine, d’un à deux ans avec 200 à 350 g, et de 4 à 5 ans avec plus de 350 g. Le Pr David Spiegelhalter (université de Cambridge) a calculé que chaque verre au-delà des 10 par semaine, raccourcissait la vie de 15 minutes
Pour prendre soin de son foie, outre la modération –essentielle- on peut travailler une ou deux fois par semaine les zones réflexes du foie et de la vésicule biliaire, principalement au printemps, ou les zones réflexes de nos organes faibles qui pourraient être encore plus fragilisés par l’alcool.*
*Ces informations sont d’ordre général, visent au bien-être, et ne se substituent en aucun cas à un avis médical.
Par contre, il semble que durant la Préhistoire, l’Antiquité et le Moyen-Age les bières et le vin ne contenaient généralement pas plus de 4 à 5 % d’alcool. En outre les excès étaient presque toujours très mal vus, et les médecins de la Grèce antique tout comme les anciens textes ayurvédiques en Inde expliquaient que l’alcool consommé avec modération est une médecine, mais devient un poison si on en prend trop. Aujourd’hui des études confirment que les gens qui boivent modérément de l’alcool vivent plus longtemps que ceux qui en boivent beaucoup… et plus longtemps aussi que ceux qui n’en boivent pas du tout ! (voir l’ouvrage de l’addictologue Amitava Dasgupta, « The Science of Drinking »).
Par contre au-delà de deux verres par jour, « le corps trinque » : outre les risques immédiats d’accidents, chutes etc., les effets à long terme sur les neurones, le foie, le cœur, le pancréas, l’estomac, les intestins, diminuent notablement l’espérance de vie. Une étude publiée dans Lancet du 13 avril 2018 montre qu’au-delà de 100 grammes d’alcool pur par semaine (soit 10 verres « standard » : 25 cl de bière, 10 cl de vin ou 3 cl d’alcool fort) à 40 ans on diminue son espérance de vie de 6 mois en consommant de 100 à 200 g d’alcool par semaine, d’un à deux ans avec 200 à 350 g, et de 4 à 5 ans avec plus de 350 g. Le Pr David Spiegelhalter (université de Cambridge) a calculé que chaque verre au-delà des 10 par semaine, raccourcissait la vie de 15 minutes
Pour prendre soin de son foie, outre la modération –essentielle- on peut travailler une ou deux fois par semaine les zones réflexes du foie et de la vésicule biliaire, principalement au printemps, ou les zones réflexes de nos organes faibles qui pourraient être encore plus fragilisés par l’alcool.*
*Ces informations sont d’ordre général, visent au bien-être, et ne se substituent en aucun cas à un avis médical.
... ou comment fabriquer de futurs obèses…
Les problèmes de poids, dont notre société est malade, viennent en grande partie du fait que dès l’enfance
1) Nous sommes conditionnés à manger sans avoir faim pour des raisons qui n’ont rien à voir avec notre santé. Les enfants doivent souvent manger ce qu’ils ont dans l’assiette :
- Simplement parce que c’est dans l’assiette (sans commentaire ! simplement hallucinant!)
- Parce que d’autres enfants dans le monde ne mangent pas à leur faim (la faute à qui ? De toute façon, manger sans avoir faim n’est pas la solution)
- Par politesse, par respect pour celui qui a préparé le repas (= pour satisfaire l’ego de quelqu’un d’autre)
2) Nous sommes conditionnés à manger « de tout »: or, des traditions médicales millénaires comme l’Ayurveda et la médecine chinoise savent que les aliments ont diverses actions dans l’organisme, bien plus subtiles que le simple apport de calories, de vitamines ou de minéraux, notamment –en ce qui concerne la tradition chinoise- en fonction de leur nature (fraîche, neutre ou chaude) et de leur saveur (douce, amère, piquante, acide, salée). Par exemple la saveur amère (laitue, mouton, agneau, poivron, artichaut etc.) tonifie l’énergie des reins et disperse celle de la rate, elle nourrit le cœur si elle est modérée et le blesse si elle est excessive, elle assèche l’humidité et a une action drainante. Tous les aliments ne sont pas bons pour tout le monde, et dans une même famille tous les membres n’ayant pas les mêmes déséquilibres, il est rare que les mets composant un repas soient bénéfiques pour tous d’égale manière. Heureusement, la nature fait bien les choses et nous avons un dégoût inné pour les aliments qui ne nous conviennent pas (et cela peut changer en cours de vie, au gré de nos équilibres ou déséquilibres) et une attirance pour ceux qui nous font du bien. De sorte que non, il ne « faut pas » manger de tout, et qu’il ne faudrait jamais forcer un enfant à manger des aliments qu’il n’aime pas.
Attention : l’attirance bénéfique spontanée pour certains aliments concerne les aliments naturels, et non pas les sucreries et plats tout préparés issus de l’industrie agro-alimentaires : ces derniers contiennent du sucre raffiné et des exhausteurs de goût qui sont un leurre pour l’organisme et entraînent des addictions = avoir envie de les consommer ne signifie pas qu’ils nous font du bien.
Pour retrouver un rapport à la nourriture sain, basé sur le besoin naturel de manger et non sur d'autres considérations, la pratique m'a montré qu'un travail sur les zones réflexes de l'hypophyse et de la rate s'avère être une aide efficace la plupart du temps. Pour localiser ces zones sur vos pieds, voir l'onglet "les zones réflexes par ordre alphabétique".
Les problèmes de poids, dont notre société est malade, viennent en grande partie du fait que dès l’enfance
1) Nous sommes conditionnés à manger sans avoir faim pour des raisons qui n’ont rien à voir avec notre santé. Les enfants doivent souvent manger ce qu’ils ont dans l’assiette :
- Simplement parce que c’est dans l’assiette (sans commentaire ! simplement hallucinant!)
- Parce que d’autres enfants dans le monde ne mangent pas à leur faim (la faute à qui ? De toute façon, manger sans avoir faim n’est pas la solution)
- Par politesse, par respect pour celui qui a préparé le repas (= pour satisfaire l’ego de quelqu’un d’autre)
2) Nous sommes conditionnés à manger « de tout »: or, des traditions médicales millénaires comme l’Ayurveda et la médecine chinoise savent que les aliments ont diverses actions dans l’organisme, bien plus subtiles que le simple apport de calories, de vitamines ou de minéraux, notamment –en ce qui concerne la tradition chinoise- en fonction de leur nature (fraîche, neutre ou chaude) et de leur saveur (douce, amère, piquante, acide, salée). Par exemple la saveur amère (laitue, mouton, agneau, poivron, artichaut etc.) tonifie l’énergie des reins et disperse celle de la rate, elle nourrit le cœur si elle est modérée et le blesse si elle est excessive, elle assèche l’humidité et a une action drainante. Tous les aliments ne sont pas bons pour tout le monde, et dans une même famille tous les membres n’ayant pas les mêmes déséquilibres, il est rare que les mets composant un repas soient bénéfiques pour tous d’égale manière. Heureusement, la nature fait bien les choses et nous avons un dégoût inné pour les aliments qui ne nous conviennent pas (et cela peut changer en cours de vie, au gré de nos équilibres ou déséquilibres) et une attirance pour ceux qui nous font du bien. De sorte que non, il ne « faut pas » manger de tout, et qu’il ne faudrait jamais forcer un enfant à manger des aliments qu’il n’aime pas.
Attention : l’attirance bénéfique spontanée pour certains aliments concerne les aliments naturels, et non pas les sucreries et plats tout préparés issus de l’industrie agro-alimentaires : ces derniers contiennent du sucre raffiné et des exhausteurs de goût qui sont un leurre pour l’organisme et entraînent des addictions = avoir envie de les consommer ne signifie pas qu’ils nous font du bien.
Pour retrouver un rapport à la nourriture sain, basé sur le besoin naturel de manger et non sur d'autres considérations, la pratique m'a montré qu'un travail sur les zones réflexes de l'hypophyse et de la rate s'avère être une aide efficace la plupart du temps. Pour localiser ces zones sur vos pieds, voir l'onglet "les zones réflexes par ordre alphabétique".
2e Quinzaine de Mars 2018
Le manque de sommeil perturbe le bien-être et la vie quotidienne, et se lit très facilement sur nos visages ; une étude publiée dans le British Medical Journal montre même que les personnes qui manquent de sommeil sont jugées par les autres moins attirantes et en moins bonnes santé.
En effet, durant le sommeil, -qui loin d’être une période de repos et d’inconscience, est, selon le docteur Christopher Idzikowski, une période d’activité intense-, le corps accomplit tout un tas de tâches indispensables à la santé tandis que la peau effectue un certain nombre de fonctions essentielles à notre bonne mine. |
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Notamment, l’élimination des toxines via les glandes sudoripares, la réparation et la régénération des cellules qui produisent du collagène (substance qui garde la peau souple), la libération de mélatonine (un antioxydant qui combat les rides et les taches de vieillesse), et la réduction de la quantité de cortisol (l’hormone du stress, responsable de la décoloration et des vergetures). Par ailleurs le manque de sommeil entraîne la dilatation des vaisseaux sanguins sous les yeux, responsables des cernes.
-Si le manque de sommeil provient de petits soucis qui provoquent la rumination mentale, travailler l’élément Terre (Zones réflexes de la rate et de l’estomac)
-Si le manque de sommeil provient d’agitation le soir : booster l’élément Eau (ZR des reins et de la vessie) afin qu’il puisse « contrôler le Feu » et permettre au yin de « monter » et à l’esprit de s’apaiser en fin de journée
- Dans tous les cas, travailler la Zone réflexe de l’épiphyse (ou glande pinéale), la glande cérébrale qui joue un rôle prépondérant dans la régulation des rythmes veille/sommeil notamment en sécrétant et libérant en temps utile l’hormone du sommeil.
Voir la localisation des zones réflexes onglet « Auto-réflexo 0 : les zones réflexes par ordre alphabétique »
-Si le manque de sommeil provient de petits soucis qui provoquent la rumination mentale, travailler l’élément Terre (Zones réflexes de la rate et de l’estomac)
-Si le manque de sommeil provient d’agitation le soir : booster l’élément Eau (ZR des reins et de la vessie) afin qu’il puisse « contrôler le Feu » et permettre au yin de « monter » et à l’esprit de s’apaiser en fin de journée
- Dans tous les cas, travailler la Zone réflexe de l’épiphyse (ou glande pinéale), la glande cérébrale qui joue un rôle prépondérant dans la régulation des rythmes veille/sommeil notamment en sécrétant et libérant en temps utile l’hormone du sommeil.
Voir la localisation des zones réflexes onglet « Auto-réflexo 0 : les zones réflexes par ordre alphabétique »
1e Quinzaine de Mars 2018
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1e Quinzaine de Février 2018
Tout doux sur le sucre !
Tout doux sur le sucre !
Le sucre ajouté aux aliments naturels (même le sucre roux et bio) affecte négativement notre santé de tout un tas de manières :
Il empêche l’assimilation optimales des nutriments et minéraux de notre alimentation (d’où les cas recensés aux Etats Unis de personnes obèses souffrant de malnutrition), provoque des ballonnements, accélère le développement des cellules cancéreuses (qui contrairement aux cellules saines se reproduisent par fermentation de sucre et sont dotées de plus de capteurs de sucre que les cellules saines) ; outre le diabète il est associé à de nombreux déséquilibres (notamment l’hyperactivité), des études américaines tendent à montrer un lien entre une consommation excessive de sucre et des pathologies mentales, et aujourd’hui la médecine reconnaît que le mauvais cholestérol provient bien plus de l’absorption de sucre que de celle de graisse.
Lorsque nous consommons des sucres rapides, le taux de sucre dans le sang augmente immédiatement, apportant une importante quantité d’énergie disponible sur le champ. Mais cette situation ne doit pas durer, car l’excès de sucre dans le sang est dangereux pour notre survie. A partir de là, il n’y a que deux possibilités : soit nous dépensons dans le quart d’heure ce surplus d’énergie, et le taux de sucre revient à la normale, soit nous ne le dépensons pas tout de suite et l’insuline (hormone de la gestion de notre énergie, libérée par le pancréas dès que nous mangeons du sucre) va se charger de sortir le sucre du flux sanguin pour le stocker dans les cellules sous forme de graisse. Il y restera jusqu’à ce que nous ayons besoin à nouveau d’une telle quantité d’énergie que notre corps ait la nécessité de puiser dans les réserves…
Au niveau hormonal, le sucre a aussi une influence sur l’hormone du bien-être (la dopamine) et l’hormone de la satiété (la leptine). La dopamine, hormone du bien-être, est libérée par le cerveau lorsque nous nous sentons bien, par exemple pendant un bon repas. De son côté, la leptine, hormone de la satiété, permet de garder l’équilibre en supprimant les effets de la dopamine, de sorte que nous n’éprouvons plus le désir de manger. Or un pic d’insuline -l’hormone libérée quand nous mangeons du sucre- peut affecter les effets de la leptine. De sorte que nous ne ressentons plus la satiété et que nous continuons à manger. De ce fait plus nous mangeons de sucre, plus nous mangeons tout court, et l’estomac, qui reçoit toujours plus de nourriture, continue de se dilater ; au fil du temps il faudra toujours plus de nourriture pour déclencher l’action de la leptine et le sentiment de satiété, et l'on va manger de plus en plus : un vrai cercle vicieux.
Par ailleurs, le cerveau se rend bien compte que quand nous mangeons du sucre, la libération de dopamine –donc la sensation de bien-être- dure plus longtemps qu’en mangeant d’autres aliments que nous aimons (puisque l’insuline empêche la leptine de bloquer la dopamine) : alors se développe une addiction au sucre ; le corps, qui veut se sentir bien, réclame la libération de dopamine et donc les aliments qui vont la provoquer. Voilà pourquoi l’industrie alimentaire ajoute du sucre à tous ses produits, même salés, quitte à devoir masquer la saveur sucrée en mettant beaucoup trop de sel !
2e Quinzaine de Janvier 2018
En avant la musique !
La vibration est une force active fondamentale de l’univers, et dès l’Antiquité (peut-être même avant) toutes les civilisations ont utilisé le chant, les percussions et le son des instruments, pour la guérison.
Aujourd’hui, même si les recherches scientifiques sont récentes (en France 1954 pour la première), de nombreux hôpitaux utilisent déjà la musicothérapie passive ou active pour la diminution des douleurs, l’autisme, la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer, l’anxiété, ou la dyslexie. Ailleurs dans le monde les expériences se multiplient, et aux Etats Unis de plus en plus de thérapeutes intègrent le son, notamment les percussions traditionnelles, à leur pratique. Lorsque l’on sait que la vitesse de propagation des ondes sonores est de 340 m par secondes dans l’air, et de 1500 m par secondes dans l’eau, on peut imaginer qu’elles ne restent pas sans effet sur notre organisme qui est composé d'eau à environ 80%.
Par contre, la musique affectant les émotions, et les émotions affectant à leur tour notre biochimie par le biais des hormones, inutile d’être un spécialiste pour comprendre que les sons qui déclenchent l’angoisse, la peur, ou une sensation de violence (= libération d’adrénaline et de cortisol dans l'organisme) sont à éviter en musicothérapie. En Occident, la musique de Mozart et le chant grégorien (avec l’effet bienfaisant des vocalises, cf. Revue française de musicothérapie volume XXVIII/1) sont fréquemment utilisés.
Pour la médecine traditionnelle chinoise, chaque organe vibre à une fréquence qui lui est propre, et a donc son propre son. Ainsi (en faisant correspondre le système pentatonique chinois à notre système musical) la note Mi est celle de l’élément Bois (Foie, Vésicule Biliaire) ; la note Sol celle de l’élément Feu (cœur, intestin grêle) ; la note Do est celle de l’élément Terre (rate estomac pancréas) ; la note Ré est celle du Métal (poumons, côlon) ; et la note La est celle de l’élément Eau. Le chant est considéré comme particulièrement bénéfique pour l’élément Terre.
En résumé, science et tradition se retrouvent pour donner à la musique une place dans l’éventail des traitements : un bon prétexte pour pratiquer une activité musicale régulière …
En résumé, science et tradition se retrouvent pour donner à la musique une place dans l’éventail des traitements : un bon prétexte pour pratiquer une activité musicale régulière …
1e Quinzaine de Janvier
De tout COEUR, bonne année 2018 !
De tout COEUR, bonne année 2018 !
Le manque de luminosité joue sur notre humeur :
- par action sur les hormones (il peut affecter la production de de mélatonine et de sérotonine, les hormones du sommeil et du bien-être)
- et par diminution de la production de vitamine D (on retrouve une insuffisance en vitamine D chez de nombreuses personnes atteintes de dépression saisonnière).
Voilà pourquoi le SAS se traite principalement et avec succès par la luminothérapie (exposition à des lampes qui reproduisent la lumière du soleil sans les ultra-violets).
Pour y faire face :
- Passer du temps à l’extérieur, car même par temps gris il y a plus de luminosité dehors qu’à l’intérieur. A titre indicatif, la luminosité d’une journée ensoleillée varie de 50 000 à 130 000 lux en été, 2 000 à 20000 lux en hiver, 500 à 25 000 lux en extérieur par ciel couvert, et elle est d’environ 100 à 500 lux à l’intérieur d’une maison.
- Pratiquer l’auto-réflexologie :
1) Pour booster sa joie de vivre et rallumer son feu intérieur, selon la médecine chinoise : travailler les zones réflexes du cœur et de l’intestin grêle, 2 minutes chacune, matin et soir pendant une quinzaine de jours.
2) Pour s’adapter au changement de luminosité : zone réflexe de l’hypophyse, ou glande pinéale. C’est la glande qui nous adapte aux rythmes circadiens (= journaliers, en libérant par exemple l’hormone du sommeil quand le jour décline) et aux rythmes saisonniers (c’est elle qui déclenche l’hibernation chez les ours où les tortues) Au XVIs René Descartes disait même qu’elle est le siège de l’âme, et les indiens en font le siège du « 3e œil ».
- par action sur les hormones (il peut affecter la production de de mélatonine et de sérotonine, les hormones du sommeil et du bien-être)
- et par diminution de la production de vitamine D (on retrouve une insuffisance en vitamine D chez de nombreuses personnes atteintes de dépression saisonnière).
Voilà pourquoi le SAS se traite principalement et avec succès par la luminothérapie (exposition à des lampes qui reproduisent la lumière du soleil sans les ultra-violets).
Pour y faire face :
- Passer du temps à l’extérieur, car même par temps gris il y a plus de luminosité dehors qu’à l’intérieur. A titre indicatif, la luminosité d’une journée ensoleillée varie de 50 000 à 130 000 lux en été, 2 000 à 20000 lux en hiver, 500 à 25 000 lux en extérieur par ciel couvert, et elle est d’environ 100 à 500 lux à l’intérieur d’une maison.
- Pratiquer l’auto-réflexologie :
1) Pour booster sa joie de vivre et rallumer son feu intérieur, selon la médecine chinoise : travailler les zones réflexes du cœur et de l’intestin grêle, 2 minutes chacune, matin et soir pendant une quinzaine de jours.
2) Pour s’adapter au changement de luminosité : zone réflexe de l’hypophyse, ou glande pinéale. C’est la glande qui nous adapte aux rythmes circadiens (= journaliers, en libérant par exemple l’hormone du sommeil quand le jour décline) et aux rythmes saisonniers (c’est elle qui déclenche l’hibernation chez les ours où les tortues) Au XVIs René Descartes disait même qu’elle est le siège de l’âme, et les indiens en font le siège du « 3e œil ».
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1e quinzaine de Novembre 2017 Survivre à l'heure d'hiver Changer de rituel pour bien préparer la journée Avec le changement d’heure, il fait nuit beaucoup plus tôt, et certaines personnes voient leur moral et leur énergie chuter à grande vitesse. Bien débuter la journée est très important pour rester en forme malgré tout. Vous pouvez tester les suggestions ci-dessous, vous serez étonné des résultats! |
- Dès le saut du lit (après avoir bu un peu d’eau, tiède ou chaude si possible) s’habiller rapidement et faire une marche d’une quinzaine de minutes autour de chez soi.
- Au retour, la maison semble délicieusement chaude et accueillante : c’est le moment de prendre une douche bien chaude et d’enchaîner avec un bon petit déjeuner. La médecine chinoise déconseille formellement les jus de fruit le matin pendant la saison froide. Il faut au contraire boire chaud (thé ou café ou infusion) et si possible manger chaud. La digestion sera meilleure et le petit déjeuner apportera beaucoup plus d’énergie.
- Auto-réflexo : pour booster encore plus son énergie dès le matin, travailler les zones réflexes des reins et de la vessie pendant deux ou trois minutes.
2e quinzaine d'Octobre 2017
Un mélange d'épices pour affronter le froid Pour affronter les premiers froids, voici la recette d’un mélange d’épices « spécial automne », à préparer d'avance et à saupoudrer sur les potages, plats de légumes, etc. : coriandre + cumin + fenouil + curcuma + gingembre Ce mélange stimule ce que l’ayurveda appelle le « feu digestif », en augmentant sa chaleur mais sans excès. Bien d’autres recettes pour rester en forme selon la saison dans le livre « The Everyday Ayurvedo Cookbook : A seasonnal guide to eating and living well » En auto-réflexo : zones réflexes de la rate, de l'estomac et du pancréas. |
Hippocrate disait « Que ton aliment soit ton médicament ». En effet, ce que nous mangeons devient littéralement les tissus de notre corps et de nos organes (d’où l’intérêt de choisir des aliments bio et de qualité).
Les traditions médicinales ancestrales, comme l’Ayurveda et la Médecine Chinoise, ont établi une répartition subtile des aliments en fonction des effets qu’ils produisent dans l’organisme. La médecine chinoise par exemple classe les aliments selon leur saveur (piquante, douce, salée, amère, acide) et leur nature : froide tiède chaude ou neutre. L’Ayurveda a aussi son système de classification, tout aussi intéressant et pertinent. Le point commun de ces traditions est d’avoir observé que tous les aliments ne conviennent pas à tout le monde (contrairement à nos méthodes éducatives qui obligent les enfants à "manger de tout", sans tenir compte de leur aversion naturelle pour les aliments qui ne conviennent pas à leur constitution), et qu’il en est de même pour les modes de préparation. Par exemple, manger cru la plupart du temps pourra convenir (et même être favorable) à une personne de constitution yang dans l’élément Terre, mais quelqu’un qui est yin dans le même élément, ressentira bientôt de la fatigue et commencera à prendre du poids.
Un autre point commun entre les deux traditions, est la constatation évidente que pour que l’Homme reste en harmonie dans son macrocosme, il doit adapter son alimentation à la saison. Lorsque la nature apporte du froid, nous devons fournir de la chaleur à notre corps, en absorbant des aliments de nature tiède ou chaude (=qui en tant que tels, une fois dans l’organisme, sont « échauffants » ; voir la liste de la nature des aliments selon la médecine chinoise) mangés cuits et chauds. Lorsque le froid est sec, on apportera de la chaleur humide (ragoûts, plats mijotés), lorsque le froid est humide, on fournira au corps de la chaleur sèche (plats cuits au four, comme les gratins, ou au grill). En été au contraire lorsque la nature apporte du feu, les traditions ancestrales conseillent de donner de la fraîcheur à notre corps par des aliments de nature fraîche ou froide, mangés crus et/ou froids. Comme la Nature est bien faite, les fruits et légumes qui poussent en telle ou telle saison sont ceux qu’il convient de consommer à ce moment-là pour équilibrer l’organisme.
Les traditions médicinales ancestrales, comme l’Ayurveda et la Médecine Chinoise, ont établi une répartition subtile des aliments en fonction des effets qu’ils produisent dans l’organisme. La médecine chinoise par exemple classe les aliments selon leur saveur (piquante, douce, salée, amère, acide) et leur nature : froide tiède chaude ou neutre. L’Ayurveda a aussi son système de classification, tout aussi intéressant et pertinent. Le point commun de ces traditions est d’avoir observé que tous les aliments ne conviennent pas à tout le monde (contrairement à nos méthodes éducatives qui obligent les enfants à "manger de tout", sans tenir compte de leur aversion naturelle pour les aliments qui ne conviennent pas à leur constitution), et qu’il en est de même pour les modes de préparation. Par exemple, manger cru la plupart du temps pourra convenir (et même être favorable) à une personne de constitution yang dans l’élément Terre, mais quelqu’un qui est yin dans le même élément, ressentira bientôt de la fatigue et commencera à prendre du poids.
Un autre point commun entre les deux traditions, est la constatation évidente que pour que l’Homme reste en harmonie dans son macrocosme, il doit adapter son alimentation à la saison. Lorsque la nature apporte du froid, nous devons fournir de la chaleur à notre corps, en absorbant des aliments de nature tiède ou chaude (=qui en tant que tels, une fois dans l’organisme, sont « échauffants » ; voir la liste de la nature des aliments selon la médecine chinoise) mangés cuits et chauds. Lorsque le froid est sec, on apportera de la chaleur humide (ragoûts, plats mijotés), lorsque le froid est humide, on fournira au corps de la chaleur sèche (plats cuits au four, comme les gratins, ou au grill). En été au contraire lorsque la nature apporte du feu, les traditions ancestrales conseillent de donner de la fraîcheur à notre corps par des aliments de nature fraîche ou froide, mangés crus et/ou froids. Comme la Nature est bien faite, les fruits et légumes qui poussent en telle ou telle saison sont ceux qu’il convient de consommer à ce moment-là pour équilibrer l’organisme.
Grégory Burn, chercheur en neurosciences à l’université d’Emory (Atlanta) a montré que la nouveauté et les challenges sont des composantes clés de la satisfaction et de la vitalité. Les nouvelles expériences nous donnent de l’énergie, notamment parce qu’elles génèrent la libération de dopamine dans l’organisme (hormone de la gratification), laquelle a aussi la propriété de nous entraîner à faire plus. C’est donc un véritable cercle vertueux de la joie de vivre. La rentrée est un bon moment pour décider d’introduire de la nouveauté dans nos vies, et comme dit le proverbe : « commençons doucement, mais commençons MAINTENANT »
Pour la médecine chinoise, la première quinzaine de septembre correspond au début de l'automne, alors si vous voulez profiter de la rentrée pour introduire dans votre vie la pratique de l'auto-réflexologie, les zones réflexes à stimuler en priorité sont celles des poumons et du côlon.
Pour la médecine chinoise, la première quinzaine de septembre correspond au début de l'automne, alors si vous voulez profiter de la rentrée pour introduire dans votre vie la pratique de l'auto-réflexologie, les zones réflexes à stimuler en priorité sont celles des poumons et du côlon.
1e quinzaine d'Août 2017
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Pour développer la créativité et l’imagination : Elément Bois, Zones réflexes du Foie et de la Vésicule Biliaire.
Pour améliorer la mémoire, la clarté mentale, la capacité à communiquer et l’empathie : Elément Feu, Zones réflexes du Cœur et de l’Intestin Grêle.
Pour renforcer les capacités de réflexion, la sagesse et le discernement : Elément Terre, Zones réflexes de la Rate et de l’Estomac.
Pour booster la volonté mais aussi l’intuition : Elément Eau, Zones réflexes des Reins et de la Vessie.
Pour améliorer la mémoire, la clarté mentale, la capacité à communiquer et l’empathie : Elément Feu, Zones réflexes du Cœur et de l’Intestin Grêle.
Pour renforcer les capacités de réflexion, la sagesse et le discernement : Elément Terre, Zones réflexes de la Rate et de l’Estomac.
Pour booster la volonté mais aussi l’intuition : Elément Eau, Zones réflexes des Reins et de la Vessie.
L’ocytocine : c’est l’hormone du bien-être social et de l’attachement, notre cerveau en libère quand nous nous sentons aimé et en confiance, comme pendant une bonne soirée en famille ou entre amis. Produite en grandes quantités, cette hormone agit cependant comme une super-glue émotionnelle : c’est le cas pour les femmes pendant l’accouchement –c’est d’ailleurs l’ocytocine qui le déclenche- et l’allaitement (la survie de l’espèce en dépend, dans notre état normal nous pourrions juste avoir envie de nous débarrasser du bébé) ainsi que pendant l’acte sexuel, provoquant un attachement au partenaire (on ne sait pas pourquoi, peut-être que c’est comme pour les bébés…) : alors prudence avant de passer à l’acte, une femme perd son sens du jugement après. Dans la même situation, les hommes en libèrent moins que les femmes, de plus, chez eux l’effet de l’ocytocine est contrebalancé par la testostérone (apparemment la nature ne considère pas qu’il soit nécessaire d’inonder de drogue le cerveau d’un homme pour qu’il s’attache à une femme – je plaisante !). Les pensées d’amour, d’empathie, de tendresse, favorisent globalement la production d’ocytocine.
La sérotonine : régulatrice de l’humeur, c’est une hormone qui empêche de se sentir mal et déprimé. Les gens positifs et qui voient la vie du bon côté en produisent en bonne quantité alors que les personnes déprimées en ont un taux insuffisant. Le chocolat noir, les mûres et le raisin –donc le vin- à cause du resvératrol, aident à augmenter son taux, ainsi que l’exposition à la lumière naturelle, au soleil, et les massages (des études l’ont montré). Inversement, la consommation de sucres rapides et le café font chuter le taux de sérotonine.
La dopamine, est produite quand nous vivons des situations agréables, et sa particularité est de nous donner envie de passer à l’action. C’est un peu l’hormone du plaisir d’agir, celle qui nous rend tonique et entreprenant, celle qui nous booste et nous motive. Son déficit nous rend amorphes, peu enthousiastes, et « procrastineur ». La maladie de Parkinson est due à une perturbation du système dopaminique. Tout comme la sérotonine, des études montrent qu’elle est augmentée par les massages. Le corps fabriquant la dopamine à partir de la tyrosine, on peut faire main basse sur les aliments qui en contiennent : les amandes, les avocats, les bananes, les haricots, les graines de sésame, les graines de citrouille. En dehors de l’alimentation, stimuler son cerveau (par des projets, de nouvelles activités, de nouveaux objectifs) fait produire de la dopamine.
Plus globalement, les hormones du bien-être boostent le système immunitaire, alcalinisent l’organisme, et ont donc ont un impact positif sur la santé et la longévité. Inversement, le stress diminue leur production.
NB : Le cas des endorphines, considérées en Occident comme les hormones du bonheur en raison de la sensation d’euphorie qu’elles déclenchent pendant plusieurs minutes, est un peu différent. En effet, elles sont libérées par le corps en réaction à un excès de souffrance, comme un effort physique trop important ; du coup, en médecine chinoise, nous considérons que leur production -notamment par la pratique sportive intense- n’est pas à rechercher, car résultant d’une « dilapidation du Qi » (= gaspillage de notre énergie vitale, donc contraire à notre longévité)
En résumé : profiter du soleil, des apéritifs entre amis, des moments en famille, découvrir de nouveaux horizons et de nouvelles activités, avoir des pensées positives pour soi et pour le monde, manger sainement, dormir suffisamment, se faire masser, juste un programme parfait pour les vacances ! Et pour favoriser l’équilibre de leur production : auto-réflexologie plantaire sur la zone réflexe de l’hypophyse, sur la pulpe de chaque orteil, 2 minutes matin et soir pendant quelques jours .
La sérotonine : régulatrice de l’humeur, c’est une hormone qui empêche de se sentir mal et déprimé. Les gens positifs et qui voient la vie du bon côté en produisent en bonne quantité alors que les personnes déprimées en ont un taux insuffisant. Le chocolat noir, les mûres et le raisin –donc le vin- à cause du resvératrol, aident à augmenter son taux, ainsi que l’exposition à la lumière naturelle, au soleil, et les massages (des études l’ont montré). Inversement, la consommation de sucres rapides et le café font chuter le taux de sérotonine.
La dopamine, est produite quand nous vivons des situations agréables, et sa particularité est de nous donner envie de passer à l’action. C’est un peu l’hormone du plaisir d’agir, celle qui nous rend tonique et entreprenant, celle qui nous booste et nous motive. Son déficit nous rend amorphes, peu enthousiastes, et « procrastineur ». La maladie de Parkinson est due à une perturbation du système dopaminique. Tout comme la sérotonine, des études montrent qu’elle est augmentée par les massages. Le corps fabriquant la dopamine à partir de la tyrosine, on peut faire main basse sur les aliments qui en contiennent : les amandes, les avocats, les bananes, les haricots, les graines de sésame, les graines de citrouille. En dehors de l’alimentation, stimuler son cerveau (par des projets, de nouvelles activités, de nouveaux objectifs) fait produire de la dopamine.
Plus globalement, les hormones du bien-être boostent le système immunitaire, alcalinisent l’organisme, et ont donc ont un impact positif sur la santé et la longévité. Inversement, le stress diminue leur production.
NB : Le cas des endorphines, considérées en Occident comme les hormones du bonheur en raison de la sensation d’euphorie qu’elles déclenchent pendant plusieurs minutes, est un peu différent. En effet, elles sont libérées par le corps en réaction à un excès de souffrance, comme un effort physique trop important ; du coup, en médecine chinoise, nous considérons que leur production -notamment par la pratique sportive intense- n’est pas à rechercher, car résultant d’une « dilapidation du Qi » (= gaspillage de notre énergie vitale, donc contraire à notre longévité)
En résumé : profiter du soleil, des apéritifs entre amis, des moments en famille, découvrir de nouveaux horizons et de nouvelles activités, avoir des pensées positives pour soi et pour le monde, manger sainement, dormir suffisamment, se faire masser, juste un programme parfait pour les vacances ! Et pour favoriser l’équilibre de leur production : auto-réflexologie plantaire sur la zone réflexe de l’hypophyse, sur la pulpe de chaque orteil, 2 minutes matin et soir pendant quelques jours .
Avec l’arrivée de la chaleur, l’envie de boissons fraîches et pétillantes se fait sentir. Les bulles glacées qui éclatent dans la bouche sont sûrement l’une des sensations les plus agréables quand on est écrasé par la chaleur et déshydraté. Etant donné que les sodas sont très sucrés (environ l’équivalent de 8 morceaux de sucre par cannette), et que le sucre est l’ « aliment » le plus préjudiciable à la santé (il accélère le vieillissement + il est catastrophique pour les enfants), la meilleure façon de profiter des bulles en toute sécurité est de s’en tenir à de l’eau gazeuse, à laquelle on peut ajouter quelques gouttes de citron ou des feuilles de menthe.
Une astuce pour ceux qui veulent absolument une boisson sucrée et aromatisée est de préparer eux-mêmes leur soda : mettre un peu de jus de fruit bio dans un verre, et compléter avec de l’eau gazeuse, c’est aussi une bonne idée pour les enfants. Pour transformer l’instant fraîcheur en cure de jouvence, le top est de faire soi-même ses jus de fruits et de légumes avec une centrifugeuse : pastèque pour la version sucrée, poivrons et concombres
pour la version légumes sont les végétaux qui donnent le plus de jus et dont le goût est vraiment rafraîchissant.
Concernant les sodas achetés dans le commerce et leur étiquetage, il faut savoir que pour éviter de marquer « sucre » en deuxième position juste après « eau » dans la liste des ingrédients, les fabricants mettent dans leurs produits différents types de sucre et les énumèrent séparément. Du coup, avec « dextrose, sirop de maïs, fructose, maltose, sirop de malt etc. » le sucre devient presque invisible… Les édulcorants de synthèse (ceux que l’on trouve notamment dans les boissons sucrées « zéro calorie ») sont encore pires : ce sont des produits chimiques que notre organisme ne reconnaît pas et qui vont le polluer.
Mais bon, avec cette chaleur qui nous épuise, on peut légitimement fuir tout travail supplémentaire ! Alors le plus simple est de se servir un grand verre d’eau. Après tout, c’est le seul liquide dont notre corps a vraiment besoin !
P.S. : Le bon geste auto-réflexo pour mieux supporter la chaleur : zones réflexes de l’élément Feu (cœur et intestin grêle), de l’épiphyse et de la tyroïde (voir onglet auto-réflexo 1).
Pendant la pratique d'une activité physique, la sagesse de la médecine chinoise invite à rester à l'écoute des signaux de notre organisme.
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1e quinzaine de Juin 2017
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"" COMPRENDRE LES ENERGIES OU LA PETITE HISTOIRE DU DEMI-MARATHONIEN DU DIMANCHE.
Il se lève le matin à l’issue d’une nuit plus ou moins réparatrice. Personne ne l’a obligé à courir : son énergie mentale est là et l’aide à recharger sa batterie. Il a suivi les conseils de diététique (mélange de sucres lents et de sucres rapides) pour lui donner du carburant. Bref, il démarre avec son « énergie du jour ». La course débute. Il se sent fort et puissant. Mais au bout de quelques kilomètres, sa machine commence à donner des signes de défaillance. Un signal d’alarme est émis : la fatigue. Un sage taoïste aurait alors pris un peu de repos pour repartir. Irréalisable sous peine de devenir la risée du troupeau. Il continue. Que fait son organisme ? Il se branche sur sa batterie, pas forcément rechargée totalement. Il se sent de nouveau en forme. Mais cette batterie a tôt fait de se décharger complètement. Un grand signal d’alarme apparaît : la grosse fatigue. Son formatage médiatique, son petit démon lui glisse au creux de l’oreille : «Continue, défonce-toi, prouve que tu es un homme mon fils ». Comme on dit dans certains pays « Y’a pas de problème ». Il continue. Mais à ce moment-là, son organisme se met en prise directe avec sa lampe à huile, son essence vitale, celle qui lui permet de vivre plus que centenaire. Non seulement cette huile s’épuise, mais son énergie du Foie, celle qui sécrète des endotoxines assimilables à une drogue participe a l’état suivant : la grande fatigue passée, il va se sentir un surhomme et pourrait même continuer après la ligne d’arrivée. Oui, mais à quel prix ! Il vient de puiser inutilement sur ses réserves. Il vient de courir… à sa perte. Un très sage taoïste n’aurait pas participé à cette course… "
(Pour ceux qui souhaitent recevoir une très bonne newsletter (mensuelle) de Médecine Traditionnelle Chinoise : [email protected]. Le site de Jean Pélissier : www.jeanpelissier.com)
L'astuce réflexologique : après une séance d'entraînement travaillez les Zones réflexes du Foie, des Reins ("réservoir du Qi" selon la tradition chinoise) et de la Vessie, une à deux minutes chacune. Pour localiser ces zones, R.V. sur ce site, page "Les zones réflexes par ordre alphabétique".
L’été approche, et plus on prend de l’âge, plus l’idée de gambader sur la plage mince et musclé(e)s comme des sylphides tient de la science-fiction. Car hélas, le métabolisme se ralentit et, sans même manger plus qu’avant, la tendance est à la prise de poids. De plus, au fil des années, ce poids est constitué davantage de graisse que de muscle (la taux normal de graisse dans notre indice de masse corporelle est de 18% pour les hommes et de 25% pour les femmes), et la balance est la seule à ne pas faire la différence : n'importe qui d'autre voit que 10 kg de muscle c’est pas pareil que 10 kg de graisse !
L’exercice est plus que jamais indispensable pour ralentir la fonte musculaire, mais, si quand on est jeune, il suffit généralement de bouger un peu plus que d'habitude pour contrebalancer les éventuelles erreurs alimentaires, en avançant en âge, le facteur le plus important devient l’ALIMENTATION. Non seulement sa quantité, mais surtout sa QUALITE : l’épidémie d’obésité qui frappe les pays développés vient d’une alimentation non seulement trop abondante mais de piètre qualité nutritive, qui laisse tout le temps la personne « sur sa faim » et l’oblige à manger de grosses quantités d'aliments pour fournir au corps la quantité correcte de nutriments (à laquelle vont malheureusement s’ajouter une quantité délirante d’éléments toxiques superflus que le corps va transformer en graisse et en maladies). Aux Etats-Unis on parle même de personnes obèses souffrant de malnutrition !
Les plats tout préparés, les desserts, biscuits et autres sucreries qui sortent des usines contiennent des produits chimiques (conservateurs et aromes), des graisses et des sucres cachés préjudiciables à la santé, tout en étant pauvres en vitamines naturelles (les vitamines artificielles ajoutées à ces aliments « à teneur garantie en vitamines X ou Y » sont fabriquées en laboratoire et ne sont pas utilisées par notre corps de manière aussi optimale que les vitamines naturelles). La meilleure décision à prendre pour rester en forme est de bannir les plats tout préparés et de cuisiner soi-même des aliments naturels ; loin d’être du temps perdu ce sera de la qualité de vie gagnée.
Ensuite, pour aider le corps à bien métaboliser la nourriture de bonne qualité qui aura été ingérée en quantité correcte, pour qu’il la transforme au maximum en énergie au lieu de la stocker, on peut travailler les ZR de l’élément Terre, à savoir Rate, Estomac, Pancréas, 2 minutes sur chaque zone le matin ou le soir (ou matin ET soir si la tendance au stockage est trop prononcée), pendant quinze jours. Voir l'onglet "les zones réflexes par ordre alphabétique" pour localiser ces zones
L’exercice est plus que jamais indispensable pour ralentir la fonte musculaire, mais, si quand on est jeune, il suffit généralement de bouger un peu plus que d'habitude pour contrebalancer les éventuelles erreurs alimentaires, en avançant en âge, le facteur le plus important devient l’ALIMENTATION. Non seulement sa quantité, mais surtout sa QUALITE : l’épidémie d’obésité qui frappe les pays développés vient d’une alimentation non seulement trop abondante mais de piètre qualité nutritive, qui laisse tout le temps la personne « sur sa faim » et l’oblige à manger de grosses quantités d'aliments pour fournir au corps la quantité correcte de nutriments (à laquelle vont malheureusement s’ajouter une quantité délirante d’éléments toxiques superflus que le corps va transformer en graisse et en maladies). Aux Etats-Unis on parle même de personnes obèses souffrant de malnutrition !
Les plats tout préparés, les desserts, biscuits et autres sucreries qui sortent des usines contiennent des produits chimiques (conservateurs et aromes), des graisses et des sucres cachés préjudiciables à la santé, tout en étant pauvres en vitamines naturelles (les vitamines artificielles ajoutées à ces aliments « à teneur garantie en vitamines X ou Y » sont fabriquées en laboratoire et ne sont pas utilisées par notre corps de manière aussi optimale que les vitamines naturelles). La meilleure décision à prendre pour rester en forme est de bannir les plats tout préparés et de cuisiner soi-même des aliments naturels ; loin d’être du temps perdu ce sera de la qualité de vie gagnée.
Ensuite, pour aider le corps à bien métaboliser la nourriture de bonne qualité qui aura été ingérée en quantité correcte, pour qu’il la transforme au maximum en énergie au lieu de la stocker, on peut travailler les ZR de l’élément Terre, à savoir Rate, Estomac, Pancréas, 2 minutes sur chaque zone le matin ou le soir (ou matin ET soir si la tendance au stockage est trop prononcée), pendant quinze jours. Voir l'onglet "les zones réflexes par ordre alphabétique" pour localiser ces zones
1e quinzaine de mai 2017
... Se lancer dans l'auto-réflexologie
La réflexologie plantaire est une technique simple et efficace pour prendre soin de soi et rester en forme. Pour tout savoir sur ce moyen simplissime de prendre soin de vous, rendez-vous , sur ce site, sur la page "Comment pratiquer l'auto-réflexologie". Je viens de la créer pour vous aider à démarrer !
Les beaux jours reviennent, et dans notre monde super pollué les allergies aussi ! |
1e quinzaine d'Avril 2017
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2. Zone réflexes des poumons et du côlon, qui constituent l’élément métal en médecine chinoise, responsable de l’efficacité du système immunitaire.
3. Zone réflexe du thymus, lieu de fabrication des lymphocytes T, sorte de police des polices de notre organisme, qui vérifie que nos globules blancs rentrent dans l’ordre une fois qu’ils ont fini d’attaquer un intrus (virus, bactérie…). Quand le thymus souffre d’un déséquilibre, les lymphocytes T sont trop faibles ou trop peu nombreux pour contrôler les globules blancs, lesquels se mettent à attaquer tout et n’importe quoi, générant la fabrication d’anticorps. Du coup notre corps déclenche la réaction immunitaire contre des éléments qui à la base ne sont pas des éléments dangereux.
Attention : ces informations sont d'ordre général et ne remplacent en aucun cas un avis médical qualifié.
2e quinzaine de Mars 2017
C'est déjà le printemps selon la tradition chinoise- Elément Bois
Tester son pH urinaire
L’équilibre est une source de longévité, et c’est encore plus vrai quand il s’agit de l’équilibre acido-basique : nos cellules saines, qui se reproduisent par combustion d’oxygène, sont heureuses quand elles baignent dans un milieu dont le pH se rapproche le plus possible de 7,4 (c'est-à-dire le pH normal pour l’espèce humaine). Les cellules cancéreuses, qui, elles, se développent par fermentation de sucre, adorent les milieux acides. De plus, un pH trop acide constitue un terrain favorable pour de nombreuses autres maladies. Garder un pH à 7,4 devrait donc être une priorité, mais avec notre alimentation actuelle, comprenant une part importante de produits d’origine animale, de café, de céréales raffinées et de sucre, c’est loin d’être une chose facile !
Comment savoir où l'on en est ? En testant son pH urinaire trois ou quatre fois par jour à des horaires différents pendant 5 ou 6 jours (ça change très vite). A la fin de la période, faire la moyenne, on saura alors si notre corps est un milieu hospitalier pour les cellules saines ou pour les maladies.
Comment procéder ? Il suffit d'acheter en pharmacie, sur internet, ou en magasin bio, des bandelettes pour tester le pH urinaire. Aux toilettes, placer directement la bandelette sous le jet d’urine, puis attendre 30 secondes à une minute pour comparer le résultat à celui du nuancier et le noter sur un carnet.
Attentions : certaines bandelettes testent le pH dans une fourchette de 0 à 14, ce qui est inutile (aux extrémités de l’échelle, on est mort depuis longtemps) mais avec une progression de 1 en 1, ce qui est beaucoup trop vague. Préférer des bandelettes avec un spectre moins large, mais mieux détaillé.
Comment savoir où l'on en est ? En testant son pH urinaire trois ou quatre fois par jour à des horaires différents pendant 5 ou 6 jours (ça change très vite). A la fin de la période, faire la moyenne, on saura alors si notre corps est un milieu hospitalier pour les cellules saines ou pour les maladies.
Comment procéder ? Il suffit d'acheter en pharmacie, sur internet, ou en magasin bio, des bandelettes pour tester le pH urinaire. Aux toilettes, placer directement la bandelette sous le jet d’urine, puis attendre 30 secondes à une minute pour comparer le résultat à celui du nuancier et le noter sur un carnet.
Attentions : certaines bandelettes testent le pH dans une fourchette de 0 à 14, ce qui est inutile (aux extrémités de l’échelle, on est mort depuis longtemps) mais avec une progression de 1 en 1, ce qui est beaucoup trop vague. Préférer des bandelettes avec un spectre moins large, mais mieux détaillé.
Bandelettes à éviter car spectre trop large (inutile) et échelonnage trop vague :
Bandelettes utiles (spectre correct et échelonnage assez précis) :
1e quinzaine de Mars 2017
Début du printemps selon la tradition chinoise- Elément Bois
C'est une quinzaine pour régénérer son foie
On pense souvent bien faire en drainant son foie trois semaines par an, généralement au printemps, mais il faut savoir que les cures de draineurs comme l'artichaut ou le radis noir sont parfois trop agressives, et qu'il n'est pas conseillé de drainer un foie trop fatigué, il faut d’abord le régénérer. Les Chinois pratiquent le drainage du foie au printemps de manière habituelle, c'est-à-dire qu'il s'agit d'une pratique d’entretien et de prévention, non d'un traitement pour soigner cet organe quand il est affaibli. Alors, comment bien s'occuper de son foie ?
- Faire de la prévention une priorité, en évitant au maximum les toxines
- Dans l’alimentation : éviter les aliments qui contiennent des conservateurs, des résidus de pesticides, et autres substances chimiques qui n’ont rien à faire dans notre corps, ainsi que les aliments et pseudo-aliments qui l'encrassent et le fragilisent : l’alcool et l’excès de matières grasses d’origine animale notamment. Il vaut mieux essayer de manger bio, simplement et modérément. Prendre soin de sa santé de manière préventive évite d'avoir recours aux médicaments qui ont bien souvent des effets secondaires et fatiguent le foie.
- Sur la peau : étant donné que les produits de toilette, shampoings, crèmes etc., pénètrent dans l’organisme peu après leur application, il est plus judicieux de choisir là encore des produits bio garantis exempts de substances dangereuses, ou même de préparer soi-même ses produits de soin avec des végétaux (un dicton russe dit que si on ne peut pas manger quelque chose, il ne faut pas le mettre sur sa peau).
- Dans l’air que l’on respire (attention notamment aux produits d’entretien, gaz d'échappement etc.) ; les derniers épisodes de pollutions atmosphérique ont montré qu'il ne suffit plus de vivre à la campagne pour être à l'abri de la pollution de l'air. Quant à nos intérieurs, ils nous fournissent des benzènes (peintures, matières plastiques, détergents, meubles...), formaldéhydes (panneaux de bois aggloméré, colle des moquettes, textiles d'ameublement, papiers peints, fumée de cigarette...), toluènes (vernis, colles, moquettes, laques, tapis, savons) et autres xylènes et trichloréthylènes (colles, vernis, peintures, dégraissants). Certaines plantes d'intérieur ont des vertus dépolluantes, et on peut en mettre dans toutes les pièces. Le site Rustica en donne une liste bien documentée https://www.rustica.fr/articles-jardin/24-plantes-depolluantes-qui-ameliorent-votre-maison,2136.html avec leurs performances en fonction des divers polluants. Par exemple, le Rhapis excelsa (un palmier nain) arrive en tête du classement de la NASA pour lutter contre l'ammoniac (il en élimine 20 ug/h), le Pothos contre le benzène, le monoxyde de carbone et le toluène, le Spatiphyllum contre le trichloréthylène et les formaldéhydes.
- Rééquilibrer l’élément Bois (foie et VB) notamment par les méthodes énergétiques, qui agissent toutes selon le principe d’homéostasie de l’organisme et vont donc respecter les capacités de restructuration du corps (réflexologie, shiatsu, tui -na, acupuncture = pas de risque de surdosage ou d'épuisement de l'organisme).
Note :
1) Pour les personnes qui préfèrent utiliser les plantes, le chardon-marie est un drainant léger et qui est en plus régénérant.
2) Ces informations sont données de manière générale, et ne remplacent en aucun cas une consultation chez un médecin .
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Nous quittons progressivement la saison de l’élément Eau, pour nous diriger, après cette quinzaine de transition dans l’élément Terre, vers l’élément Bois (en mars). Un bon moment pour vérifier nos apports d’eau, et prendre de bonnes habitudes d'hydratation pour le reste de l’année.
1) Les bienfaits de l'eau :
Voici ce qu’en dit Kris Carr :
« Boire de l’eau purifiée, c’est comme baigner l’intérieur de notre corps (…) Régénérant ! De plus, l’eau est le meilleur breuvage pour étancher la soif (…) Nos corps sont composés à 70 %d’eau. Notre cerveau à 80%. Souvenez-vous, vous êtes électrique –lorsque vos cellules n’ont pas assez de fluides, elles perdent leur conductivité. L’eau aide les nutriments à pénétrer dans les cellules, et les déchets acides à être éliminés vers l’extérieur. L’eau est le principal composant du sang et de la lymphe. Elle régule la température corporelle. L’eau est absolument essentielle à une bonne santé. (…) Pour répondre aux besoins de notre océan intérieur, il vaut mieux boire régulièrement de petites quantités tout au long de la journée, sans attendre d’avoir soif. Et, vous savez quoi ? Le café n’est pas de l’eau, ni le thé noir, ni le soda, ni les jus en bouteille, ni les eaux vitaminées. Ces boissons, en fait, enlèvent de l’eau (et des minéraux) à votre corps (…)
Est-il possible de boire trop d’eau ? Oui, si vous en buvez une quantité délirante, vous pouvez développer ce que l’on appelle une intoxication à l’eau, également connue sous le nom d’hyponatrémie. C’est extrêmement rare et ne concerne généralement que des athlètes en surchauffe. L’idée c’est : pas d’excès –restez seulement hydraté en prenant des quantités modérées d’eau à intervalles réguliers ».
2) Quelle eau ?
Notre corps a besoin d’eau pure, mais avec notre pauvre planète complètement polluée, le mieux que nous puissions faire est simplement de limiter les dégâts, en buvant de l’eau filtrée. Pour des questions de pollution, de santé (voir ci-dessous le problème des contenants en plastique) et de développement durable, il faut absolument éviter d’acheter de l’eau en bouteille.
Une fois l’eau filtrée, ne pas la laisser dans le pot à eau en plastique. En effet, les plastiques alimentaires contiennent du P.E.T. (Polyéthylène téréphtalate) et du BPA (Bysphénol A), qui libèrent dans l’eau des perturbateurs endocriniens et une substance chimique affaiblissant le système immunitaire. Il faut donc la transvaser tout de suite dans un contenant (pot-à-eau ou bouteille) en verre (idem pour l’eau que nous transportons sur nous, mieux vaut la transvaser dans une petite bouteille en verre, comme celles dans lesquelles on vend les jus de fruit). Pourquoi ne pas se procurer (ou se fabriquer) une « love bottle » comme celles du chercheur japonais Masaru Emoto ?
(love bottle, Emoto peace products,
https://www.facebook.com/lovebottle) |
3) La mystérieuse sensibilité de l'eau
Masaru Emoto est un auteur japonais qui a consacré une partie de sa vie à étudier les effets de la pensée, des émotions, et de toutes sortes d’énergies (comme par exemple de la musique classique ou du hard rock) sur la structure des molécules d’eau. Il a photographié des cristaux d’eau au microscope, qui étaient harmonieux si l’eau provenait d’une bouteille sur laquelle étaient écrits des mots d’amour (amour, paix, confiance, joie, beauté etc.) alors que les cristaux étaient complètement destructurés si c’était des mots de haine (haine, guerre, folie, violence etc.). Comme nous sommes composés à 70 % d’eau, la théorie de Masaru Emoto est de surveiller nos émotions pour rester en bonne santé !
Masaru Emoto est un auteur japonais qui a consacré une partie de sa vie à étudier les effets de la pensée, des émotions, et de toutes sortes d’énergies (comme par exemple de la musique classique ou du hard rock) sur la structure des molécules d’eau. Il a photographié des cristaux d’eau au microscope, qui étaient harmonieux si l’eau provenait d’une bouteille sur laquelle étaient écrits des mots d’amour (amour, paix, confiance, joie, beauté etc.) alors que les cristaux étaient complètement destructurés si c’était des mots de haine (haine, guerre, folie, violence etc.). Comme nous sommes composés à 70 % d’eau, la théorie de Masaru Emoto est de surveiller nos émotions pour rester en bonne santé !
En auto-réflexologie : les zones réflexes en lien avec l'eau et l'hydratation de l'organisme sont celles des Reins et de la Vessie, pour optimiser la gestion de l'eau par notre organisme (selon la tradition chinoise, les reins "humidifient les poumons").
1e quinzaine de Février 2017
Elément Eau
Booster la fertilité masculine
Elément Eau
Booster la fertilité masculine
Le thème du billet de cette quinzaine est inspiré non seulement par la saison (l’hiver est la saison de l’élément Eau, dont l’énergie nourrit la fertilité), mais par le nombre croissant de jeunes couples qui ont des problèmes d’infertilité masculine (nombre réduit et mobilité limitée des spermatozoïdes).
Comment une bonne hygiène de vie, associée à des thérapies naturelles, peuvent-elles soutenir l’action des traitements médicaux ?
Pour plus d’infos : une série de petits articles faciles à lire publiés dans le Journal des Femmes
http://sante.journaldesfemmes.com/magazine/1342885-perturbateurs-endocriniens-liste-alimentation-cosmetiques/1343123-alimentation
http://sante.journaldesfemmes.com/magazine/1342885-perturbateurs-endocriniens-liste-alimentation-cosmetiques/1343124-cosmetiques-et-produits-d-hygiene
http://sante.journaldesfemmes.com/magazine/1342885-perturbateurs-endocriniens-liste-alimentation-cosmetiques/1343125-pesticides
2. Accélérer l’élimination des toxines par l’organisme
En massant les zones réflexes du foie, des poumons et des reins, une à deux minutes chaque zone, sur les deux pieds (sauf le foie dont la zone réflexe est seulement sur le pied droit).
Comment une bonne hygiène de vie, associée à des thérapies naturelles, peuvent-elles soutenir l’action des traitements médicaux ?
- Soustraire au maximum l’organisme aux polluants et perturbateurs endocriniens, en mangeant bio, en buvant de l’eau filtrée, et en utilisant des produits de toilette bio
Pour plus d’infos : une série de petits articles faciles à lire publiés dans le Journal des Femmes
http://sante.journaldesfemmes.com/magazine/1342885-perturbateurs-endocriniens-liste-alimentation-cosmetiques/1343123-alimentation
http://sante.journaldesfemmes.com/magazine/1342885-perturbateurs-endocriniens-liste-alimentation-cosmetiques/1343124-cosmetiques-et-produits-d-hygiene
http://sante.journaldesfemmes.com/magazine/1342885-perturbateurs-endocriniens-liste-alimentation-cosmetiques/1343125-pesticides
2. Accélérer l’élimination des toxines par l’organisme
En massant les zones réflexes du foie, des poumons et des reins, une à deux minutes chaque zone, sur les deux pieds (sauf le foie dont la zone réflexe est seulement sur le pied droit).
Zone réflexe du Foie Zone réflexe du poumon gauche Zone réflexe du rein gauche
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2e quinzaine de Janvier 2017
Grande vague de froid
Selon la médecine chinoise, c'est le temps pour booster l'énergie des Reins et de la Vessie !
-Travailler les ZR des Reins et de la Vessie deux ou trois minutes matin et soir
- Bien couvrir son dos, et particulièrement la zone des reins : les ceintures de flanelle des anciens ont disparu des magasins, mais on peut s’arranger pour accumuler les épaisseurs de vêtements dans cette zone, la clé étant d’avoir la couche la plus près du corps longue et ajustée. Par exemple : sous-vêtement ajusté, chaud, et long + sous-pull (ou pull fin) long + pull ou cardigan long + pantalon taille haute.
- Eviter les courants d’air dans le dos : dans les restaurants, s’il est impossible d’être placé loin d’une porte et des courants d’air, oublier les règles de politesse occidentales (les femmes et les personnes plus âgées face à la salle) au profit des règles de santé chinoises : les personnes les plus fragiles (= les personnes âgées, les enfants, les personnes très fatiguées ou déprimées) ne doivent pas recevoir de l’air froid dans le dos. Même chose à la maison et dans les transports.
- Boire un verre d’eau chaude légèrement salée à jeun le matin pour aller nourrir l’énergie de l’élément Eau de votre organisme dès le réveil (attention ceci est un conseil issu de la tradition chinoise, et non un avis médical, demander conseil à votre médecin qui saura si cette suggestion est adaptée à votre état de santé).
- Manger chaud le plus souvent possible, et éviter les jus de fruits, notamment d’agrumes, le matin (plus tard dans la journée, ils refroidiront moins l’organisme)
2e quinzaine de Janvier 2017
Grande vague de froid
Selon la médecine chinoise, c'est le temps pour booster l'énergie des Reins et de la Vessie !
-Travailler les ZR des Reins et de la Vessie deux ou trois minutes matin et soir
- Bien couvrir son dos, et particulièrement la zone des reins : les ceintures de flanelle des anciens ont disparu des magasins, mais on peut s’arranger pour accumuler les épaisseurs de vêtements dans cette zone, la clé étant d’avoir la couche la plus près du corps longue et ajustée. Par exemple : sous-vêtement ajusté, chaud, et long + sous-pull (ou pull fin) long + pull ou cardigan long + pantalon taille haute.
- Eviter les courants d’air dans le dos : dans les restaurants, s’il est impossible d’être placé loin d’une porte et des courants d’air, oublier les règles de politesse occidentales (les femmes et les personnes plus âgées face à la salle) au profit des règles de santé chinoises : les personnes les plus fragiles (= les personnes âgées, les enfants, les personnes très fatiguées ou déprimées) ne doivent pas recevoir de l’air froid dans le dos. Même chose à la maison et dans les transports.
- Boire un verre d’eau chaude légèrement salée à jeun le matin pour aller nourrir l’énergie de l’élément Eau de votre organisme dès le réveil (attention ceci est un conseil issu de la tradition chinoise, et non un avis médical, demander conseil à votre médecin qui saura si cette suggestion est adaptée à votre état de santé).
- Manger chaud le plus souvent possible, et éviter les jus de fruits, notamment d’agrumes, le matin (plus tard dans la journée, ils refroidiront moins l’organisme)
1) Si vous savez ce que vous voulez, mais ne tenez pas vos décisions sur le long terme:
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2) Si vous savez ce que vous voulez, mais avez du mal à passer à l’action :
- Rééquilibrer l’élément Bois (ZR Foie et VB) pour la mise en mouvement (passage à l’action)
3) Si vous ne savez pas ce que vous voulez :
- Rééquilibrer l’élément Feu (ZR Cœur et Intestin Grêle), pour la clarté mentale et intellectuelle
- Rééquilibrer l’élément Terre (ZR Rate et Estomac), pour stopper la rumination mentale et augmenter la sagesse et le discernement.
4) Si vous avez du mal à faire le tri (au propre comme au figuré), entre ce que vous voulez garder ou au contraire changer, éliminer, dans votre vie :
- Elément métal (ZR Poumons et Côlon) : c’est le métal du bouclier, qui protège des agressions extérieures, comme celui de l’épée qui « tranche ».
Note : S'il ne s'agit pas d'une situation passagère mais d'un (dys)fonctionnement un peu plus installé, il vous faudra travailler les zones concernées quelques minutes par jour de manière régulière et probablement davantage que quinze jours...
La 2e quinzaine de Décembre 2016,
c'est un temps pour :
Pour rester en forme, les principales zones réflexes à travailler sont celles du système digestif :
Rate, Estomac, Pancréas, Foie, Vésicule Biliaire. En cas de problème de transit on ajoute bien sûr celle du côlon. (Voir onglet : "les zones réflexes par ordre alphabétique")
Cette quinzaine pourrait être aussi… Une quinzaine pour soutenir la planète : c’est entre autre parce que nous mangeons trop que nous sommes malades, mais aussi que les ressources manquent : les meilleures terres cultivables africaines sont transformées en champs de soja pour nourrir le bétail (maltraité quand ce n’est pas martyrisé) des Occidentaux, aux dépens de l’indépendance alimentaire des populations locales et de la diversité des cultures. Pourquoi ne pas tenter cette année des réveillons « animal friendly » ? La quantité de plantes nécessaires pour nourrir un animal pendant un an permet de nourrir en moyenne 5 personnes pendant la même durée ! Le site* http://recettes-vegetariennes.over-blog.com/article-noel-vegetarien-40615451.html est un des nombreux sites à proposer des tas d’idées savoureuses.
Ou/et encore… Une quinzaine pour un monde meilleur, avec des cadeaux éco-responsables et qui font du bien à l’âme et au cœur : des DVD pleins de joie et d’inspiration, comme le film de Nathanaël Coste et Marc de la Ménardière : "En quête de Sens", ou celui de Marie Monique Robin : « Sacrée croissance » (pour ne citer qu’eux) ; des livres qui donnent la pêche, comme « Se changer pour changer le monde », de C. André, J. Kabat-Zinn, Pierre Rabhi et Matthieu Ricard. Ou encore des bons cadeaux pour soutenir l’activité économique locale et les médecines naturelles avec des séances chez des praticiens en thérapies alternatives ;-)
Et surtout... Une quinzaine pour se souhaiter une formidable nouvelle année, en redonnant toute leur valeur aux jours de fête. Voici ce qu'en dit Jean Pélissier (http://blog.jeanpelissier.com/), spécialiste en Médecine Traditionnelle Chinoise, qui m'a gentiment autorisée à reproduire un de ses articles :
"Les jours de fête font partie intégrante de la Vie en médecine traditionnelle chinoise. On les appelle Xiang Shou, ou « moments de jouissance » et ils servent avant tout à nourrir notre esprit. Ce sont des moments précieux pendant lesquels nous devons momentanément mettre de côté nos charges émotionnelles en excès et retrouver la sérénité des profondeurs de notre esprit. Ce sont des moments où nous devons oublier tous nos soucis, tracas, tristesses, colères, rancoeurs et prendre chaque seconde de Vie, chaque parcelle d’air que nous respirons comme autant de cadeaux du Ciel."
Très belles fêtes de fin d'année !
c'est un temps pour :
- Préparer les fêtes de fin d’année
- Vivre les fêtes de fin d’année
- Se remettre des fêtes de fin d’année
Pour rester en forme, les principales zones réflexes à travailler sont celles du système digestif :
Rate, Estomac, Pancréas, Foie, Vésicule Biliaire. En cas de problème de transit on ajoute bien sûr celle du côlon. (Voir onglet : "les zones réflexes par ordre alphabétique")
Cette quinzaine pourrait être aussi… Une quinzaine pour soutenir la planète : c’est entre autre parce que nous mangeons trop que nous sommes malades, mais aussi que les ressources manquent : les meilleures terres cultivables africaines sont transformées en champs de soja pour nourrir le bétail (maltraité quand ce n’est pas martyrisé) des Occidentaux, aux dépens de l’indépendance alimentaire des populations locales et de la diversité des cultures. Pourquoi ne pas tenter cette année des réveillons « animal friendly » ? La quantité de plantes nécessaires pour nourrir un animal pendant un an permet de nourrir en moyenne 5 personnes pendant la même durée ! Le site* http://recettes-vegetariennes.over-blog.com/article-noel-vegetarien-40615451.html est un des nombreux sites à proposer des tas d’idées savoureuses.
Ou/et encore… Une quinzaine pour un monde meilleur, avec des cadeaux éco-responsables et qui font du bien à l’âme et au cœur : des DVD pleins de joie et d’inspiration, comme le film de Nathanaël Coste et Marc de la Ménardière : "En quête de Sens", ou celui de Marie Monique Robin : « Sacrée croissance » (pour ne citer qu’eux) ; des livres qui donnent la pêche, comme « Se changer pour changer le monde », de C. André, J. Kabat-Zinn, Pierre Rabhi et Matthieu Ricard. Ou encore des bons cadeaux pour soutenir l’activité économique locale et les médecines naturelles avec des séances chez des praticiens en thérapies alternatives ;-)
Et surtout... Une quinzaine pour se souhaiter une formidable nouvelle année, en redonnant toute leur valeur aux jours de fête. Voici ce qu'en dit Jean Pélissier (http://blog.jeanpelissier.com/), spécialiste en Médecine Traditionnelle Chinoise, qui m'a gentiment autorisée à reproduire un de ses articles :
"Les jours de fête font partie intégrante de la Vie en médecine traditionnelle chinoise. On les appelle Xiang Shou, ou « moments de jouissance » et ils servent avant tout à nourrir notre esprit. Ce sont des moments précieux pendant lesquels nous devons momentanément mettre de côté nos charges émotionnelles en excès et retrouver la sérénité des profondeurs de notre esprit. Ce sont des moments où nous devons oublier tous nos soucis, tracas, tristesses, colères, rancoeurs et prendre chaque seconde de Vie, chaque parcelle d’air que nous respirons comme autant de cadeaux du Ciel."
Très belles fêtes de fin d'année !
1e Quinzaine de Décembre 2017
La 1e quinzaine de Décembre, c'est le début de l’hiver selon la tradition chinoise :
La 1e quinzaine de Décembre, c'est le début de l’hiver selon la tradition chinoise :
- Un bon moment pour s'occuper de nos glandes surrénales !
Correspondances entre médecine chinoise et connaissances actuelles :
L’émotion perturbatrice associée à l’élément Eau est la peur (les chinois dissent « la peur lèse les reins »), qui déclenche l’action des hormones du stress (pour nous préparer à la fuite ou au combat), produites par deux petites glandes endocrines associées aux reins, les glandes surrénales.
Les reins sont également "le réservoir du Qi ", c'est-à-dire le réservoir de l’énergie vitale, or nous savons que les glandes surrénales sont particulièrement impliquées dans les états de fatigue chronique.
La sagesse millénaire chinoise, qui place la gestion de la peur ainsi que le réservoir de l’énergie dans les reins, est donc confirmée par les connaissances médicales actuelles et ce qu’elles nous apprennent sur les glandes surrénales.
Le rôle des surrénales
Les surrénales produisent (entre autres) l’adrénaline et la noradrénaline, hormones libérées dans le sang en situation de stress, et qui provoquent une augmentation du rythme cardiaque. Quelques minutes plus tard, si le stress est toujours là, elles libèrent du cortisol. Ce cortisol est une hormone naturelle dont le corps a absolument besoin (il agit sur le métabolisme des sucres, des protéines, des graisses, de l’eau, etc.) et qui en petites quantités améliore le système immunitaire. Trop de cortisol par contre affaiblit le système immunitaire, augmente l’hyperglycémie, élève le cholestérol, bloque l’action de la vitamine D, inhibe la croissance, etc. La clé réside donc dans l’équilibre : trop de cortisol effondre le système immunitaire et provoque bien d’autres désordres, mais une production insuffisante de cortisol sur une longue période conduit à de la fatigue chronique, à une pression sanguine trop basse, etc.
Le chemin du déséquilibre
Souvent le chemin du déséquilibre est le suivant :
1) En situation de stress, nos glandes surrénales travaillent à plein régime, produisant de l’adrénaline et du cortisol.
2) Plus la situation se prolonge, plus nous allons être soumis aux effets négatifs de cette suractivité des glandes surrénales et de leur surproduction « d’hormones du stress » (= affaiblissement de l'immunité, hyperglycémie, augmentation du cholestérol, etc.)
3) Si cet état dure vraiment TROP (en tous les cas pour les capacités de nos surrénales), l’énergie des surrénales va s’affaiblir et finir par s’épuiser ; nous allons avoir en quelques sortes une insuffisance d’activité des glandes surrénales (elles ne produiront plus assez de cortisol), et nous retrouver en situation de fatigue chronique (le dr. Kenneth Bock précise que les symptômes associés à une fatigue par faiblesse des surrénales sont l’hypoglycémie et l’irritabilité quand on est à jeun*).
La solution*
La solution consiste principalement à éliminer les sources chroniques de stress (mais on ne peut pas toujours lever le pied, changer de travail ou de lieu de vie), et à modifier son style de vie, en se couchant notamment suffisamment tôt pour avoir une quantité correcte de sommeil, et en adoptant une alimentation qui préserve les surrénales. A ce propos, le dr Kenneth Bock conseille d’éviter le café, et considère que le sucre raffiné est l’aliment qui stresse le plus les glandes surrénales. Il conseille également d’augmenter sa ration de protéines (notamment végétales).
Le recours complémentaire à la réflexologie plantaire, qui agit selon le principe d’homéostasie du corps (= dès qu’un organe déséquilibré retrouve suffisamment d’énergie, il se sert de cette énergie supplémentaire pour revenir à l’équilibre), est intéressant parce qu’on peut la pratiquer sans se soucier de savoir s’il faut booster les surrénales ou au contraire les calmer. Travailler les zones réflexes des reins et des surrénales (2 à 3 minutes matin et soir pendant deux semaines environ) les ramène vers l’équilibre, donc les booste si elles sont trop fatiguées et apaise leur activité si elles sont trop actives.
Zones réflexes des reins (en gris) et des glandes surrénales (en jaune), à travailler sur les deux pieds-->
*Note : ces conseils sont à visée générale et informative et ne remplacent en aucun cas une consultation chez un professionnel de santé, un avis médical est indispensable en cas de fatigue chronique. Seul un médecin saura apprécier votre situation particulière.
L’intersaison est un temps d’intériorisation. On la met à profit pour intégrer ce qui a été vécu lors de la saison précédente, c’est un temps de réflexion et de bilan. Quelles sont les rencontres ou les événements qui m'ont marqué ? Les difficultés (résolues ou non) auxquelles j'ai été confronté ? Mon état de santé (la médecine chinoise préconise de prévenir plutôt que de guérir, et quand il faut guérir il vaut mieux le faire à un stade précoce du déséquilibre), les moments qui m'ont enrichi, les souvenirs que je veux garder, les lectures qui m'ont transformé etc.
L’intersaison est aussi un temps de préparation.de la saison qui s’annonce, pour en profiter au maximum, la vivre pleinement, ne pas en perdre une miette . Pour préparer l’hiver :
- Booster le système immunitaire avant les premiers grands froids : zones réflexes de la rate, des poumons, et du thymus, quelques minutes matin et soir pendant une environ une semaine (plus ou moins selon les besoins).
- Au niveau alimentaire : si ce n’est déjà fait, il est temps de remplacer le thé vert (recommandé au printemps et en été) par du thé noir (recommandé pour la saison froide), de faire bonne place aux aliments chauds et cuits (par temps humide et froid, préférer les cuissons au grill et au four, qui fournissent au corps de la chaleur sèche, par temps sec et froid, les petits plats mijotés, qui fournissent au corps de la chaleur humide).
- Réfléchir à ses intentions pour la saison qui s’annonce, sur le plan professionnel, familial, intellectuel, créatif etc. et définir ses priorités.
Que cette intersaison nous permette de croître à tous points de vue, pour notre bien-être, celui des autres et celui de notre planète !
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Précautions : Ne pas rester sur une même zone plus d’une ou deux minutes. Contre-indications : phlébite, goutte, début de grossesse, artério/athérosclérose. Les informations données ci-dessus visent au bien-être et ne se substituent en aucun cas à une consultation chez un médecin.
Caty Quidu, Réflexologue - 10 place Campana, 84000 Avignon - Tél. 04 90 86 30 91