BILLETS SANTE
Archives années 2019 et 2020
2020
1e Quinzaine de Décembre 2020 : L'indépendance émotionnelle
2e Quinzaine de Novembre 2020 : Respirer
1e Quinzaine de Novembre 2020 : Le prix de la "sécurité", en confinement, et en vidéo, sur la page Facebook "Réflexologie plantaire Caty Quidu, Réflexologue à Avignon - 84"
2e Quinzaine d'Octobre 2020 : En finir avec la sécheresse vaginale
2e Quinzaine de Septembre 2020 : Vivre selon ses valeurs
2e Quinzaine d'Août 2020 : Détox émotionnelle
2e Quinzaine de Juillet 2020 : Redevenir le capitaine de notre vie, par Jean Pélissier
2e Quinzaine de Juin 2020 : Le consumérisme comme solution à la pauvreté et au désastre écologique ???
2e Quinzaine de Mai 2020 : Transformer la graisse en muscles
1e Quinzaine de Mai 2020 : S'oxygéner
2e Quinzaine d'Avril 2020 : La constipation chronique chez l'adulte
1e Quinzaine d'Avril 2020 : Encore et toujours...booster le système immunitaire
2e Quinzaine de Mars 2020 : Booster le système immunitaire, gérer la peur
1e Quinzaine de Mars 2020 : Les tisanes pontificales
2e Quinzaine de Février 2020 : Bon pied bon œil !
1e Quinzaine de Février 2020 : Préserver son audition
2e Quinzaine de Janvier 2020 : La magie de l'eau "cuivrée"
1e Quinzaine de Janvier 2020 : Pourquoi garder ses cheveux longs et ne pas porter de frange... la réponse d'un yogi !
Note : les articles ci-dessous sont à visée simplement informative et ne se substituent en aucun cas à un avis médical.
Avec la folle année que nous venons de vivre et les incertitudes concernant celle qui arrive, il risque d’être difficile de rester en forme sans faire en sorte de préserver son indépendance émotionnelle. En ce moment, le plus important, de mon point de vue, est la gestion de la peur et le renforcement de l'enracinement.
1. La peur : lorsqu’elle dure, elle est l’émotion négative la plus préjudiciable à la santé (ponctuelle, elle fait partie au contraire de l’instinct de survie et peut nous permettre de rester vivant), car, selon l’énergétique chinoise, elle affecte l’élément Eau, c’est-à-dire les Reins et la Vessie). Or les Reins sont considérés comme le réservoir de l’énergie vitale (le Qi), de ce fait une peur durable impacte non seulement le système immunitaire mais potentiellement l’espérance de vie. Voici les autres déséquilibres qu’un affaiblissement de l’élément Eau peut générer : infections urinaires voire pyélonéphrites, troubles de la sexualité, dégradation de la qualité des cheveux y compris perte ou blanchissement accéléré, diminution de la densité osseuse et risque augmenté de fractures. Comme toute émotion négative, la peur va aussi affecter notre maillon faible (=aggraver la condition d’un organe ou d’une fonction qui est déjà affaibli chez nous), et parce qu’elle éradique la joie de vivre, elle va également influencer négativement l’élément Feu (coeur et intestin grêle) et toutes ses fonctions : circulation sanguine, assimilation des aliments, vivacité mentale. A ce stade j'espère vous avoir convaincus de tout faire pour ne pas nourrir ces sentiments de peur. En ce moment le traitement le plus facile et le plus abordable est d’arrêter de regarder les chaînes d’info permanente : déjà en temps normal elles s’emparent du moindre drame et le dissèquent dans tous les sens pour nous harponner et faire monter leur audimat, mais depuis quelques mois on atteint des sommets… Ensuite, toujours facile et abordable, tonifier l’élément Eau en auto-réflexologie (travailler deux à trois minutes par jour les zones réflexes du rein et de la vessie. Appuyez suffisamment pour être en zone réflexe -vous le sentirez-, mais pas trop fort pour ne pas abîmer les tissus), ce qui en plus de diminuer directement le sentiment de peur limitera les risques de somatisation. Voir l'onglet auto-réflexo 0 pour la localisation des zones réflexes.
2. L’enracinement : la réflexologie plantaire, parce qu’elle se pratique sur les pieds, est déjà un facteur d’enracinement, quelle que soit la zone réflexe sur laquelle vous travaillez. Mais vous pouvez vous concentrer plus particulièrement sur l’élément Terre pour avoir de meilleurs résultats (zones réflexes de la Rate, de l’Estomac, et du Pancréas). La direction associée à l’élément Terre étant le Centre, tonifier ces zones augmente le centrage, calme l’agitation mentale et améliore le discernement, en plus d’un impact positif, évidemment, sur la fonction digestive.
1. La peur : lorsqu’elle dure, elle est l’émotion négative la plus préjudiciable à la santé (ponctuelle, elle fait partie au contraire de l’instinct de survie et peut nous permettre de rester vivant), car, selon l’énergétique chinoise, elle affecte l’élément Eau, c’est-à-dire les Reins et la Vessie). Or les Reins sont considérés comme le réservoir de l’énergie vitale (le Qi), de ce fait une peur durable impacte non seulement le système immunitaire mais potentiellement l’espérance de vie. Voici les autres déséquilibres qu’un affaiblissement de l’élément Eau peut générer : infections urinaires voire pyélonéphrites, troubles de la sexualité, dégradation de la qualité des cheveux y compris perte ou blanchissement accéléré, diminution de la densité osseuse et risque augmenté de fractures. Comme toute émotion négative, la peur va aussi affecter notre maillon faible (=aggraver la condition d’un organe ou d’une fonction qui est déjà affaibli chez nous), et parce qu’elle éradique la joie de vivre, elle va également influencer négativement l’élément Feu (coeur et intestin grêle) et toutes ses fonctions : circulation sanguine, assimilation des aliments, vivacité mentale. A ce stade j'espère vous avoir convaincus de tout faire pour ne pas nourrir ces sentiments de peur. En ce moment le traitement le plus facile et le plus abordable est d’arrêter de regarder les chaînes d’info permanente : déjà en temps normal elles s’emparent du moindre drame et le dissèquent dans tous les sens pour nous harponner et faire monter leur audimat, mais depuis quelques mois on atteint des sommets… Ensuite, toujours facile et abordable, tonifier l’élément Eau en auto-réflexologie (travailler deux à trois minutes par jour les zones réflexes du rein et de la vessie. Appuyez suffisamment pour être en zone réflexe -vous le sentirez-, mais pas trop fort pour ne pas abîmer les tissus), ce qui en plus de diminuer directement le sentiment de peur limitera les risques de somatisation. Voir l'onglet auto-réflexo 0 pour la localisation des zones réflexes.
2. L’enracinement : la réflexologie plantaire, parce qu’elle se pratique sur les pieds, est déjà un facteur d’enracinement, quelle que soit la zone réflexe sur laquelle vous travaillez. Mais vous pouvez vous concentrer plus particulièrement sur l’élément Terre pour avoir de meilleurs résultats (zones réflexes de la Rate, de l’Estomac, et du Pancréas). La direction associée à l’élément Terre étant le Centre, tonifier ces zones augmente le centrage, calme l’agitation mentale et améliore le discernement, en plus d’un impact positif, évidemment, sur la fonction digestive.
Faire le plein d'ions négatifs, en allant s'aérer tous les jours au bord d'un cours d'eau si possible, ou a minima dans la nature, est plus que jamais nécessaire pour garder l'équilibre dans ce monde qui semble devenir fou.
Les ions négatifs sont basiquement des ions d'oxygène dotés d'un électron supplémentaire produits par des molécules d'eau, on les trouve donc en abondance près des ruisseaux, sources, cascades, mais aussi en bord de mer, et même s'il y en a moins dans la campagne qu'en bord de rivières, il y en a toujours davantage que dans les rues de nos villes. Ces ions négatifs sont bons pour la santé en général, et plus particulièrement pour l'équilibre mental. Faire de son mieux pour gagner chaque jour des espaces qui en sont riches fait partie des meilleurs gestes que nous puissions faire pour notre santé et notre joie de vivre en ce moment.
Les ions négatifs sont basiquement des ions d'oxygène dotés d'un électron supplémentaire produits par des molécules d'eau, on les trouve donc en abondance près des ruisseaux, sources, cascades, mais aussi en bord de mer, et même s'il y en a moins dans la campagne qu'en bord de rivières, il y en a toujours davantage que dans les rues de nos villes. Ces ions négatifs sont bons pour la santé en général, et plus particulièrement pour l'équilibre mental. Faire de son mieux pour gagner chaque jour des espaces qui en sont riches fait partie des meilleurs gestes que nous puissions faire pour notre santé et notre joie de vivre en ce moment.
1e Quinzaine de Novembre 2020
Le prix de la "sécurité",
en confinement et en vidéo, sur la page Facebook
"Réflexologie plantaire Caty Quidu, Réflexologue à Avignon - 84"
2e Quinzaine d'Octobre 2020
En finir avec la sécheresse vaginale
Le thème de mes billets santé de la quinzaine m'est inspiré soit par l'actualité soit par les questions et préoccupations de mes client-e-s. Et une des préoccupations relativement fréquentes de ma clientèle féminine, surtout après la ménopause, mais parfois avant, est la sécheresse vaginale. Je vais parler ici de la solution que je trouve de loin la plus efficace, ce qui ne veut pas dire qu'il n'y en ait pas d'autres.
Les organes sexuels féminins sont tabous dans toutes les sociétés contemporaines, y compris la nôtre, ou seule la pornographie s'y intéresse (et il faut voir comment!). Autrement, nous nous en occupons pour mettre des tampons ou serviettes périodiques pendant les règles, et nous laissons la plupart du temps d'autres personnes s'en occuper au moment de la grossesse et de l'accouchement, lors des relations sexuelles, ou après la ménopause pour traiter les « problèmes » à coup d'hormones ou vérifier par des frottis l'absence de cancer. Quelle approche désastreuse de la partie la plus vive, la plus complexe et vitale de notre être. Le résultat est que nous ne nous connaissons pas, et que s'il nous est recommandé de prendre soin de notre foie (par une alimentation saine et des tisanes), de nos poumons (en nous abstenant de fumer et en pratiquant des exercices respiratoires), de notre cœur (par l'alimentation et l'exercice physique) pour rester en forme, il n'est jamais question de s'occuper de notre sexe, qui pourtant se rappelle à nous les femmes, en permanence et pas toujours simplement, avec : la pré-puberté, la puberté, les cycles menstruels et les différentes modifications hormonales qu'ils apportent à l'organisme (avant l'ovulation, pendant l'ovulation, après l'ovulation), les grossesses, les accouchements et leur cortège de complications possibles (épisiotomies, péridurale, déchirures du périnée, césariennes), les retours de couche, la contraception et le gavage hormonal qu'elle suppose avec son cortège d'effets secondaires, la pré-ménopause, la ménopause, et pendant tout ce temps les relations sexuelles, plus ou moins jouissives, plus ou moins désirées, plus ou moins fréquentes … (cet article ne concerne évidemment pas le crime que constitue le viol).
Après avoir écrit il y a quelques mois sur la ménopause, je souhaite donc aborder la question de la sécheresse vaginale, et de la pauvreté de ce qui est suggéré aux femmes qui en « souffrent ». En effet, la seule solution que vont proposer médecins et gynécos, sont des pommades lubrifiantes qui vont permettre la pénétration (puisque pour « souffrir » de sécheresse vaginale, si je puis dire, il faut être deux, du fait que le problème se présente presque toujours lors des relations sexuelles avec pénétration). Une fois le vagin rendu glissant par la pommade lubrifiante, la pénétration va être rendue possible, plus ou moins douloureusement, puisque si la lubrification naturelle suscitée par le désir advient en même temps que la dilatation du vagin, ce n'est pas le cas avec la lubrification artificielle : mais bon, le sexe masculin va arriver à glisser, et permettre la relation sexuelle, provoquant au passage dans le vagin insuffisamment dilaté des micro coupures qui peuvent ensuite brûler pendant quelques jours notamment lors des mictions (et je ne suis pas dans le jugement, mais si on veut résoudre le problème il faut le poser correctement. Je suis convaincue que les hommes sont encore plus ignorants que les femmes de ce qui se joue avec la sécheresse vaginale, pensant à torts, comme beaucoup de femmes d'ailleurs, sur la base d'informations erronées, qu'il s'agirait d'un problème lié à une déficience hormonale résultant de la ménopause, ce qui est je le répète absolument faux, comme l'expérience le prouve : c'est une question de désir, et quel que soit notre âge nous savons bien que nous pouvons « souffrir » de sécheresse vaginale avec un partenaire et pas du tout avec un autre dix ans plus tard, alors que de toute évidence nous sommes encore plus ménopausées que dix ans auparavant :-)
Alors maintenant, quelles solutions s'offrent à celles qui sont en couple depuis longtemps, mais pour lesquelles la tendresse et l'affection ont pris au fil du temps la place du désir au point que l'excitation n'est plus vraiment là ? Il est possible de ramener le Qi, l'énergie vitale, dans les organes génitaux, de ramener l'hydratation, la souplesse, la vie, dans le bas ventre, et de rendre ainsi l'excitation sexuelle plus facile, afin que les caresses et les préliminaires provoquent facilement ce qu'elles sont sensées produire : la lubrification et la dilatation vaginale, rendant les relations sexuelles désirables puisqu'elles seront agréables, donc plus fréquentes si le couple le souhaite. C'est un moyen tout simple qui existe depuis l'Antiquité chinoise, il s'agit des œufs de jade (lorsqu'ils sont en jade de néphrite, la meilleure pierre pour cet usage car la moins poreuse donc la plus sûre au niveau bactérien notamment) appelés également « œufs de yoni » lorsqu'ils ne sont pas en jade (« yoni » signifiant « le chaudron sacré », nom donné en Inde aux organes génitaux féminins et qui montre le respect qui leur est témoigné). Les œufs de jade ne sont pas des sex-toys, mais de véritables outils d'entretien du périnée et du vagin, un peu comme les haltères ou tout autre accessoire pendant les cours de gym. Dans l'Antiquité chinoise, l'usage des œufs de jade était au départ réservé à l'Impératrice et aux concubines de l'Empereur, non pas pour leur bien-être à elles, mais pour celui de leur auguste époux. Le taoïsme recommandant à l'homme de limiter ses éjaculations (principalement en hiver) pour préserver son énergie vitale, les concubines se devaient d'avoir un vagin à la fois extrêmement sensible et extrêmement tonique afin de pouvoir conduire l'empereur à l'orgasme, tout en relâchant la pression juste avant l'éjaculation. Celles qui se loupaient trop souvent étaient taxées de « mauvaises concubines » et exilées dans le Palais d'hiver, où on les laissait plus ou moins mourir de froid et de faim, d'où la motivation qu'elles avaient à tonifier, assouplir et sensibiliser leur vagin, au moyen d'exercices avec les fameux œufs qui étaient parfois en or. Par la suite, leur usage se répandit dans la noblesse et les classes dirigeantes. De plus, « la fonction créant l'organe », lors des exercices l’œuf stimule la glande lacrymale responsable de la lubrification du vagin (eh oui, le tabou autour de nos organes sexuels est tel que c'est parfois très tard dans notre vie que nous apprenons que la lubrification du vagin lors de l'excitation sexuelle ne vient pas d'un genre de transpiration qui sortirait de tous les pores, mais bien d'une seule et unique glande sur la paroi vaginale). Au fil des exercices, mais assez rapidement, cette glande se remet à fonctionner très bien, rendant la lubrification facile ; le vagin se muscle, s'assouplit et s'hydrate, rendant la dilatation également plus facile. Lubrification + dilatation facilitées = la moindre stimulation sexuelle va produire l'effet attendu ! Yes !!! Par ailleurs, les œufs de yoni sont également très utiles même quand on n'a pas ou ne souhaite pas avoir de relations sexuelles. Ils permettent vraiment de prendre soin des organes génitaux féminins, un vagin et un périnée en bonne santé devant avoir des tissus à la fois souples, toniques et hydratés.
Il existe des tas de vidéos sur internet concernant les exercices avec les œufs de Yoni. Lilou Macé a écrit deux livres regroupant des tas de témoignages sur leur utilisation, dont un en coécriture avec Aisha Sieburth (la spécialiste française -sinon mondiale, puisqu'elle anime même des retraites internationales sur le sujet au Tao Garden en Thaïlande-) qui sont je pense ce qui se fait de mieux et de plus complet sur la question ; même en anglais je n'ai rien trouvé d'équivalent. Je ne m'étendrai donc pas sur la façon de les utiliser, vous pouvez vous rendre sur le site La Télé de Lilou (je précise que je n'ai aucun partenariat publicitaire avec Lilou Macé ni avec qui que ce soit d'autre, je partage juste mon avis et mon expérience) pour trouver des vidéos qui vous éclaireront. Concernant la matière, les œufs en véritable jade de néphrite sont très difficiles à trouver, ceux importés par Lilou sont en quartz, quartz rose, améthyste, etc. donc en pierres naturelles, qui ont aussi leur utilité en usage interne (puisque -est-il besoin de le préciser,?- les œufs de yoni permettent aussi de bénéficier de l'effet litho-thérapeutique de la pierre), mais son site n'en vend pas en jade : ils sont en « nouvelle jade », ce qui n'est pas du tout pareil. A ma connaissance seule la société canadienne Polar Jade (distribuée en France par Amazon, mais on peut leur en commander directement, sauf que du coup les frais de port sont payants) vend des œufs garantis en jade de néphrite, avec certificat de garantie, travaillés sans aucun produit chimique aussi bien pour l'extraction que pour le polissage de la pierre, ce qui est très important pour un usage interne Il faut pour la même raison éviter d'utiliser toute pierre polie de forme ovoïde qui semblerait pouvoir faire l'affaire mais qui n'est pas expressément qualifiée d’œuf de yoni : en effet, certaines pierres comme la turquoise libèrent des composants toxiques en milieu humide. Attention, sur Amazon ou sur certaines vidéos Youtube on trouve des œufs de yoni en vente à très bas prix (genre 17 € les 3 alors qu'un œuf en pierre naturelle peut coûter entre 50 et 70 €, selon le cours mondial de la pierre en question à ce moment-là), ce sont des œufs qui viennent de Chine et contrairement à ce qui est écrit dans la description du produit, ils ne sont pas en pierres naturelles, ce qui les rend potentiellement dangereux pour la santé : l'espèce de vernis « façon pierre » verte ou rose dont ils sont enduits s'enlève dès que vous grattez l'œuf avec l'ongle! Mais à partir du moment où les œufs sont bien prévus pour cet usage, et en pierre semi-précieuse naturelle, fiez-vous à votre envie et à votre intuition pour choisir la pierre.
Les personnes qui souhaitent un accompagnement plus approfondi sur cette question peuvent se rapprocher d'Aisha Sieburth, qui donne des cours de taoïsme féminin à Avignon. Les couples, femmes ou hommes qui en ressentent le besoin peuvent également consulter un.e sexologue : sur Avignon, Claire Kostov est une très belle personne, compétente et extrêmement bienveillante.
And, last but nos least, en réflexologie plantaire, -sachant que, selon mon point de vue, rien n'égale la solution de l’œuf de yoni pour le problème particulier de la sécheresse vaginale- on peut aider efficacement nos organes internes à rester en forme en travaillant les zones réflexes de l'élément Eau (ovaires, utérus, reins, vessie), voir leur localisations sur l'onglet « les zones réflexes par ordre alphabétique ».
Note : les informations ci-dessus sont destinées à l'information et ne sauraient se substituer à un avis médical, toute douleur au moment des rapports doit conduire en premier lieu à consulter un médecin. De même, bien que les œufs de yoni ne soient pas des dispositifs médicaux et qu'ils soient en vente libre, il vaut mieux consulter son médecin avant d'en utiliser afin d'écarter toute éventuelle contre-indication.
Depuis l'enfance, chacun est dressé à faire plaisir : à ses parents, à ses enseignants, aux adultes en général ; nous sommes récompensés lorsque nous nous conformons à leurs demandes, à leurs valeurs, et punis dans le cas contraire. Nous apprenons ainsi à nous trahir nous-même. Le désir de plaire, d'être accepté, nous amène à nous renier, nous éloigne de notre être profond, nous empêchant d'être la personne que nous sommes vraiment, et cette distorsion entre notre identité profonde et la personne que nous croyons devoir être au travail ou dans nos familles, cette blessure infligée à notre intégrité, est source de stress, de mal-être, et in-fine de maladie. Réfléchir à ses valeurs profondes, parler, penser et agir de façon authentique au risque de déplaire est le plus beau cadeau que l'on puisse se faire. Selon la tradition chinoise, c'est l'élément Feu (dans le corps humain : le Cœur et l'Intestin Grêle) qui est relié à la conscience. Conscience en général, conscience de l'autre, conscience de soi. Voilà pourquoi il est à la fois relié à l'empathie et au respect de soi : l'un ne va pas sans l'autre. Lorsque le Feu est équilibré en nous, il procure entre autres la clarté dans les pensées, dans les paroles, la perception claire de notre identité. C'est un bon point de départ pour s'autoriser à vivre, enfin, selon ses valeurs...
Pour un petit coup de pouce dans cette aventure, travailler en auto-réflexologie les zones réflexes du Cœur et de l'Intestin Grêle. Cf. aussi la fiche « Auto-réflexo 10, petite réflexologie saisonnière, saison Eté » pour voir quels aliments peuvent aider à équilibrer le Feu.
Pour un petit coup de pouce dans cette aventure, travailler en auto-réflexologie les zones réflexes du Cœur et de l'Intestin Grêle. Cf. aussi la fiche « Auto-réflexo 10, petite réflexologie saisonnière, saison Eté » pour voir quels aliments peuvent aider à équilibrer le Feu.
2e Quinzaine d'Août 2020
Détox émotionnelle
Face à la pandémie de terreur entretenue par les médias depuis plusieurs mois, et sachant que, selon la médecine chinoise, d'une part la peur "lèse des Reins" et d'autre part "les Reins sont le réservoir du Qi" (c'est-à-dire de l'énergie vitale), on peut imaginer les dégâts que cette situation peut provoquer sur notre santé. Si certains ont peur du Covid19, d'autres s'inquiètent chaque jour davantage de l'atteinte -sans précédent dans des démocraties- portée aux libertés, dont le Covid est le prétexte, certains tremblent à l'idée d'oublier leur masque et de se retrouver avec une contravention de 135 €, d'autres tremblent quand ils croisent quelqu'un qui n'a pas son masque, d'autres encore sont en état de sidération face à des déclarations et informations officielles qui se contredisent : après s'être entendu dire pendant des semaines que le port d'un masque ne protégeait pas du virus, il faut maintenant le porter (et parfois dans la rue, malgré la canicule) sous peine d'amende : que/qui croire ? Bref, la peur et l'inquiétude règnent en maîtres, et tonifier l'énergie des Reins et de la Vessie peut aider à limiter les dégâts, en nous évitant de somatiser : le but est de chercher à éviter qu'une souffrance émotionnelle ne finisse par impacter un organe (le plus souvent notre maillon faible) et ne se transforme en maladie.
Il y a plusieurs moyens pour cela, mais voici celui que je connais le mieux : travailler régulièrement (par exemple un jour sur deux pendant quelques minutes, mais dans tous les cas il faut se fier à son intuition et à son ressenti) les zones réflexes des reins, de la vessie, et des organes génitaux, ainsi que la (ou les) zones réflexes du ou des organes qui sont notre point faible, plus les zones réflexes de la Rate et de l'Estomac si on est sujet à la rumination mentale. Voir la fiche "Auto-réflexo 0 : les zones réflexes par odre alphabétique" pour la localisation de ces zones. C'est un genre de détox émotionnelle, qui peut être utilement complétée par tout ce qui vous fait du bien, qui vous détend, et vous permet de recharger vos batteries.
Il y a plusieurs moyens pour cela, mais voici celui que je connais le mieux : travailler régulièrement (par exemple un jour sur deux pendant quelques minutes, mais dans tous les cas il faut se fier à son intuition et à son ressenti) les zones réflexes des reins, de la vessie, et des organes génitaux, ainsi que la (ou les) zones réflexes du ou des organes qui sont notre point faible, plus les zones réflexes de la Rate et de l'Estomac si on est sujet à la rumination mentale. Voir la fiche "Auto-réflexo 0 : les zones réflexes par odre alphabétique" pour la localisation de ces zones. C'est un genre de détox émotionnelle, qui peut être utilement complétée par tout ce qui vous fait du bien, qui vous détend, et vous permet de recharger vos batteries.
2e Quinzaine de Juillet 2020
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Note : Merci à Jean Pélissier de m'avoir permis d'utiliser son article pour ce billet-santé de la 2e quinzaine de juillet 2020
"RYTHME ET RÉGULARITÉ, LE MÉTRONOME DE LA VITALITÉ
Nous abordons là un des grands secrets nous permettant d’atteindre la longévité en bonne santé.
Dans les mois à venir, nous allons assister à une explosion des pathologies du mental et des émotions, mais aussi à la décompensation de pathologies d’autodestructions (cancers, infections pulmonaires, maladies cardio-vasculaires, rhumatismes… ).
Une grande cause parmi d’autres : le confinement auquel s’est rajouté le virus de la peur, alimenté sciemment 24h/24h par les médias anxiogènes. Une conséquence qui ne doit pas passer inaperçue est, pour la majorité de la population, la perte de tous les points de repère, entretenue par des contradictions informationnelles quasi permanentes.
Une expérience très intéressante a été menée par des psychologues comportementalistes pour comprendre ce que pouvait générer une telle perte de points de repère. Des personnes volontaires furent enfermées seules dans un lieu où régnait le noir le plus complet pendant une quinzaine de jours. On leur avait au préalable expliqué qu’il pourrait avoir tout le nécessaire à portée de main pour survivre : lit, toilette, nourriture, boissons, etc. À eux de le découvrir par tâtonnement. Ils finirent, petit à petit, par s’adapter et se créer un rythme qui s’apparentait à leurs propres rythmes biologiques.
La même expérience fut refaite avec une autre série de volontaires, sauf que cette fois-ci les murs bougeaient, le mobilier changeait de place, le sol même pouvait monter et descendre. Au bout de quelques jours se créa chez eux une sorte de sidération. Et la majorité finissait par s’asseoir au centre de la pièce, en prostration complète. La peur, la perte de points de repère avait tendance à les transformer en zombies.
Et si nous prenions un peu de recul ! Nous sommes « microcosme » dans cet infini « macrocosme » de l’univers qui nous entoure. Si nous prenons juste comme exemple notre système solaire, tout y est réglé au millimètre près par des rythmes. C’est ce qui a permis de créer la science de l’astronomie.
Nous vivons en symbiose avec notre environnement et nous aussi sommes soumis à des rythmes immuables. Quelques exemples : les 12 méridiens, 12 organes, 12 mois de l’année, des « marées énergétiques » régulières qui jalonnent les 24h d’une journée. Les cinq logiciels organes avec chacun un pic énergétique quotidien, mais aussi saisonnier à l’instar du « nettoyage du printemps », saison qui appartient à l’énergie du Foie.
Oui, tout est cycle, tout est rythme dans notre corps : midi-minuit, veille-sommeil, circulation sanguine, lymphatique, hormonale, énergétique…
Nous le savons tous, plus ou moins intuitivement. Pour que notre organisme puisse rester en bonne santé, nous devons nous calquer sur ces rythmes et pour cela nous avons besoin de points de repères, de RÉGULARITÉ.
Or le confinement a cassé tous ces rythmes, déjà malmenés par nos vies « confortables » de matérialistes sédentaires. Une majorité de personnes s’est mise à se lever et se coucher à point d’heure. Le grignotage est devenu la règle, les horaires des repas devenant aléatoires. Certains ont même perdu la notion des jours… et sont aujourd’hui totalement dépassés.
Dans les méthodes Yang Sheng Fa, « nourrir la vie », un point central : se réapproprier le temps. Il est fondamental de réintroduire des rythmes, des protocoles de vie. Et une vie entière peut se résumer en une seule journée.
Cette notion de rythme, de vie régulière est une constante chez les centenaires en bonne santé.
Voici quelques pistes :
*Se lever et se coucher aux mêmes heures. *Les différents repas seront eux aussi pris à heure fixe. Par exemple, manger tous les jours à midi et à dix-neuf heures. L’énergie de la Rate, chef d’orchestre de la digestion du bol alimentaire déteste l’irrégularité. *Rythmer sa journée par des séquences régulières de travail et de repos. *Pour ceux qui travaillent sur écran, se lever cinq minutes toutes les cinquante-cinq minutes pour bouger, respirer, se « secouer ».. *Boire régulièrement en petites quantités fractionnées. *Pratiquer à heure fixe dix minutes de mouvements pour conserver la souplesse des articulations, et faire circuler le sang et l’énergie (Qi Gong, Yoga, assouplissements…) . *De même arrêter régulièrement son ordinateur central, c’est-à-dire arrêter le flot ininterrompu de ses pensées par des moments de méditation, de relaxation, de détente. C’est vous le capitaine de votre vie ! Créez-vous vos propres protocoles et surtout suivez-les ! Si vous êtes en manque d’idées, regardez vivre une tortue, un chat et vous comprendrez tout de suite ce que sont ces notions de rythme.
Mais attention ! Ce serait une grave erreur que de devenir psychorigide. N’oublions pas que nous vivons dans la dualité. Trop de rythme finirait par tuer les bienfaits du rythme. De temps en temps, il est bon de casser ses « protocoles » de vie, de faire la fête. Mais vous l’avez compris, cela ne doit pas devenir une habitude quotidienne. Donc, recherchez vos points faibles en matière de régularité et corrigez-les sans précipitation. Jean PELISSIER"
"RYTHME ET RÉGULARITÉ, LE MÉTRONOME DE LA VITALITÉ
Nous abordons là un des grands secrets nous permettant d’atteindre la longévité en bonne santé.
Dans les mois à venir, nous allons assister à une explosion des pathologies du mental et des émotions, mais aussi à la décompensation de pathologies d’autodestructions (cancers, infections pulmonaires, maladies cardio-vasculaires, rhumatismes… ).
Une grande cause parmi d’autres : le confinement auquel s’est rajouté le virus de la peur, alimenté sciemment 24h/24h par les médias anxiogènes. Une conséquence qui ne doit pas passer inaperçue est, pour la majorité de la population, la perte de tous les points de repère, entretenue par des contradictions informationnelles quasi permanentes.
Une expérience très intéressante a été menée par des psychologues comportementalistes pour comprendre ce que pouvait générer une telle perte de points de repère. Des personnes volontaires furent enfermées seules dans un lieu où régnait le noir le plus complet pendant une quinzaine de jours. On leur avait au préalable expliqué qu’il pourrait avoir tout le nécessaire à portée de main pour survivre : lit, toilette, nourriture, boissons, etc. À eux de le découvrir par tâtonnement. Ils finirent, petit à petit, par s’adapter et se créer un rythme qui s’apparentait à leurs propres rythmes biologiques.
La même expérience fut refaite avec une autre série de volontaires, sauf que cette fois-ci les murs bougeaient, le mobilier changeait de place, le sol même pouvait monter et descendre. Au bout de quelques jours se créa chez eux une sorte de sidération. Et la majorité finissait par s’asseoir au centre de la pièce, en prostration complète. La peur, la perte de points de repère avait tendance à les transformer en zombies.
Et si nous prenions un peu de recul ! Nous sommes « microcosme » dans cet infini « macrocosme » de l’univers qui nous entoure. Si nous prenons juste comme exemple notre système solaire, tout y est réglé au millimètre près par des rythmes. C’est ce qui a permis de créer la science de l’astronomie.
Nous vivons en symbiose avec notre environnement et nous aussi sommes soumis à des rythmes immuables. Quelques exemples : les 12 méridiens, 12 organes, 12 mois de l’année, des « marées énergétiques » régulières qui jalonnent les 24h d’une journée. Les cinq logiciels organes avec chacun un pic énergétique quotidien, mais aussi saisonnier à l’instar du « nettoyage du printemps », saison qui appartient à l’énergie du Foie.
Oui, tout est cycle, tout est rythme dans notre corps : midi-minuit, veille-sommeil, circulation sanguine, lymphatique, hormonale, énergétique…
Nous le savons tous, plus ou moins intuitivement. Pour que notre organisme puisse rester en bonne santé, nous devons nous calquer sur ces rythmes et pour cela nous avons besoin de points de repères, de RÉGULARITÉ.
Or le confinement a cassé tous ces rythmes, déjà malmenés par nos vies « confortables » de matérialistes sédentaires. Une majorité de personnes s’est mise à se lever et se coucher à point d’heure. Le grignotage est devenu la règle, les horaires des repas devenant aléatoires. Certains ont même perdu la notion des jours… et sont aujourd’hui totalement dépassés.
Dans les méthodes Yang Sheng Fa, « nourrir la vie », un point central : se réapproprier le temps. Il est fondamental de réintroduire des rythmes, des protocoles de vie. Et une vie entière peut se résumer en une seule journée.
Cette notion de rythme, de vie régulière est une constante chez les centenaires en bonne santé.
Voici quelques pistes :
*Se lever et se coucher aux mêmes heures. *Les différents repas seront eux aussi pris à heure fixe. Par exemple, manger tous les jours à midi et à dix-neuf heures. L’énergie de la Rate, chef d’orchestre de la digestion du bol alimentaire déteste l’irrégularité. *Rythmer sa journée par des séquences régulières de travail et de repos. *Pour ceux qui travaillent sur écran, se lever cinq minutes toutes les cinquante-cinq minutes pour bouger, respirer, se « secouer ».. *Boire régulièrement en petites quantités fractionnées. *Pratiquer à heure fixe dix minutes de mouvements pour conserver la souplesse des articulations, et faire circuler le sang et l’énergie (Qi Gong, Yoga, assouplissements…) . *De même arrêter régulièrement son ordinateur central, c’est-à-dire arrêter le flot ininterrompu de ses pensées par des moments de méditation, de relaxation, de détente. C’est vous le capitaine de votre vie ! Créez-vous vos propres protocoles et surtout suivez-les ! Si vous êtes en manque d’idées, regardez vivre une tortue, un chat et vous comprendrez tout de suite ce que sont ces notions de rythme.
Mais attention ! Ce serait une grave erreur que de devenir psychorigide. N’oublions pas que nous vivons dans la dualité. Trop de rythme finirait par tuer les bienfaits du rythme. De temps en temps, il est bon de casser ses « protocoles » de vie, de faire la fête. Mais vous l’avez compris, cela ne doit pas devenir une habitude quotidienne. Donc, recherchez vos points faibles en matière de régularité et corrigez-les sans précipitation. Jean PELISSIER"
Le confinement lié au Covid19 entraîne une succession de faillites, et la solution que semblent proposer nos dirigeants est une incitation à reprendre une consommation de masse (basée sur la mondialisation de la production) qui finira par nous détruire tous, en plus de nous rendre égoïstes et inhumains, aveugles aux conditions de production et à la souffrance que nous provoquons...Pourtant le consumérisme n'est pas le seul mode de vie possible ! Vivre bien et heureux en consommant beaucoup moins, c'est possible pour TOUS, mais ça demande de vrais changements, notamment d'acheter moins mais d'accepter de payer à leur juste prix (c'est-à-dire plus cher) des produits fabriqués localement et des aliments de qualités produits sur place. Cela demande aussi -outre une interdiction de l'obsolescence programmée- de faire réparer par des artisans locaux tout ce qui est réparable, même si le prix à payer pour la réparation n'est pas loin du prix du même produit neuf : en ne rachetant PAS un nouvel objet on a créé moins de déchets et on a rétribué justement un artisan plutôt qu'enrichi une multinationale. Sur Youtube, quelques vidéos sur la simplicité volontaire et la décroissance donnent des pistes de réflexion. Celle de Guilhem Cayzac dresse durant les premières minutes un état des lieux vraiment intéressant et qui incite à passer à l'action.
En auto-réflexologie plantaire : zones réflexes du foie et de la vésicule biliaire, pour augmenter la créativité !
Note : merci à Guilhem Cayzac qui m'a gentiment autorisée, pour illustrer cet article, à publier une capture d'écran de sa vidéo "Et si on pratiquait la simplicité volontaire...à l'intérieur"
Les deux mois de confinement ont pu provoquer chez certain.e.s une fonte de la masse musculaire. Pour remplacer la graisse par du muscle, il faut de l'exercice physique, mais aussi des protéines.
Les protéines sont constituées d'acides aminés : les acides aminés essentiels doivent être apportés par l'alimentation, les non-essentiels sont fabriqués par le foie :
1) En ce qui concerne les acides aminés essentiels : consommer suffisamment de protéines. La dose quotidienne recommandée est d'1 gramme à 1,5 grammes par kilo de poids (soit 50 à 75 g par jour pour une personne de 50 kg). Les protéines animales sont plus acidifiantes -donc moins salutaires- pour l'organisme que les protéines végétales ; les protéines végétales, quant à elles, sont réputées être moins complètes, mais aujourd'hui le nombre de végétariens voire de végétaliens augmente sans cesse, y compris parmi les sportifs, et on ne remarque pas chez eux de problèmes de santé, bien au contraire.
Les meilleurs sources de protéines sont :
-Pour les protéines végétales : le soja (environ 36g de protéines pour 100g de soja) les amandes (30 g pour 100 g) le seitan (26 g pour 100 g), les cacahuètes (30 g pour 100 g), les noix (20 g pour 100 g), les légumineuses en contiennent aussi des quantités intéressantes, mais il faut savoir les préparer (trempage obligatoire + cuisson longue, le tout pour éliminer les facteurs antinutritionnels qui protègent la plante contre les attaques des parasites, mais qui n'ont pas le meilleur effet sur les organes digestifs humains) .
- Pour les protéines animales : le parmesan (38 g pour 100 g), la volaille, le bœuf, etc. (28 à 32 g environ pour 100 g), le thon (31 g pour 100 g) sont en tête.
Attention : une alimentation trop protéinée n'est pas bonne pour la santé.
2) En ce qui concerne les acides aminés non-essentiels, ceux qui sont fabriqués par le foie, travailler régulièrement la zone réflexe du foie (et de la vésicule biliaire -car selon la tradition chinoise les deux forment une équipe, et si l'un des co-équipiers faiblit l'autre ne tarde pas à en payer le prix), quelques minutes par jour une ou deux fois par semaine. A noter que si les acides aminés essentiels sont apportés par l'alimentation, c'est quand même le foie qui les transforme en protéines utilisables par notre organisme, de plus c'est encore lui qui détruit les protéines usagées (à raison de 50 à 100 g par jour environ) d'où l'intérêt de bichonner cet organe crucial pour notre santé . Par ailleurs, en médecine chinoise, la "fabrication des chairs" (c'est-à-dire du tissu conjonctif, donc également des muscles) est un rôle attribué à la rate. Travailler régulièrement la zone réflexe de la rate est donc aussi une bonne idée.
Voir la localisation des zones réflexes sur l'onglet "Auto-Réflexo 0, les zones réflexes par ordre alphabétique".
Après deux mois de confinement, le besoin de s'oxygéner va certainement se faire sentir, mais comme il nous est conseillé de ne pas chercher à croiser trop de personnes, il faudra attendre un peu pour le footing et autres activités physiques d'extérieur, surtout si on habite en ville. Il existe quelques possibilités pour bien s'oxygéner quand même (bien que rien ne remplace le grand air : nous ne sommes pas faits pour vivre en boîte, coupés de la nature, des arbres et des ruisseaux...) : La qualité de notre oxygénation va dépendre d'une part de la qualité de l'air ambiant, d'autre part de la capacité de notre organisme à s'oxygéner, il faut donc agir sur ces deux leviers.
1) Qualité de l'air ambiant
1) Qualité de l'air ambiant
- Aérer très fréquemment son lieu de vie ; dans les zones plus polluées aérer plutôt pendant la nuit, et penser peut être à installer un système de filtration d'air.
- Avoir des plantes : leur présence diminue le taux de gaz carbonique au profit de l'oxygène
- Eviter tous les produits qui diminuent la teneur en oxygène de l'air : bougies parfumées et sprays pour parfumer la maison peuvent être dangereux s'ils sont chimiques.
- Les exercices physiques, même pratiqués à l'intérieur, augmentent l'oxygénation.
- Les jus de légume fraîchement pressés sont sensés, grâce à leur teneur en sels minéraux, faciliter la capacité de l'organisme à s'oxygéner.
- Les aliments riches en fer améliorent le transport de l'oxygène dans le sang.
- Enfin, une pratique de choix est celle de la méditation centrée sur la respiration, une dizaine de minutes par jour minimum. Les bienfaits sont encore plus importants si, avant la séance, on fait quelques minutes d'auto-réflexologie sur les zones plantaires des poumons, du diaphragme et du plexus solaire (si vous avez le souffle court, travaillez aussi les zones réflexes des côtes et des muscles intercostaux, c'est magique) – voir la localisation de ces zones réflexes sur l'onglet "Auto-Réflexo 0, les zones réflexes par ordre alphabétique") : la respiration est aussitôt plus ample, plus profonde et beaucoup plus fluide. Vous pouvez en faire l'expérience en commençant directement par la pratique respiratoire, puis en faisant un peu d'auto-réflexologie sur les zones mentionnées ci-dessus, avant de reprendre les exercices respiratoires: vous pourrez constater que les effets sont bluffants : même le cerveau est plus calme et les pensées moins présentes ! N'hésitez pas à me faire part de votre expérience et de vos commentaires en m'envoyant un mail sur [email protected] !
Note : Dans tous les cas de constipation chronique il faut ABSOLUMENT consulter un médecin et s'assurer d'un suivi médical tant que la situation n'est pas rentrée dans l'ordre, pour tout un tas de raisons dont le risque d'occlusion intestinale qui engage un pronostic vital.
La limitation des sorties et déplacements due au confinement depuis plus d'un mois peut entraîner une réduction de notre activité physique et déboucher sur de la constipation (= moins de trois selles par semaine), d'où mon idée de consacrer le billet santé de la 2e quinzaine d'Avril à la constipation chronique chez l'adulte. Voici différentes possibilités, qu'il est important de distinguer car la cause de la constipation détermine le traitement à appliquer :
A) Les constipations primaires ou fonctionnelles :
1) La constipation chronique provenant de troubles de la défécation (dyssynergie anorectale), souvent dus à une mauvaise coordination des muscles pelviens , qui oblige à "forcer". La rééducation avec des exercices de contraction du rectum et du plancher pelvien donne de meilleurs résultats que les laxatifs, selon de nombreux sites médicaux. En réflexologie plantaire, un travail sur les zones réflexes du rectum et du plancher pelvien donne de très bons résultats.
2) La constipation chronique avec des selles dures mais un transit normal : dans ce cas, le problème est dû à une alimentation pauvres en fibres, une insuffisance en liquides, ou un excès de stress. La solution : ajouter des fibres à son alimentation, boire davantage d'eau, gérer son stress (méditation, thérapie, etc.). En réflexologie (pour la gestion du stress) : zones réflexes du diaphragme, du plexus solaire, et du nerf pneumogastrique – voir l'onglet "Les zones réflexes par ordre alphabétique"
3) La constipation chronique résultant d'un transit trop lent (péristaltisme insuffisant) : généralement dans ce cas la personne se sent encombrée mais n'a plus (ou rarement) d'envie urgente d'aller aux toilettes. La médecine allopathique peut apporter des solutions, ainsi que des médecines naturelles comme l'acupuncture. La réflexologie plantaire donne généralement d'excellents résultats en deux ou trois séances (en auto-réflexologie : zones réflexes du colon, du rectum, et des poumons)
B) Les constipations secondaires :
1) La constipation chronique qui résulte de traitements médicamenteux, notamment anti-hypertenseurs, antihistaminiques, anti-dépresseurs, etc. Dans ce cas, le médecin peut modifier le traitement, ou, si ce n'est pas possible, prescrire des laxatifs osmotiques, c'est-à-dire pouvant être pris au long cours : ils agissent au bout d'un jour ou deux, principalement en attirant l'eau dans le colon pour ramollir les selles. Les médecines naturelles peuvent aider, mais pas traiter, puisque la cause est extérieure à l'organisme (en l'occurrence un médicament) et ne résulte pas d'un dysfonctionnement de celui-ci (en médecine chinoise ont dit que la cause est un "pervers externe").
2) La constipation chronique provenant d'une obstruction du côlon ; une des causes les plus fréquentes étant le cancer colorectal (particulièrement en cas de terrain inflammatoire du côlon, ou de fragilité familiale) on voit l'importance de consulter un médecin en cas de constipation chronique.
La limitation des sorties et déplacements due au confinement depuis plus d'un mois peut entraîner une réduction de notre activité physique et déboucher sur de la constipation (= moins de trois selles par semaine), d'où mon idée de consacrer le billet santé de la 2e quinzaine d'Avril à la constipation chronique chez l'adulte. Voici différentes possibilités, qu'il est important de distinguer car la cause de la constipation détermine le traitement à appliquer :
A) Les constipations primaires ou fonctionnelles :
1) La constipation chronique provenant de troubles de la défécation (dyssynergie anorectale), souvent dus à une mauvaise coordination des muscles pelviens , qui oblige à "forcer". La rééducation avec des exercices de contraction du rectum et du plancher pelvien donne de meilleurs résultats que les laxatifs, selon de nombreux sites médicaux. En réflexologie plantaire, un travail sur les zones réflexes du rectum et du plancher pelvien donne de très bons résultats.
2) La constipation chronique avec des selles dures mais un transit normal : dans ce cas, le problème est dû à une alimentation pauvres en fibres, une insuffisance en liquides, ou un excès de stress. La solution : ajouter des fibres à son alimentation, boire davantage d'eau, gérer son stress (méditation, thérapie, etc.). En réflexologie (pour la gestion du stress) : zones réflexes du diaphragme, du plexus solaire, et du nerf pneumogastrique – voir l'onglet "Les zones réflexes par ordre alphabétique"
3) La constipation chronique résultant d'un transit trop lent (péristaltisme insuffisant) : généralement dans ce cas la personne se sent encombrée mais n'a plus (ou rarement) d'envie urgente d'aller aux toilettes. La médecine allopathique peut apporter des solutions, ainsi que des médecines naturelles comme l'acupuncture. La réflexologie plantaire donne généralement d'excellents résultats en deux ou trois séances (en auto-réflexologie : zones réflexes du colon, du rectum, et des poumons)
B) Les constipations secondaires :
1) La constipation chronique qui résulte de traitements médicamenteux, notamment anti-hypertenseurs, antihistaminiques, anti-dépresseurs, etc. Dans ce cas, le médecin peut modifier le traitement, ou, si ce n'est pas possible, prescrire des laxatifs osmotiques, c'est-à-dire pouvant être pris au long cours : ils agissent au bout d'un jour ou deux, principalement en attirant l'eau dans le colon pour ramollir les selles. Les médecines naturelles peuvent aider, mais pas traiter, puisque la cause est extérieure à l'organisme (en l'occurrence un médicament) et ne résulte pas d'un dysfonctionnement de celui-ci (en médecine chinoise ont dit que la cause est un "pervers externe").
2) La constipation chronique provenant d'une obstruction du côlon ; une des causes les plus fréquentes étant le cancer colorectal (particulièrement en cas de terrain inflammatoire du côlon, ou de fragilité familiale) on voit l'importance de consulter un médecin en cas de constipation chronique.
Face à l'indisponibilité de traitements efficaces contre le Covid19, et aux possibilités de retours du virus dans l'avenir, "comment booster son système immunitaire" reste LA question d'actualité (et vraisemblablement d'avenir) en matière de santé, puisqu'on ne peut compter que sur lui. Le "Billet santé de la 1e quinzaine d'avril" traite donc encore et toujours du système immunitaire. C'est une synthèse de mes connaissances en la matière et des meilleurs articles que j'ai pu trouver sur internet. J'espère qu'il vous sera de quelque utilité. Comment donc booster notre système immunitaire ? Par ordre d'importance :
1) DORMIR. C'est vraiment la clé. Plus encore que d'habitude nous devons faire notre maximum pour dormir suffisamment.
2) BOIRE (de l'eau !) L'hydratation est le second élément le plus important pour aider l'organisme à se débarrasser des indésirables. Boire de l'eau filtrée ou de l'eau minérale.
3) MANGER SAINEMENT ET PRIVILEGIER CERTAINS ALIMENTS, si possible bio pour limiter au maximum la quantité de toxiques ingérés. Il faut mettre l'accent sur deux types d'aliments, A) d'une part ceux qui vont booster les cellules du système immunitaire et B) d'autre part ceux qui vont ralentir voire inhiber la duplication du virus dans notre organisme :
A) Les aliments qui vont permettre aux cellules du système immunitaire (celles qui vont partir en guerre contre l'envahisseur) principalement les lymphocites T, B et NK (pour "Natural Killers") d'être au maximum de leur forme.
Il s'agit des aliments riches en vitamine C (dont l'apport journalier recommandé est d'environ 110 mg/jour en tant normal) : le cassis (200 mg pour 100 g), le persil (190 mg/100g), le poivron rouge cru (162mg/100g), les herbes aromatiques (143 mg/100g), le zeste de citron (129 mg/100g), le poivron vert ou jaune cru (120 mg/100g), le kiwi (92,70 mg/100g), le poivron vert jaune ou rouge cuit (74,40 mg/100g) le litchi (71,50 mg/100g), les fruits rouges (environ 67,90 mg/100g), le chou rouge (55,00 mg/100g), le jus d'orange pressée (53,80 mg/100g), le citron (53,00 mg/100g), le jus de citron pressé (42,60 mg/100g), le pamplemousse (42,10 mg/100g), la groseille (40,00 mg/100g), l'orange (39,70 mg/100g), les épinards (39,30 mg/100g)...les carottes et les pommes ne contiennent que 5 à 6 mg de vitamine C pour 100 g ; il faut savoir qu'en matière de vitamine C. une pomme de 1950 équivaut à 100 pommes d'aujourd'hui :
"Hier, quand nos grand-parents croquaient dans une transparente de Croncels, ils avalaient 400 mg de vitamine C, indispensable à la fabrication et à la réparation de la peau et des os. Aujourd’hui, les supermarchés nous proposent des bacs de Golden standardisées, qui ne nous apportent que 4 mg de vitamine C chacune. Soit cent fois moins." (https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-planete/20150126.RUE7557/une-pomme-de-1950-equivaut-a-100-pommes-d-aujourd-hui.html)
B) Les aliments qui vont inhiber la capacité du virus à se dupliquer et se propager dans notre organisme, et ce sont principalement ceux qui sont riches en zinc . A savoir, par ordre d'importance : les huîtres (avec 39,30 mg par 100 g), le germe de blé (16,7 mg pour 100 g), à saupoudrer sur les salades, céréales, soupes, fromages blancs etc., le foie de veau (11,5 mg pour 100 g), le boeuf (8,7mg /100g), les champignons shiitake séchés (7,66mg/100g), les graines de courges rôties (7,64mg/100g%), le crabe (7,62mg/100g), le jambon cuit découenné (6,5 mg/100g) le jaune d'oeuf (6,3mg/100g) les lentilles (5,5mg/100 g), le pain complet (5 mg/100). Ensuite les aliments riches en anti-oxydants, comme le thé vert. Le gingembre, le curcuma, l'origan, l'échinacée, la réglisse, auraient potentiellement des effets anti-viraux, ainsi que l'ail qui se classerait en tête de liste des antiviraux naturels (pris en bonne quantité, à savoir 2 à 3 gousses par jour), et le miel.
1) DORMIR. C'est vraiment la clé. Plus encore que d'habitude nous devons faire notre maximum pour dormir suffisamment.
2) BOIRE (de l'eau !) L'hydratation est le second élément le plus important pour aider l'organisme à se débarrasser des indésirables. Boire de l'eau filtrée ou de l'eau minérale.
3) MANGER SAINEMENT ET PRIVILEGIER CERTAINS ALIMENTS, si possible bio pour limiter au maximum la quantité de toxiques ingérés. Il faut mettre l'accent sur deux types d'aliments, A) d'une part ceux qui vont booster les cellules du système immunitaire et B) d'autre part ceux qui vont ralentir voire inhiber la duplication du virus dans notre organisme :
A) Les aliments qui vont permettre aux cellules du système immunitaire (celles qui vont partir en guerre contre l'envahisseur) principalement les lymphocites T, B et NK (pour "Natural Killers") d'être au maximum de leur forme.
Il s'agit des aliments riches en vitamine C (dont l'apport journalier recommandé est d'environ 110 mg/jour en tant normal) : le cassis (200 mg pour 100 g), le persil (190 mg/100g), le poivron rouge cru (162mg/100g), les herbes aromatiques (143 mg/100g), le zeste de citron (129 mg/100g), le poivron vert ou jaune cru (120 mg/100g), le kiwi (92,70 mg/100g), le poivron vert jaune ou rouge cuit (74,40 mg/100g) le litchi (71,50 mg/100g), les fruits rouges (environ 67,90 mg/100g), le chou rouge (55,00 mg/100g), le jus d'orange pressée (53,80 mg/100g), le citron (53,00 mg/100g), le jus de citron pressé (42,60 mg/100g), le pamplemousse (42,10 mg/100g), la groseille (40,00 mg/100g), l'orange (39,70 mg/100g), les épinards (39,30 mg/100g)...les carottes et les pommes ne contiennent que 5 à 6 mg de vitamine C pour 100 g ; il faut savoir qu'en matière de vitamine C. une pomme de 1950 équivaut à 100 pommes d'aujourd'hui :
"Hier, quand nos grand-parents croquaient dans une transparente de Croncels, ils avalaient 400 mg de vitamine C, indispensable à la fabrication et à la réparation de la peau et des os. Aujourd’hui, les supermarchés nous proposent des bacs de Golden standardisées, qui ne nous apportent que 4 mg de vitamine C chacune. Soit cent fois moins." (https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-planete/20150126.RUE7557/une-pomme-de-1950-equivaut-a-100-pommes-d-aujourd-hui.html)
B) Les aliments qui vont inhiber la capacité du virus à se dupliquer et se propager dans notre organisme, et ce sont principalement ceux qui sont riches en zinc . A savoir, par ordre d'importance : les huîtres (avec 39,30 mg par 100 g), le germe de blé (16,7 mg pour 100 g), à saupoudrer sur les salades, céréales, soupes, fromages blancs etc., le foie de veau (11,5 mg pour 100 g), le boeuf (8,7mg /100g), les champignons shiitake séchés (7,66mg/100g), les graines de courges rôties (7,64mg/100g%), le crabe (7,62mg/100g), le jambon cuit découenné (6,5 mg/100g) le jaune d'oeuf (6,3mg/100g) les lentilles (5,5mg/100 g), le pain complet (5 mg/100). Ensuite les aliments riches en anti-oxydants, comme le thé vert. Le gingembre, le curcuma, l'origan, l'échinacée, la réglisse, auraient potentiellement des effets anti-viraux, ainsi que l'ail qui se classerait en tête de liste des antiviraux naturels (pris en bonne quantité, à savoir 2 à 3 gousses par jour), et le miel.
Pour booster vos défenses immunitaires, travaillez en auto-réflexologie les zones réflexes de la Rate, des Poumons, et du Thymus
Pour gérer la peur et l'angoisse : zones réflexes des Reins et de la Vessie, le tout quelques minutes par organe chaque jour.
En cas de crise de panique, d'angoissse, de claustrophobie etc. : travaillez la zone réflexe du nerf pneumogastrique ( vous pouvez faire la même chose directement sur les doigts de la main en cas d'urgence), ce qui calmera les battements cardiaques et vous aidera à retrouver votre calme .
Voir la localisation de ces zones réflexes onglet "Auto-Réflexo 0 : Les Zones Réflexes par ordre alphabétique.
Bon courage à tou.te.s, prenez soin de vous <3
Pour gérer la peur et l'angoisse : zones réflexes des Reins et de la Vessie, le tout quelques minutes par organe chaque jour.
En cas de crise de panique, d'angoissse, de claustrophobie etc. : travaillez la zone réflexe du nerf pneumogastrique ( vous pouvez faire la même chose directement sur les doigts de la main en cas d'urgence), ce qui calmera les battements cardiaques et vous aidera à retrouver votre calme .
Voir la localisation de ces zones réflexes onglet "Auto-Réflexo 0 : Les Zones Réflexes par ordre alphabétique.
Bon courage à tou.te.s, prenez soin de vous <3
Pour les amateurs d'histoire, de tisane, ou d'histoire de la tisane, voici quelques recettes médiévales du temps où les papes vivaient en Avignon. Je n'ai pas vérifié les sources, mais la boutique du Palais des Papes donne quasiment une recette par pontife, que je me suis empressée de noter (il me manque celles des papes Clément V, Clément VI et Benoît XIII). J'ai essayé de résumer en un mot la personnalité de chaque pape dans l'idée de capter « la vibe » qui pourrait caractériser sa tisane et de l'utiliser à des fins « thérapeutiques ». Par exemple celle d'Innocent VI (le dépensier) pourrait convenir aux radins, et celle d'Urbain V (l'économe) aux paniers percés... enfin, simple supposition...
Voici donc les recettes :
La tisane du pape Jean XXII (1316 – 1334), le financier diplomate : gingembre, cassis, citronnelle, matricaire
La tisane du pape Benoît XII (1334 – 1342), le sobre : menthe nana, réglisse
La tisane d'Innocent VI (1352 – 1362), le dépensier : thym, sauge, guimauve
La tisane d'Urbain V, (1362 – 1370), l'économe : menthe nanah, fenouil, romarin, citronnelle
La tisane de Grégoire XI (1370 – 1378), l'érudit : menthe poivrée, badiane, angélique
La tisane de Clément VII (1378-1394), l'amateur d'art : lavande, matricaire, mélisse, fleur d'oranger, tilleul
Voici donc les recettes :
La tisane du pape Jean XXII (1316 – 1334), le financier diplomate : gingembre, cassis, citronnelle, matricaire
La tisane du pape Benoît XII (1334 – 1342), le sobre : menthe nana, réglisse
La tisane d'Innocent VI (1352 – 1362), le dépensier : thym, sauge, guimauve
La tisane d'Urbain V, (1362 – 1370), l'économe : menthe nanah, fenouil, romarin, citronnelle
La tisane de Grégoire XI (1370 – 1378), l'érudit : menthe poivrée, badiane, angélique
La tisane de Clément VII (1378-1394), l'amateur d'art : lavande, matricaire, mélisse, fleur d'oranger, tilleul
2e Quinzaine de Février 2020
Bon pied bon œil !
Comment prendre soin de sa vue ? Le dicton « bon pied bon œil » nous donne un indice, car la réflexologie plantaire peut nous aider.
Pour commencer, travailler régulièrement les zones réflexes du foie et de la vésicule biliaire : en effet, la médecine traditionnelle chinoise a remarqué un lien étroit entre la qualité énergétique de ces organes et la qualité de notre vue.
Ensuite, travailler les zones réflexes des yeux, dans la pliure interne de la phalange distale des orteils 2 et 3 sous chaque pied.
Enfin, travailler les zones réflexes des 2e, 3e, 4e, 5e et 6e paires de nerfs crâniens, respectivement les nerfs : optique, oculaire commun, pathétique, trijumeau, et oculaire externe.
Voir la localisation des zones réflexes en suivant l'onglet « les zones réflexes par ordre alphabétique »
Pour commencer, travailler régulièrement les zones réflexes du foie et de la vésicule biliaire : en effet, la médecine traditionnelle chinoise a remarqué un lien étroit entre la qualité énergétique de ces organes et la qualité de notre vue.
Ensuite, travailler les zones réflexes des yeux, dans la pliure interne de la phalange distale des orteils 2 et 3 sous chaque pied.
Enfin, travailler les zones réflexes des 2e, 3e, 4e, 5e et 6e paires de nerfs crâniens, respectivement les nerfs : optique, oculaire commun, pathétique, trijumeau, et oculaire externe.
Voir la localisation des zones réflexes en suivant l'onglet « les zones réflexes par ordre alphabétique »
1e Quinzaine de Février 2020
Préserver son audition
« Les murs ont des oreilles » ... Pour préserver le bon fonctionnement des nôtres, la réflexologie plantaire peut être d'un grand secours.
En médecine chinoise, la qualité de l'audition est associée à l'énergie de l'Elément Eau, représenté dans le corps humain par les reins, la vessie, et les organes génitaux. Pour entretenir (ou améliorer) notre audition, dans la mesure où il s'agit d'un dysfonctionnement et non d'une lésion, on pourra donc travailler régulièrement, en plus des zones réflexes des oreilles et de l'oreille interne, les zones réflexes :
En médecine chinoise, la qualité de l'audition est associée à l'énergie de l'Elément Eau, représenté dans le corps humain par les reins, la vessie, et les organes génitaux. Pour entretenir (ou améliorer) notre audition, dans la mesure où il s'agit d'un dysfonctionnement et non d'une lésion, on pourra donc travailler régulièrement, en plus des zones réflexes des oreilles et de l'oreille interne, les zones réflexes :
- Des reins
- De la vessie
- Des organes génitaux (ovaires/testicules et utérus/prostate)
- Des oreilles, oreille externe et oreille interne (sur la tranche de la phalange distale des orteils 4 et 5, sur chaque pied)
- Des 7e et 8e paires de nerfs crâniens (respectivement le Nerf Facial et le Nerf Auditif).
Comme une amie vient de m'offrir une « copper bottle » de chez Yogi Yogini (qui plus est joliment gravée de la Fleur de vie) j'ai fait quelques recherches sur la question. La tradition médicale ayurvédique enseigne que stocker de l'eau dans une bouteille en cuivre transforme cette eau en véritable élixir de santé (Tamra Jal) équilibrant les trois doshas du corps humain (à savoir l'air, l'eau et le feu). Lorsque de l'eau est stockée dans un récipient en cuivre pendant 8 heures, des ions de cuivre sont libérés dans l'eau selon un processus appelé effet oligodynamique. Or le cuivre est un métal et oligo-élément reconnu pour ses propriétés antiseptiques et anti-inflammatoires, indispensable à la régénération cellulaire et à la formation de l'hémoglobine, mais que notre corps ne fabrique pas et que nous devons lui procurer de l'extérieur.
Un site médical américain, Medlife International, détaille 13 des bienfaits procurés par de l'eau de boisson qui a été stockée dans des récipients en cuivre (je me contente de citer ces bienfaits sans les détailler, car ce serait du plagia, mais vous en trouverez les explications -scientifiques et très convaincantes- en suivant ce lien
https://www.medlife.com/web/copper-vessels-bottle-benefits/ ) ainsi que les précautions à prendre.
Selon Medlife voici donc les bénéfices à en attendre :
Un site médical américain, Medlife International, détaille 13 des bienfaits procurés par de l'eau de boisson qui a été stockée dans des récipients en cuivre (je me contente de citer ces bienfaits sans les détailler, car ce serait du plagia, mais vous en trouverez les explications -scientifiques et très convaincantes- en suivant ce lien
https://www.medlife.com/web/copper-vessels-bottle-benefits/ ) ainsi que les précautions à prendre.
Selon Medlife voici donc les bénéfices à en attendre :
- Aide à combattre le cancer
- Equilibre la tension artérielle
- Aide au fonctionnement de la glande thyroïde
- Prévient l'anémie
- Soigne l'arthrite et les inflammations articulaires
- Lutte contre les états infectieux
- Facilite la digestion
- Soutient le système cardiovasculaire
- Ralentit le vieillissement
- Augmente l'efficacité intellectuelle
- Aide à prévenir les AVC
- Aide à perdre du poids
- Accélère la cicatrisation
1e Quinzaine de Janvier 2020
Pourquoi garder les cheveux longs ?
La réponse d'un yogi...
Durant le second semestre 2019, j'ai consacré deux billets santé de la quinzaine à la question des cheveux, mais j'y reviens car je suis tombée dernièrement sur des enseignements intéressants de Yogi Bhajan (le yogi qui a diffusé le kundalini yoga en Occident). Je ne suis pas sûre qu'à l'heure actuelle la science les ait corroborés, mais ils ne sont pas obligatoirement faux pour autant, alors à chacun.e de se faire une idée :
- Concernant la longueur, il explique que nos cheveux sont programmés pour pousser jusqu'à une certaine longueur, et arrêtent leur croissance lorsqu'ils l'ont atteinte (au-delà, ils ne pousseront plus quoi qu'on fasse). Si on les coupe, le corps va inlassablement essayer de les ramener à cette longueur idéale, dépensant continuellement divers nutriments pour les faire croître. Selon Yogi Bhajan, en arrêtant de couper nos cheveux, -dès qu'ils ont atteint leur longueur maximale naturelle, soit environ au bout de trois ans- les minéraux et autres nutriments consacrés à leur croissance redeviennent disponibles pour d'autres fonctions corporelles, entraînant entre autres une augmentation palpable de notre énergie.
- Selon lui, il ne faut pas porter de frange, afin de ne pas bloquer le processus de transmission de la lumière à la glande pinéale via les os du front, affectant l'activité cérébrale et les hormones thyroïdiennes et sexuelles.
- Concernant les cheveux qui deviennent gris puis blanc, il explique que leur clarté augmente le flux d'énergie solaire arrivant dans organisme, facilitant la synthèse de vitamine D qui a tendance à ralentir lorsque nous vieillissons.
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Voici quelques suggestions :
- Notre lieu de vie est l'endroit où l'on reconstitue nos forces ; pour bien démarrer l'année c'est le moment d'un bon nettoyage : aérer, aspirer, laver, et trier. L'idée c'est d'enlever ce qui pollue et alourdit, de faire circuler l'air frais, de laisser de l'espace et de faire peau neuve.
- La gratitude, on lit partout que c'est essentiel. Dire au revoir à l'année écoulée en remerciant 2019 pour toutes les bonnes choses qui ont croisé notre chemin, et aussi pour les moins bonnes (bien sûr, il ne s'agit pas des drames) : on apprend toujours de nos expériences.
- Lâcher prise : laisser partir toutes les rancoeurs, les mauvaises habitudes, les mauvais moments dont la seule utilité va être de nous plomber encore en 2020. C'est le moment de laisser derrière toutes ces pensées négatives qui ne nous servent à rien. On peut les écrire sur un papier que l'on brûle ensuite : c'est symbolique mais c'est une technique que beaucoup de psychologues utilisent et qui renforce ce lâcher prise.
- Se tourner vers l'avenir, accueillir le meilleur : écrire quelques objectifs, 3 ou 4 choses que l'on aimerait finaliser ou voir arriver dans notre vie en 2020, et prendre quelques minutes pour y rêver en fermant les yeux, en imaginant que c'est déjà là. La première condition pour voir se réaliser nos projets et nos rêves, c'est d'y croire.
CI-DESSOUS :
ARCHIVES DES BILLETS SANTE DE LA QUINZAINE DE L'ANNEE 2019
Note : Les archives de 2018, 2017 et 2016 sont dans un onglet différent, voir table des matières et lien en page d'accueil.
30 Décembre 2019 : Belle et efficace fin d'année !
2e Quinzaine de Décembre 2019 : Joyeux Noël avec les biscuits de la joie de Ste Hildegarde de Bingen
1e Quinzaine de Décembre 2019 : Les risques de la télémédecine
2e Quinzaine de Novembre 2019 : Ce cher Hypo !
1e Quinzaine de Novembre 2019 : "Préparons-nous à la 5 G"
2e Quinzaine d'Octobre 2019 : Faire le dos rond
1e Quinzaine d'Octobre 2019 : Sauver sa peau !
2e Quinzaine de Septembre 2019 : L'impact de la déco sur notre santé
1e Quinzaine de Septembre 2019 : Pourquoi pratiquer l'auto-réflexologie plantaire ?
2e Quinzaine d'Août 2019 : Prendre une douche froide
1e Quinzaine d'Août 2019 : Des cheveux de yogi
2e Quinzaine de Juillet 2019 : La saison Feu
1e Quinzaine de Juillet 2019 : Se connecter à la Terre pour lutter contre les états inflammatoires
2e Quinzaine de Juin 2019 : Un été sans lunettes solaires ?
1e Quinzaine de Juin 2019 : Se remonter le moral avec la saveur amère
2e Quinzaine de Mai 2019 : Dormir pour mincir, dormir pour rajeunir
1e Quinzaine de Mai 2019 : En mai, fais...du tambour ! La pratique des percussions comme médecine naturelle
2e Quinzaine d'Avril 2019 : Printemps et créativité
1e Quinzaine d'Avril 2019 : Bon pied, bon (troisième) œil
2e Quinzaine de Mars 2019 : Sésame, ouvre-toi !
1e Quinzaine de Mars 2019 : l'Ashwaganda et les plantes adaptogènes
2e Quinzaine de Février 2019 : Cowspiracy, le secret du développement durable
1e Quinzaine de Février 2019 : Comme un poisson dans l'eau
2e Quinzaine de Janvier 2019: Avoir du nez !
1e Quinzaine de Janvier 2019 : La Vitamine B17 contre le cancer ?
2e Quinzaine de Décembre 2019
JOYEUX NOEL
avec les biscuits de la joiede Ste Hildegarde de Bingen
Nous devenons ce que nous mangeons, et l'effet des aliments sur notre humeur (et non seulement sur notre santé, puisque les substances contenues dans toute plante -y compris les fruits, légumes, légumineuses et céréales- agissent aussi sur notre cerveau) est un domaine d'études qui mériterait d'être approfondi. Au XIIe siècle, une célèbre moniale bénédictine, sujette à des visions et des extases dont elle revenait emplie de connaissances aussi bien sur la musique que sur les bienfaits médicinaux des plantes, ou sur la nature de Dieu (ses compréhensions religieuses lui ont d'ailleurs valu d'être admise, 900 années plus tard, dans le cercle très fermé des Docteurs de l'Eglise Catholique par le pape Benoit XVI) avait parfaitement compris le lien entre les aliments et notre humeur.
Elle nous a ainsi laissé la recette des biscuits de la joie, qui sont pendant les fêtes un très bon moyen de célébrer l'esprit de Noël !
"Prendre une noix de muscade, un poids égal de cannelle, et un peu de giroflier; réduire en poudre; avec cette poudre, de la fleur de farine et un peu d'eau, faire des petites galettes et en manger souvent: cette préparation adoucit l'amertume du corps et de l'esprit, ouvre le cœur, aiguise les sens émoussés, rend l'âme joyeuse, purifie les sens, diminue les humeurs nocives, apporte du bon suc au sang, et fortifie."
Ceci est la recette originale de Ste Hildegarde, elle est végan et ne contient pas de sucre. On peut y incorporer du miel, de l'huile d'olive, des œufs, de la poudre d'amande, du beurre ou quoi que ce soit qui fasse de ces biscuits un dessert conforme à nos goûts actuels, mais du coup le résultat sur notre humeur n'est pas garanti. La farine utilisée par Hildegarde n'était pas de la farine de blé (plus acidifiante pour l'organisme donc peu recommandable), mais de la farine d'épeautre, céréale très riche en magnésium, lui même riche en acides aminés précurseurs de la sérotonine (hormone du bonheur),
A titre indicatif, pour une vingtaine de biscuits prévoir 250 g de farine, 7 à 8 grammes de cannelle en poudre, 7 à 8 grammes de muscade en poudre, 1 g de clou de girofle en poudre. Ajouter de l'eau afin d'avoir une pâte qui se décolle bien du saladier. A enfourner dix à douze minutes thermostat 180°
et pour cuisiner au son d'une musique céleste, voici le lien vers Hildegarde de Bingen, Voix des Anges
https://www.youtube.com/watch?v=v6qFCYRQKVA
Elle nous a ainsi laissé la recette des biscuits de la joie, qui sont pendant les fêtes un très bon moyen de célébrer l'esprit de Noël !
"Prendre une noix de muscade, un poids égal de cannelle, et un peu de giroflier; réduire en poudre; avec cette poudre, de la fleur de farine et un peu d'eau, faire des petites galettes et en manger souvent: cette préparation adoucit l'amertume du corps et de l'esprit, ouvre le cœur, aiguise les sens émoussés, rend l'âme joyeuse, purifie les sens, diminue les humeurs nocives, apporte du bon suc au sang, et fortifie."
Ceci est la recette originale de Ste Hildegarde, elle est végan et ne contient pas de sucre. On peut y incorporer du miel, de l'huile d'olive, des œufs, de la poudre d'amande, du beurre ou quoi que ce soit qui fasse de ces biscuits un dessert conforme à nos goûts actuels, mais du coup le résultat sur notre humeur n'est pas garanti. La farine utilisée par Hildegarde n'était pas de la farine de blé (plus acidifiante pour l'organisme donc peu recommandable), mais de la farine d'épeautre, céréale très riche en magnésium, lui même riche en acides aminés précurseurs de la sérotonine (hormone du bonheur),
A titre indicatif, pour une vingtaine de biscuits prévoir 250 g de farine, 7 à 8 grammes de cannelle en poudre, 7 à 8 grammes de muscade en poudre, 1 g de clou de girofle en poudre. Ajouter de l'eau afin d'avoir une pâte qui se décolle bien du saladier. A enfourner dix à douze minutes thermostat 180°
et pour cuisiner au son d'une musique céleste, voici le lien vers Hildegarde de Bingen, Voix des Anges
https://www.youtube.com/watch?v=v6qFCYRQKVA
D'après l'Agence Nationale des Fréquences, un des nombreux avantages de la 5G (qui doit être déployée sur notre territoire à partir de 2020 )va être le développement de la télémédecine... Il n'est pourtant pas sûr que l'on doive s'en réjouir, si l'on en croit les faiblesses présentées par ce qui existe déjà en la matière, comme le problème du risque de piratage de pacemakers déjà implantés dans des malades. En effet, si jusqu'en 2017 un médecin devait se trouver dans la même pièce que son patient pour régler son pacemaker, les dernières générations de stimulateurs cardiaques ont été dotées de fonctionnalités sans fil qui permettent leur réglage à distance par internet. Résultat, dès l'été 2017 l'Agence Américaine de Sécurité Sanitaire a demandé à plus de 500 000 patients de se rapprocher d'hôpitaux pour effectuer une mise à jour du logiciel des pacemakers qui leur avaient été implantés, pour raison de « vulnérabilité à des attaques extérieures », et, le 4 septembre 2017, le journal Ouest France informait d'un « risque accru de piratage pour 40 000 porteurs français. Une faille de sécurité a été découverte dans le logiciel de certains pacemakers conçus aux États-Unis. (…) Ouest France précisait que « Ce sont des scientifiques de l’université de Louvain (Belgique) qui sont parvenus à pirater les pacemakers. « Nous avons démontré qu’à l’aide d’une antenne artisanale et d’un ordinateur, un pirate pouvait aisément piloter le pacemaker, ce qui est, bien évidemment, dangereux », explique le cardiologue belge Rik Willems. Car c'est bien le problème du piratage (en plus de celui de la protection des données et des risques pour notre vie privée) qui va se poser dans ce monde de la 5 G qui nous attend à partir de 2020, c'est-à-dire à partir du mois prochain. Que ferons nous dans nos « voitures intelligentes » si des hackeurs en prennent le contrôle et nous conduisent où ils veulent pour nous rançonner ? de nos « maisons intelligentes » si des pirates informatiques peuvent ouvrir et fermer les portes à leur guise etc. Sans parler de la vitesse à laquelle un contrôle et une surveillance totale seraient réalisés sur nos vies si des régimes autoritaires se mettaient un jour en place...On ne peut que regretter que des changements sociétaux d'une telle envergure aient pu se mettre en place sans le moindre débat public, sur simples décisions de nos dirigeants, et ce malgré les risques énormes pour la santé, la sécurité, et la liberté, dénoncés par toute une partie de la communauté scientifique.
Il s'appelle Hypothalamus, et ...que serions-nous sans lui ?
Notre équilibre hydrique est menacé, nous avons perdu trop d'eau et oublié de boire ? Il déclenche la sensation de soif jusqu'à ce que le niveau d'hydratation correct soit restauré, tout en libérant l'hormone anti-diurétique -l'ADH- pour réduire les pertes d'eau : les reins vont récupérer une partie de l'eau des urines et produire des urines hyper-concentrées.
Nos réserves énergétiques baissent et notre estomac est vide ? il va libérer des orexines, les hormones de la faim (notamment la ghréline et le cortisol) ; lorsque nous aurons consommé la quantité de nourriture adéquate, la production d'orexines sera inhibée et remplacée par les hormones de satiété, pour nous dire que ça suffit et qu'on peut se lever de table.
Ce cher Hypo intervient encore dans tout un tas de fonctions hyper importantes, comme le sommeil ou la température corporelle, c'est lui qui nous souffle d'aller au lit ou d'enfiler une veste, et on sait maintenant que c'est encore lui qui envoie des signaux à l'hypophyse pour lui enjoindre de produire certaines hormones , ce qui en fait définitivement le roi de nos glandes endocrines.
Il ne faut donc pas se priver de le bichonner, notamment en écoutant ses conseils, en allant au lit quand il nous y envoie, en buvant de l'eau lorsqu'il nous dit de boire, et en arrêtant de manger lorsqu'il nous dit qu'on n'a plus faim. Autrement ses signaux se brouillent, et l'on perd la sensation de soif à force de se retenir de boire (ou de se forcer, ce qui n'est pas mieux), on perd le sommeil à force de rester éveillé malgré la fatigue, on perd la sensation de satiété à force de manger sans avoir faim -et c'est le cas depuis notre enfance quand on nous force à finir notre assiette...
Pour un retour à l'équilibre, travailler la zone réflexe de l'hypothalamus, en appuyant jusqu'à atteindre 1 à 2 mm sous la peau (voir le site Reflexologieplantaire84.com pour savoir comment pratiquer l'auto-réflexologie). Si la zone réflexe est douloureuse c'est que l'hypothalamus a besoin d'un coup de pouce, donc continuer à raison d'une à deux minutes matin et soir autant de jours qu'il le faudra pour que la zone ne vous fasse plus mal. Si vous mangez sans avoir faim, travaillez en plus la zone réflexe de la Rate (idem, une à deux minutes matin et soir ; voir la localisation de la zone réflexe sur Reflexologieplantaire84.com, onglet « Les zones réflexes par ordre alphabétique ») jusqu'à ce que les envies compulsives de nourriture diminuent puis disparaissent, j'ai remarqué que l'on obtient de meilleurs résultats en associant les deux.
Notre équilibre hydrique est menacé, nous avons perdu trop d'eau et oublié de boire ? Il déclenche la sensation de soif jusqu'à ce que le niveau d'hydratation correct soit restauré, tout en libérant l'hormone anti-diurétique -l'ADH- pour réduire les pertes d'eau : les reins vont récupérer une partie de l'eau des urines et produire des urines hyper-concentrées.
Nos réserves énergétiques baissent et notre estomac est vide ? il va libérer des orexines, les hormones de la faim (notamment la ghréline et le cortisol) ; lorsque nous aurons consommé la quantité de nourriture adéquate, la production d'orexines sera inhibée et remplacée par les hormones de satiété, pour nous dire que ça suffit et qu'on peut se lever de table.
Ce cher Hypo intervient encore dans tout un tas de fonctions hyper importantes, comme le sommeil ou la température corporelle, c'est lui qui nous souffle d'aller au lit ou d'enfiler une veste, et on sait maintenant que c'est encore lui qui envoie des signaux à l'hypophyse pour lui enjoindre de produire certaines hormones , ce qui en fait définitivement le roi de nos glandes endocrines.
Il ne faut donc pas se priver de le bichonner, notamment en écoutant ses conseils, en allant au lit quand il nous y envoie, en buvant de l'eau lorsqu'il nous dit de boire, et en arrêtant de manger lorsqu'il nous dit qu'on n'a plus faim. Autrement ses signaux se brouillent, et l'on perd la sensation de soif à force de se retenir de boire (ou de se forcer, ce qui n'est pas mieux), on perd le sommeil à force de rester éveillé malgré la fatigue, on perd la sensation de satiété à force de manger sans avoir faim -et c'est le cas depuis notre enfance quand on nous force à finir notre assiette...
Pour un retour à l'équilibre, travailler la zone réflexe de l'hypothalamus, en appuyant jusqu'à atteindre 1 à 2 mm sous la peau (voir le site Reflexologieplantaire84.com pour savoir comment pratiquer l'auto-réflexologie). Si la zone réflexe est douloureuse c'est que l'hypothalamus a besoin d'un coup de pouce, donc continuer à raison d'une à deux minutes matin et soir autant de jours qu'il le faudra pour que la zone ne vous fasse plus mal. Si vous mangez sans avoir faim, travaillez en plus la zone réflexe de la Rate (idem, une à deux minutes matin et soir ; voir la localisation de la zone réflexe sur Reflexologieplantaire84.com, onglet « Les zones réflexes par ordre alphabétique ») jusqu'à ce que les envies compulsives de nourriture diminuent puis disparaissent, j'ai remarqué que l'on obtient de meilleurs résultats en associant les deux.
1e Quinzaine de Novembre 2019
"Préparons-nous à la 5G"...
... C'est le titre du guide publié par l'ANFR en vue de l'arrivée de la 5G en France en 2020
Pour nous préparer à l'arrivée de la 5G en 2020, l'ANFR (Agence Nationale des Fréquences) vient de publier un guide
dont la table des matières détaille les applications. Souriez, vous êtes filmé !
https://www.anfr.fr/fileadmin/mediatheque/documents/5G/ANFR_5G.pdf
D'après une étude scientifique publiée sur le site Scientific Reports en 2018 les insectes pourraient payer le prix lourd de ce changement de fréquences, en raison d'une augmentation de leur température corporelle à partir de 10 GHz.
Un appel à arrêter d'urgence le déploiement du réseau 5G a été lancé à l'ONU, à l'OMS, au Conseil de l'Europe, à l'Union Européenne, et aux gouvernements de tous les pays le 29 mars 2019 par des scientifiques et des associations écologiques et de citoyens de 168 pays (liste des signataires ici : https://www.5gspaceappeal.org/signatories-organizations) aux motifs que la 5G entraînera « une augmentation considérable de l’exposition au rayonnement de radiofréquence, qui s’ajoutera au rayonnement induit par les réseaux de télécommunications 2G, 3G et 4G déjà en place. Or on a déjà la preuve des effets nocifs du rayonnement de radiofréquence pour les êtres humains et l’environnement. Le déploiement de la 5G revient à mener des expériences sur les êtres humains et l’environnement, ce qui est considéré comme un crime en vertu du droit international. (…) Les entreprises de télécommunications à l’échelle mondiale sont bien résolues, avec l’appui des gouvernements, à déployer dans les deux prochaines années, le réseau sans fil de cinquième génération (5G). Cette décision produira ce qui est considéré comme un changement sociétal sans précédent à l’échelle mondiale. Nous aurons ainsi des maisons « intelligentes », des entreprises « intelligentes », des autoroutes « intelligentes », des villes « intelligentes » et des voitures autonomes. Pratiquement tout ce que nous achetons et possédons, depuis les réfrigérateurs et les machines à laver jusqu’aux cartons de lait, en passant par les brosses à cheveux et les couches pour bébés, contiendra des antennes et des micropuces et sera connecté sans fil à l’internet. (…) Malgré un déni généralisé, nous disposons déjà de preuves accablantes indiquant que le rayonnement des radiofréquences (RF) est nuisible à la vie. Les données cliniques accumulées sur des personnes malades ou ayant des troubles de santé, les preuves expérimentales de dommages à l’ADN, aux cellules et aux organes d’une grande variété de végétaux et d’animaux et les données épidémiologiques qui prouvent que les grandes maladies de la civilisation moderne — le cancer, les maladies du cœur et le diabète — sont en grande partie provoquées par la pollution électromagnétique, constituent un corpus de plus de 10.000 études publiées dans des revues dotées de comités de lecture. (…) Si les plans de l’industrie des télécommunications pour la 5G se concrétisent, pas un être humain, pas un mammifère, pas un oiseau, pas un insecte et pas un brin d’herbe sur Terre, quel que soit le lieu de la planète où il se trouve, ne pourra se soustraire à une exposition, 24 heures sur 24 et 365 jours par an, à des niveaux de rayonnement de radiofréquence qui sont des dizaines voire des centaines de fois supérieurs à ceux que l’on connaît aujourd’hui. Toutes les issues de secours seront barrées. Ces plans pour la 5G risquent d’avoir des effets graves et irréversibles sur les êtres humains et de causer des dommages permanents à tous les écosystèmes terrestres. » Lire l'intégralité de ce texte sur : https://reporterre.net/Pour-une-planete-viable-arretons-la-5G
dont la table des matières détaille les applications. Souriez, vous êtes filmé !
https://www.anfr.fr/fileadmin/mediatheque/documents/5G/ANFR_5G.pdf
- "E-santé : Télémédecine . Surveillance à distance . Téléchirurgie (???)
- Media et Divertissement : . Vidéo ultra HD . Réalité virtuelle . Médias immersifs intégrés .Contenus de l'utilisateur
- Transports : . Voiture autonome . Système de transports intelligents (ITS) . Liaisons voiture à voiture
- Ville intelligente : . Maîtrise énergétique . Sécurité Publique . Territoires connectés
- Industrie du futur : . Robotique . Pilotage à distance .Automatisation
D'après une étude scientifique publiée sur le site Scientific Reports en 2018 les insectes pourraient payer le prix lourd de ce changement de fréquences, en raison d'une augmentation de leur température corporelle à partir de 10 GHz.
Un appel à arrêter d'urgence le déploiement du réseau 5G a été lancé à l'ONU, à l'OMS, au Conseil de l'Europe, à l'Union Européenne, et aux gouvernements de tous les pays le 29 mars 2019 par des scientifiques et des associations écologiques et de citoyens de 168 pays (liste des signataires ici : https://www.5gspaceappeal.org/signatories-organizations) aux motifs que la 5G entraînera « une augmentation considérable de l’exposition au rayonnement de radiofréquence, qui s’ajoutera au rayonnement induit par les réseaux de télécommunications 2G, 3G et 4G déjà en place. Or on a déjà la preuve des effets nocifs du rayonnement de radiofréquence pour les êtres humains et l’environnement. Le déploiement de la 5G revient à mener des expériences sur les êtres humains et l’environnement, ce qui est considéré comme un crime en vertu du droit international. (…) Les entreprises de télécommunications à l’échelle mondiale sont bien résolues, avec l’appui des gouvernements, à déployer dans les deux prochaines années, le réseau sans fil de cinquième génération (5G). Cette décision produira ce qui est considéré comme un changement sociétal sans précédent à l’échelle mondiale. Nous aurons ainsi des maisons « intelligentes », des entreprises « intelligentes », des autoroutes « intelligentes », des villes « intelligentes » et des voitures autonomes. Pratiquement tout ce que nous achetons et possédons, depuis les réfrigérateurs et les machines à laver jusqu’aux cartons de lait, en passant par les brosses à cheveux et les couches pour bébés, contiendra des antennes et des micropuces et sera connecté sans fil à l’internet. (…) Malgré un déni généralisé, nous disposons déjà de preuves accablantes indiquant que le rayonnement des radiofréquences (RF) est nuisible à la vie. Les données cliniques accumulées sur des personnes malades ou ayant des troubles de santé, les preuves expérimentales de dommages à l’ADN, aux cellules et aux organes d’une grande variété de végétaux et d’animaux et les données épidémiologiques qui prouvent que les grandes maladies de la civilisation moderne — le cancer, les maladies du cœur et le diabète — sont en grande partie provoquées par la pollution électromagnétique, constituent un corpus de plus de 10.000 études publiées dans des revues dotées de comités de lecture. (…) Si les plans de l’industrie des télécommunications pour la 5G se concrétisent, pas un être humain, pas un mammifère, pas un oiseau, pas un insecte et pas un brin d’herbe sur Terre, quel que soit le lieu de la planète où il se trouve, ne pourra se soustraire à une exposition, 24 heures sur 24 et 365 jours par an, à des niveaux de rayonnement de radiofréquence qui sont des dizaines voire des centaines de fois supérieurs à ceux que l’on connaît aujourd’hui. Toutes les issues de secours seront barrées. Ces plans pour la 5G risquent d’avoir des effets graves et irréversibles sur les êtres humains et de causer des dommages permanents à tous les écosystèmes terrestres. » Lire l'intégralité de ce texte sur : https://reporterre.net/Pour-une-planete-viable-arretons-la-5G
Alors voici 3 conseils pour prendre soin de sa colonne vertébrale au quotidien :
- Tout d'abord un exercice très simple de prise de conscience et de relaxation : assis.e en tailleur ou sur une chaise, épaules en arrière pour ouvrir la poitrine, s'étirer vers le haut ; inspirer et expirer par le nez, en « sentant » l'air circuler tout au long de la colonne, imaginer et bien suivre mentalement le trajet de l'air sur tout le parcours depuis le nez et l'occiput jusqu'au coccyx à l'inspir, et depuis le coccyx jusqu'au nez à l'expir. A faire pendant quelques minutes, quand on en sent l'envie.
- Pratiquer un peu chaque jour un exercice physique de gym douce ou de yoga destiné spécifiquement à assouplir la colonne (par exemple l'enchaînement des postures chat/vache en yoga pendant deux ou trois minutes, mais on trouve des tas d'idées sur internet). Eviter absolument les exercices "en force", ou de stretching extrêmes etc. qui peuvent faire plus de mal que de bien . Là encore, toujours faire confiance à son ressenti : on peut sortir un peu de sa zone de confort pendant l'exercice, mais il faut qu'à la fin on se sente vraiment bien et que dans les heures suivantes on constate que c'est bon pour notre corps. De manière générale, il faut savoir que les courbatures sont une chose, la douleur en est une autre ; il ne faut jamais continuer une quelconque activité physique qui nous provoque des douleurs après qu'on l'ait terminée.
- Pratiquer l'auto-réflexologie plantaire deux ou trois minutes par jour sur les zones de la colonne vertébrale (du coccyx à l'occiput, voir photo). Si on a le temps, on peut travailler aussi les zones réflexes du bassin, des épaules et des trapèzes (voir les onglets « comment pratiquer l'auto-réflexologie plantaire » et « plein le dos ») pour un relâchement plus grand.
Le docteur Nadia Wolf raconte dans l'un de ses livres que sa grand-mère russe lui disait toujours : « si tu ne peux pas le manger ou le boire, ne le mets pas sur ta peau ». En effet, si la peau est une barrière de protection, elle est tout autant un interface d'échange entre l'intérieur du corps et l'extérieur : elle est l'un des principaux émonctoires du corps humain, c'est-à-dire un organe permettant d'éliminer les toxines de l'organisme (dans le cas de la peau, c'est par la sueur et le sébum) et inversement elle absorbe tout ce que nous lui mettons dessus, et qui se retrouve quelques minutes plus tard dans notre système sanguin. Pour preuve le développement des patchs cutanés -ou plus exactement transdermiques- en pharmacologie : anesthésiants, contraceptifs, patchs de nicotine, patchs pour limiter les symptômes d'Alzheimer ou Parkinson, patchs contre l'angine de poitrine, contre le mal des transports, etc. en raison de leur grand intérêt pour épargner le système digestif tout en gardant l'efficacité du médicament.
Il est donc important pour notre santé d'arrêter de considérer notre peau comme un genre de « cuirasse » imperméable, sur laquelle nous pouvons tartiner des tas de produits toxiques sans effets négatifs. En dehors de la dangerosité du produit lui-même, la toxicité est augmentée en fonction de la surface de peau couverte, et de la fréquence d'utilisation. UFC que choisir a publié une étude révélant 12 produits extrêmement toxiques utilisés fréquemment dans les cosmétiques et qui s'accumulent au fil du temps dans l'organisme, provoquant cancers, allergies et autres. Tout produit (même dit naturel ou bio) destiné à l'« usage externe seulement», contient donc des substances indésirables pour l'organisme s'il n'est pas rincé et s'il est en contact avec le derme assez longtemps pour passer dans le corps (à priori le transfert des substances par la peau commence tout de suite, mais plus on le laisse longtemps en contact plus on en absorbe, ce qui explique que les patches mettent quelques minutes à agir ; du coup les shampoings et savons ont moins le temps de faire des dégâts que les colorations ou les crèmes pour la peau). Comme ces substances indésirables circulent aussi dans l'environnement intra-utérin, on retrouve même des résidus de ces polluants dans l'organisme des nouveau-nés.
En réflexologie : étant donné le nombre de substances toxiques auxquelles nous sommes exposés même sans le vouloir ni le savoir, on peut soutenir le travail de notre corps pour s'en débarrasser en travaillant régulièrement (2 à 3 fois par semaine pendant quelques minutes) les zones réflexes des organes émonctoires, à savoir les reins, le côlon et les poumons, ainsi que le foie (qui ne renvoie pas directement les substances à l'extérieur du corps mais qui filtre les toxiques qui se retrouvent dans le sang). Il n 'existe pas de zone réflexe de la peau, mais on peut travailler les zones réflexes des poumons et du côlon (élément métal de la Médecine Traditionnelle Chinoise), dont l'énergie, selon cette tradition, soutient les fonctions et l'équilibre de la peau.
Il est donc important pour notre santé d'arrêter de considérer notre peau comme un genre de « cuirasse » imperméable, sur laquelle nous pouvons tartiner des tas de produits toxiques sans effets négatifs. En dehors de la dangerosité du produit lui-même, la toxicité est augmentée en fonction de la surface de peau couverte, et de la fréquence d'utilisation. UFC que choisir a publié une étude révélant 12 produits extrêmement toxiques utilisés fréquemment dans les cosmétiques et qui s'accumulent au fil du temps dans l'organisme, provoquant cancers, allergies et autres. Tout produit (même dit naturel ou bio) destiné à l'« usage externe seulement», contient donc des substances indésirables pour l'organisme s'il n'est pas rincé et s'il est en contact avec le derme assez longtemps pour passer dans le corps (à priori le transfert des substances par la peau commence tout de suite, mais plus on le laisse longtemps en contact plus on en absorbe, ce qui explique que les patches mettent quelques minutes à agir ; du coup les shampoings et savons ont moins le temps de faire des dégâts que les colorations ou les crèmes pour la peau). Comme ces substances indésirables circulent aussi dans l'environnement intra-utérin, on retrouve même des résidus de ces polluants dans l'organisme des nouveau-nés.
En réflexologie : étant donné le nombre de substances toxiques auxquelles nous sommes exposés même sans le vouloir ni le savoir, on peut soutenir le travail de notre corps pour s'en débarrasser en travaillant régulièrement (2 à 3 fois par semaine pendant quelques minutes) les zones réflexes des organes émonctoires, à savoir les reins, le côlon et les poumons, ainsi que le foie (qui ne renvoie pas directement les substances à l'extérieur du corps mais qui filtre les toxiques qui se retrouvent dans le sang). Il n 'existe pas de zone réflexe de la peau, mais on peut travailler les zones réflexes des poumons et du côlon (élément métal de la Médecine Traditionnelle Chinoise), dont l'énergie, selon cette tradition, soutient les fonctions et l'équilibre de la peau.
2e Quinzaine de Septembre 2019
L'impact de l'habitat sur notre santé
La rentrée est maintenant bien entamée, et après les vacances nos activités se recentrent naturellement sur nos intérieurs. Dans la médecine chinoise, le Feng Shui est utilisé pour préserver la santé et le bien être des occupants d'une maison, car le lieu de vie est considéré comme notre « deuxième enveloppe physique » (le corps étant la première). La propreté, le désencombrement des pièces et la disposition des meubles servent à permettre une bonne circulation du Qi, l'énergie vitale qui va « nourrir » les habitants du lieu. Par ailleurs, les éléments de déco y sont considérés : 1) soit comme des aliments permettant -par leur action sur l'inconscient de la personne qui les voit- de nourrir certaines qualités et des états émotionnels positifs (la joie, le sentiment d'unité de la famille, la confiance, la croissance, le rayonnement) et d'éviter les états négatifs (jamais de scènes tristes sur les tableaux, jamais de coupe à fruit vide qui induit inconsciemment le manque chez son observateur, jamais d'objets cassés etc.)
2) soit comme des aiguilles d'acupuncture permettant de « soigner » et rééquilibrer les énergies du lieu (le plus souvent il s'agit de ralentir ou d'accélérer le courant du Qi en plaçant des miroirs, des plantes ou des rideaux).Le Feng Shui donne bien d'autres infos sur l'impact du cadre de vie : un logement trop petit pour le nombre de ses occupants génèrera de la surexcitation et de l'énervement, alors que trop grand il drainera leur énergie, tout comme le fera un logement obèse (= surchargé de meubles et d'objets) ou trop sombre (= trop Yin, il épuisera peu à peu le Yang (= la capacité à agir) de ses occupants, les conduisant à l'apathie puis à la dépression.)
En Occident, on sait bien sûr que l'insalubrité des logements est cause de maladies potentiellement graves, et l'on voit bien au quotidien que la localisation de notre habitation (qualité du quartier, distance par rapport au travail etc.) détermine en grande partie notre qualité de vie ; mais l'esthétique des logements n'était pas jusqu'ici considérée comme pouvant jouer un rôle sur la santé. C'est pourtant ce qu'indiquent des recherches récentes, notamment deux études réalisées à l'hôpital Montefiore de Pittsburgh.
La première étude a montré qu'en post-opératoire, les patients installés dans des chambres qui bénéficiaient d'une lumière naturelle particulièrement importante avaient besoin de moins d'antalgiques que les autres, et que le coût global de leurs traitements médicamenteux était inférieur de 21% .
La deuxième a montré que l'esthétique des lieux -autrement dit, la déco- joue aussi un rôle sur la santé. Cette étude a comparé deux groupes de patients traités pour une même pathologie et logés en chambres individuelles. Certains se trouvaient dans ce que l'on peut appeler des chambres d'hôpital standard, et d'autres bénéficiaient de chambres lumineuses, modernes, et dont la décoration avait été particulièrement soignée. Les personnes installées dans les chambres les plus agréables ont eu besoin de moins d'antalgiques et ont pu quitter l'hôpital en moyenne deux jours avant les autres.
2) soit comme des aiguilles d'acupuncture permettant de « soigner » et rééquilibrer les énergies du lieu (le plus souvent il s'agit de ralentir ou d'accélérer le courant du Qi en plaçant des miroirs, des plantes ou des rideaux).Le Feng Shui donne bien d'autres infos sur l'impact du cadre de vie : un logement trop petit pour le nombre de ses occupants génèrera de la surexcitation et de l'énervement, alors que trop grand il drainera leur énergie, tout comme le fera un logement obèse (= surchargé de meubles et d'objets) ou trop sombre (= trop Yin, il épuisera peu à peu le Yang (= la capacité à agir) de ses occupants, les conduisant à l'apathie puis à la dépression.)
En Occident, on sait bien sûr que l'insalubrité des logements est cause de maladies potentiellement graves, et l'on voit bien au quotidien que la localisation de notre habitation (qualité du quartier, distance par rapport au travail etc.) détermine en grande partie notre qualité de vie ; mais l'esthétique des logements n'était pas jusqu'ici considérée comme pouvant jouer un rôle sur la santé. C'est pourtant ce qu'indiquent des recherches récentes, notamment deux études réalisées à l'hôpital Montefiore de Pittsburgh.
La première étude a montré qu'en post-opératoire, les patients installés dans des chambres qui bénéficiaient d'une lumière naturelle particulièrement importante avaient besoin de moins d'antalgiques que les autres, et que le coût global de leurs traitements médicamenteux était inférieur de 21% .
La deuxième a montré que l'esthétique des lieux -autrement dit, la déco- joue aussi un rôle sur la santé. Cette étude a comparé deux groupes de patients traités pour une même pathologie et logés en chambres individuelles. Certains se trouvaient dans ce que l'on peut appeler des chambres d'hôpital standard, et d'autres bénéficiaient de chambres lumineuses, modernes, et dont la décoration avait été particulièrement soignée. Les personnes installées dans les chambres les plus agréables ont eu besoin de moins d'antalgiques et ont pu quitter l'hôpital en moyenne deux jours avant les autres.
1e Quinzaine de Septembre 2019
Pourquoi pratiquer l'auto-réflexologie plantaire ?
- Parce que la réflexologie plantaire est une médecine manuelle ancestrale TRES SIMPLE, extrêmement efficace, et AU CHAMP D 'APPLICATION PARTICULIÈREMENT VASTE : il concerne tous les dysfonctionnements, de plus la réflexologie agit très efficacement dans l'accompagnement de la douleur et pour alléger les effets négatifs du stress. Pour la pratiquer sur soi-même, il vaut mieux en avoir déjà fait faire par un professionnel (pour avoir une idée de la sensation à retrouver, donc pour guider le geste, le niveau de pression etc.) mais ce n'est pas indispensable.
- Parce que les contre-indications absolues sont peu nombreuses (blessure du pied, goutte et athérosclérose), et qu'il en est de même des contre-indications relatives (diabète, cancer, grossesse).
- Parce qu'on ne travaille pas sur les zones réelles des organes ou des parties du corps douloureuses, il y a peu de risque de se blesser, d'aggraver une inflammation etc.
- Parce qu'on n'avale rien, il n'y a pas de risque de surdosage involontaire ou de réaction allergique comme dans les cas d'automédication.
- Parce qu'on ne peut pas aggraver un déséquilibre par la réflexologie :
- 1) D'une part, la réflexologie plantaire, comme toute médecine énergétique, se base sur le principe de l'homéostasie du corps humain : lorsqu'un organe déséquilibré reçoit de l'énergie supplémentaire, il s'en sert toujours pour aller vers l'équilibre, et non pour se détraquer davantage
- 2) Parce que si l'on travaille « par erreur » sur la zone réflexe d'un organe qui va bien, c'est un peu comme mettre de l'huile sur une serrure qui fonctionne : il ne se passe rien de négatif
- 3) Parce que si on n'est pas vraiment en zone réflexe (trop en surface) la réflexologie se transforme en simple massage des pieds : au pire on n'aura pas de résultat sur l'état de l'organe que l'on voulait améliorer, ce sera un simple massage, donc ni désagréable et ni dangereux.
- Parce que c'est facile et que ça ne coûte rien. On travaille avec les mains (pouces, articulations) ou avec un stylet en bois (un manche de cuillère en bois fait très bien l'affaire).
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La médecine ayurvédique va plus loin, considérant que les douches froides et les bains froids, par leur action de constriction, régénèrent et assainissent les tissus (attention : la tête ne doit pas être passée sous la douche froide ni trempée dans l'eau froide), les détoxifient, et rééquilibrent le système endocrinien. Quand on connaît les méfaits sur la santé des perturbateurs endocriniens omniprésents dans l'environnement, et l'indigence des réponses possibles, on peut se laisser tenter -à tout hasard- par la douche froide pour essayer de limiter les dégâts. Dans la pratique, l'ayurveda prescrit d'enduire d'abord son corps d'une huile végétale (amande, sésame, noix de coco) pour « nourrir les organes » et leur permettre de bénéficier vraiment de la douche en évitant au corps un trop grand choc.
Commencer le massage à l'eau froide par les pieds, puis les mains, et revenir aux pieds pour remonter progressivement jusqu'aux épaules. Bien « masser » le cou, la nuque et les aisselles avec le jet, puis le visage (pas le crâne). Passer le jet sur les épaules et laisser l'eau couler dans le dos. La douche froide devrait durer plus de trente secondes et ne pas dépasser un quart d'heure. Au sortir de la douche, se sécher entièrement et soigneusement. Comme toujours, rien n'est forcément bon pour tout le monde, il est donc indispensable de se fier à notre ressenti : si au sortir de la douche, malgré l'inconfort de l'eau froide, on éprouve un grand bien-être -et c'est généralement le cas-, on peut continuer. Si pour une raison ou une autre on se sent mal, mieux vaut ne pas insister. Personne ne sait mieux que notre corps ce qui est bon pour lui,
En auto-réflexologie plantaire, pour soutenir l'effet détoxifiant de la douche : zones réflexes des reins, du foie et des poumons. Pour soutenir le rééquilibrage du système endocrinien : zones réflexes de l'hypophyse, de la thyroïde, des ovaires ou des testicules et des surrénales.
Commencer le massage à l'eau froide par les pieds, puis les mains, et revenir aux pieds pour remonter progressivement jusqu'aux épaules. Bien « masser » le cou, la nuque et les aisselles avec le jet, puis le visage (pas le crâne). Passer le jet sur les épaules et laisser l'eau couler dans le dos. La douche froide devrait durer plus de trente secondes et ne pas dépasser un quart d'heure. Au sortir de la douche, se sécher entièrement et soigneusement. Comme toujours, rien n'est forcément bon pour tout le monde, il est donc indispensable de se fier à notre ressenti : si au sortir de la douche, malgré l'inconfort de l'eau froide, on éprouve un grand bien-être -et c'est généralement le cas-, on peut continuer. Si pour une raison ou une autre on se sent mal, mieux vaut ne pas insister. Personne ne sait mieux que notre corps ce qui est bon pour lui,
En auto-réflexologie plantaire, pour soutenir l'effet détoxifiant de la douche : zones réflexes des reins, du foie et des poumons. Pour soutenir le rééquilibrage du système endocrinien : zones réflexes de l'hypophyse, de la thyroïde, des ovaires ou des testicules et des surrénales.
...Si les moines chrétiens et bouddhistes sont adeptes de la rasure ( cheveux entièrement rasés) -ou tonsure (rasure avec couronne de cheveux, pour les moines ordonnés prêtres dans l'Eglise catholique, où le don des cheveux symbolise le don de toute sa personne à Dieu, selon la phrase prononcée pendant la cérémonie : "Bénis Ton serviteur qui est venu T'offrir en prémisse la tonsure des cheveux de sa tête"), la Bible nous raconte que le secret de la force de Samson résidait dans ses longs cheveux, et les yogis -qui préfèrent généralement les laisser pousser jusqu'à leur longueur maximale- considèrent que les cheveux sont comme des antennes qui nourrissent notre champ énergétique (aura), donc notre vitalité.
Dans son livre « Invincible Living » Guru Jagat explique : « Les cheveux sont le seul instrument qui alimente directement le cerveau en vitamine D provenant du soleil. Le cerveau a besoin de plus de vitamine D que tout autre organe du corps. Ce type d'énergie solaire concentrée stimule également la glande pinéale, la glande de l'illumination. Donc, dans le cadre de la pratique du yoga, les cheveux occupent une place très spéciale. » Pour les garder en forme, elle conseille de les laver toutes les 72 h (les sécrétions crâniennes qu'on laisserait se déposer plus de trois jours irriteraient le système nerveux). Avant le lavage, les cheveux doivent être enduits d'huile d'amande douce additionnée d'huile de santal, d'autres traditions préconisent l'huile de noix de coco ; tous les produits chimiques et toxiques étant à éviter.
Selon la médecine chinoise, des cheveux cassants, fragiles, qui tombent par poignées, etc. orientent vers un problème de manque de Qi dans l'élément Eau : en langage courant cela signifie une faiblesse de l'énergie des reins et de la vessie (ces organes sont également appelés « réservoirs du Qi » c'est-à-dire réservoirs de l'énergie vitale). On peut renforcer l'énergie de l'élément Eau en pratiquant notamment l'auto-réflexologie sur les zones réflexes des reins et de la vessie, (voir la localisation de ces zones sur Reflexologieplantaire84,com, onglets « petite réflexologie saisonnière », « les zones réflexes par ordre alphabétique », et « comment pratiquer l'auto-réflexologie »)
Dans son livre « Invincible Living » Guru Jagat explique : « Les cheveux sont le seul instrument qui alimente directement le cerveau en vitamine D provenant du soleil. Le cerveau a besoin de plus de vitamine D que tout autre organe du corps. Ce type d'énergie solaire concentrée stimule également la glande pinéale, la glande de l'illumination. Donc, dans le cadre de la pratique du yoga, les cheveux occupent une place très spéciale. » Pour les garder en forme, elle conseille de les laver toutes les 72 h (les sécrétions crâniennes qu'on laisserait se déposer plus de trois jours irriteraient le système nerveux). Avant le lavage, les cheveux doivent être enduits d'huile d'amande douce additionnée d'huile de santal, d'autres traditions préconisent l'huile de noix de coco ; tous les produits chimiques et toxiques étant à éviter.
Selon la médecine chinoise, des cheveux cassants, fragiles, qui tombent par poignées, etc. orientent vers un problème de manque de Qi dans l'élément Eau : en langage courant cela signifie une faiblesse de l'énergie des reins et de la vessie (ces organes sont également appelés « réservoirs du Qi » c'est-à-dire réservoirs de l'énergie vitale). On peut renforcer l'énergie de l'élément Eau en pratiquant notamment l'auto-réflexologie sur les zones réflexes des reins et de la vessie, (voir la localisation de ces zones sur Reflexologieplantaire84,com, onglets « petite réflexologie saisonnière », « les zones réflexes par ordre alphabétique », et « comment pratiquer l'auto-réflexologie »)
-l’attirance exagérée ou au contraire la répulsion pour la chaleur
-l’attirance exagérée ou au contraire la répulsion pour la couleur rouge (lors des périodes d’attirance subite et immodérée pour cette couleur, il vaut mieux choisir du rouge pour les rideaux, les coussins, les nappes, et toute autre petite déco facile à remplacer plutôt que repeindre les murs : lorsque l’élément Feu sera revenu à son équilibre, trop de rouge dans l’environnement sera en effet perçu comme agressif et sera fatiguant…)
-la transpiration excessive ou le manque de transpiration (fréquent chez les personnes âgées, dont le Feu diminue peu à peu)
-l’insensibilité (à la souffrance d’autrui, etc.)
-la confusion mentale
-les hallucinations (visuelles ou auditives)
-le fait de sauter du coq à l’âne quand on parle ou quand on écrit, de ne pas dérouler une pensée claire
-les troubles de la parole et le bégaiement
-le fait de parler seul, le fait de parler sans cesse, ou au contraire d’être mutique (oui, en médecine chinoise, le fait d’être un moulin à parole ou au contraire d’avoir besoin qu’on nous arrache les mots de la bouche ne relève pas de traits de personnalité mais d’un excès de yin ou de yang dans le cœur et/ou l’intestin grêle)
-le rire quasi permanent ou dénué de raison ou de joie véritable
-le rire hystérique (d’ailleurs quand il dure trop longtemps la tradition chinoise dit qu’ « il lèse le cœur »)
-les troubles du sommeil.
-l’attirance exagérée ou au contraire la répulsion pour la couleur rouge (lors des périodes d’attirance subite et immodérée pour cette couleur, il vaut mieux choisir du rouge pour les rideaux, les coussins, les nappes, et toute autre petite déco facile à remplacer plutôt que repeindre les murs : lorsque l’élément Feu sera revenu à son équilibre, trop de rouge dans l’environnement sera en effet perçu comme agressif et sera fatiguant…)
-la transpiration excessive ou le manque de transpiration (fréquent chez les personnes âgées, dont le Feu diminue peu à peu)
-l’insensibilité (à la souffrance d’autrui, etc.)
-la confusion mentale
-les hallucinations (visuelles ou auditives)
-le fait de sauter du coq à l’âne quand on parle ou quand on écrit, de ne pas dérouler une pensée claire
-les troubles de la parole et le bégaiement
-le fait de parler seul, le fait de parler sans cesse, ou au contraire d’être mutique (oui, en médecine chinoise, le fait d’être un moulin à parole ou au contraire d’avoir besoin qu’on nous arrache les mots de la bouche ne relève pas de traits de personnalité mais d’un excès de yin ou de yang dans le cœur et/ou l’intestin grêle)
-le rire quasi permanent ou dénué de raison ou de joie véritable
-le rire hystérique (d’ailleurs quand il dure trop longtemps la tradition chinoise dit qu’ « il lèse le cœur »)
-les troubles du sommeil.
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C'est en tous cas ce que donne envie de faire le film « Down to Earth », regroupant les recherches de plusieurs médecins et scientifiques, et qui regorge d’informations sur le rôle de cette connexion à la terre pour recharger l’organisme en électrons et arrêter de ce fait les réactions inflammatoires en chaîne dans notre corps.
L’initiateur de ces recherches est Clint Ober, un ancien électricien impliqué dans l’industrie du câble au début des années 60 et qui souffre de douleurs chroniques dues un état inflammatoire généralisé dont on ne trouve pas la cause. Lui qui a appris la nécessité de toujours relier un câble à la Terre avant de l’introduire dans une maison, s’interroge un jour sur les possibles effets néfastes du port des chaussures aux semelles en matériaux synthétiques qui nous isolent du sol (processus généralisé à partir des années 60) , et du fait de vivre coupés de la terre, sur des sols artificiels. En 1999 il décide de relier son lit à la Terre (selon une procédure détaillée dans le film), et pour la première fois depuis des années s’endort très vite sans prendre d’anti-inflammatoire et se réveille le matin suivant en pleine forme. Il comprend qu’il vient de découvrir quelque chose de très important, et met lui-même sur pieds une équipe pour mener une étude qui portera sur 60 personnes. Les résultats –corroborés depuis par 21 études scientifiques supplémentaires) sont stupéfiants. Après que ces personnes aient passé du temps reliées à la Terre (= pieds nus à l’extérieur sur de l’herbe ou de la terre), elles constatent une diminution drastiques de leurs douleurs et inflammation diverses, y compris celles qui sont chroniques, et une amélioration conséquente de leur sommeil.
L’explication est finalement assez simple : pour réduire les radicaux libres responsables des états inflammatoires, l'organisme doit leur faire don d'un électron, afin de les transformer en molécules stables. Si notre organisme n'en contient pas assez, les neutrophiles (globules blancs chargés de détruire les cellules "malades") vont prendre un électron d'une cellule saine, la transformant du coup en cellule malade, qui va être à son tour attaquée par les neutrophiles etc. produisant une réaction inflammatoire en chaîne (voir les explications du Dr Stephen Sinatra dans la vidéo).
Or il se trouve que la surface de la terre regorge de ces électrons*** (produits principalement par les éclairs) dont notre corps a tellement besoin pour stopper les processus inflammatoires, et que lesdits électrons se diffusent lentement dans notre corps (via l'adénosite triphosphate, nucléotide qui fournit l'énergie nécessaire aux réactions biochimiques de tous les êtres vivants connus ; voir les explications du Dr Joseph Mercola dans la vidéo) pour peu que nous soyons pieds nus dans la terre : "Quand nous nous connectons à la Terre par une surface conductrice, il y a en quelques sortes un transfert d’électrons qui reviennent doucement dans l’organisme. Dans les situations où nous nous isolons du surplus d’électrons dans notre corps nous obtenons l’effet exactement inverse, donc au lieu d’avoir un niveau faible d’inflammation et un sang fluide, nous aurons un sang épais qui est susceptible de coaguler et nos niveaux d’inflammation tendront à augmenter. » (Dr Joseph Mercola)
***Dr Gaetan Chevalier, ingénieur et physicien « A notre insu, nous vivons dans une batterie (…) La ionosphère est une couche de l’atmosphère environ 96 km au-dessus de nous et qui est ionisée par le soleil ; les rayons du soleil sont si fort qu’ils divisent les molécules en une charge positive et une charge négative. Les charges négatives sont transférées à la surface de la terre principalement par les éclairs, et la charge positive reste 96 km au-dessus. Le problème survient lorsque nous n’avons pas de charge négative. Donc nous avons besoin de nous relier à la Terre, tout comme nous avons besoin d’air ou de soleil.
L’initiateur de ces recherches est Clint Ober, un ancien électricien impliqué dans l’industrie du câble au début des années 60 et qui souffre de douleurs chroniques dues un état inflammatoire généralisé dont on ne trouve pas la cause. Lui qui a appris la nécessité de toujours relier un câble à la Terre avant de l’introduire dans une maison, s’interroge un jour sur les possibles effets néfastes du port des chaussures aux semelles en matériaux synthétiques qui nous isolent du sol (processus généralisé à partir des années 60) , et du fait de vivre coupés de la terre, sur des sols artificiels. En 1999 il décide de relier son lit à la Terre (selon une procédure détaillée dans le film), et pour la première fois depuis des années s’endort très vite sans prendre d’anti-inflammatoire et se réveille le matin suivant en pleine forme. Il comprend qu’il vient de découvrir quelque chose de très important, et met lui-même sur pieds une équipe pour mener une étude qui portera sur 60 personnes. Les résultats –corroborés depuis par 21 études scientifiques supplémentaires) sont stupéfiants. Après que ces personnes aient passé du temps reliées à la Terre (= pieds nus à l’extérieur sur de l’herbe ou de la terre), elles constatent une diminution drastiques de leurs douleurs et inflammation diverses, y compris celles qui sont chroniques, et une amélioration conséquente de leur sommeil.
L’explication est finalement assez simple : pour réduire les radicaux libres responsables des états inflammatoires, l'organisme doit leur faire don d'un électron, afin de les transformer en molécules stables. Si notre organisme n'en contient pas assez, les neutrophiles (globules blancs chargés de détruire les cellules "malades") vont prendre un électron d'une cellule saine, la transformant du coup en cellule malade, qui va être à son tour attaquée par les neutrophiles etc. produisant une réaction inflammatoire en chaîne (voir les explications du Dr Stephen Sinatra dans la vidéo).
Or il se trouve que la surface de la terre regorge de ces électrons*** (produits principalement par les éclairs) dont notre corps a tellement besoin pour stopper les processus inflammatoires, et que lesdits électrons se diffusent lentement dans notre corps (via l'adénosite triphosphate, nucléotide qui fournit l'énergie nécessaire aux réactions biochimiques de tous les êtres vivants connus ; voir les explications du Dr Joseph Mercola dans la vidéo) pour peu que nous soyons pieds nus dans la terre : "Quand nous nous connectons à la Terre par une surface conductrice, il y a en quelques sortes un transfert d’électrons qui reviennent doucement dans l’organisme. Dans les situations où nous nous isolons du surplus d’électrons dans notre corps nous obtenons l’effet exactement inverse, donc au lieu d’avoir un niveau faible d’inflammation et un sang fluide, nous aurons un sang épais qui est susceptible de coaguler et nos niveaux d’inflammation tendront à augmenter. » (Dr Joseph Mercola)
***Dr Gaetan Chevalier, ingénieur et physicien « A notre insu, nous vivons dans une batterie (…) La ionosphère est une couche de l’atmosphère environ 96 km au-dessus de nous et qui est ionisée par le soleil ; les rayons du soleil sont si fort qu’ils divisent les molécules en une charge positive et une charge négative. Les charges négatives sont transférées à la surface de la terre principalement par les éclairs, et la charge positive reste 96 km au-dessus. Le problème survient lorsque nous n’avons pas de charge négative. Donc nous avons besoin de nous relier à la Terre, tout comme nous avons besoin d’air ou de soleil.
Dr Stephen Sinatra « Pouvons-nous mesurer les effets par reproduction ? La réponse à cela est oui, nous avons maintenant 21 études qui le prouvent. 21 études médicales publiés sur le lien à la Terre, et c’est un examen collégial. En termes simples, ce que le lien à la Terre fait c’est étouffer les feux de l’inflammation. Et l’inflammation est la source de toutes sortes de maladies, incluant la maladie d’Alzheimer, le cancer, les maladies cardiaques, le diabète, la liste pourrait continuer sans fin »
Dr Jospeh Mercola : « Donc pourquoi ça ne s’est pas diffusé dans les médias ? Je peux juste dire que ça viendra. (…) »
Dr Laura Konniver : « Nous faisons les choses à l’envers. La journée typique d’un enfant est complètement déconnectée de la terre. La plupart des enfants se réveillent dans un lit qui n’était pas relié à la terre, dans un bâtiment ou un sol qui est isolé de la terre, et puis ils vont immédiatement dans une classe qui est isolée, et même une fois en récréation, ils vont dehors et se retrouvent littéralement enfermés sur des sols d’asphalte (...) »
Clint Ober : « Allez dehors, retirez vos chaussures, restez pieds-nus sur la terre ou asseyez-vous sur la terre, touchez le sol, mettez vos mains et vos pieds sur la terre et vous remarquerez instantanément que la douleur et l’inflammation commencent à s’évacuer de votre corps ».
Dr Jospeh Mercola : « Donc pourquoi ça ne s’est pas diffusé dans les médias ? Je peux juste dire que ça viendra. (…) »
Dr Laura Konniver : « Nous faisons les choses à l’envers. La journée typique d’un enfant est complètement déconnectée de la terre. La plupart des enfants se réveillent dans un lit qui n’était pas relié à la terre, dans un bâtiment ou un sol qui est isolé de la terre, et puis ils vont immédiatement dans une classe qui est isolée, et même une fois en récréation, ils vont dehors et se retrouvent littéralement enfermés sur des sols d’asphalte (...) »
Clint Ober : « Allez dehors, retirez vos chaussures, restez pieds-nus sur la terre ou asseyez-vous sur la terre, touchez le sol, mettez vos mains et vos pieds sur la terre et vous remarquerez instantanément que la douleur et l’inflammation commencent à s’évacuer de votre corps ».
2e Quinzaine de Juin 2019
Un été sans lunettes solaires ? A une époque où la moitié de la population mondiale* souffre de carence en vitamine D –et plus seulement en hiver- des scientifiques remettent en question la pertinence des conseils nous incitant depuis une vingtaine d’années à éviter de s’exposer au soleil (ou à ne sortir que tartinés de crème anti-solaire) pour prévenir les risques de cancer de la peau, et à « protéger » nos yeux par des lunettes filtrant les rayons solaires. |
En effet des études scientifiques récentes pointent les effets néfastes et les risques sanitaires liés à ces années d’évitement excessif du soleil, montrant que l’insuffisance d’exposition au soleil double les risques de mort prématurée*, augmente les risques de cancer (y compris de cancer de la peau)* et de développement de rachitisme, maladie que l’on croyait disparue et qui réapparaît actuellement, notamment parmi les enfants que l’on protège excessivement du soleil.
En effet, trop peu de temps passé dehors, ou avec une trop faible surface de peau à l’air libre, ou encore avec la peau couverte d’un écran solaire d’un indice de protection supérieur à 8, empêche le corps de synthétiser suffisamment de vitamine D * avec tous les problèmes de santé qui s’ensuivent ( une étude publiée en 2008 dans le journal « Advances in Experimental Medicine ans Biology » explique par ailleurs qu’outre les problèmes osseux comme l’ostéoporose, la carence en vitamine D a de sérieuses conséquences, incluant le risque plus élevé de développer des cancers, des maladies auto-immunes, des infections, et des problèmes cardio-vasculaires).
Concernant le port de lunettes de soleil et leur possible interférence négative avec la synthèse de vitamine D, le débat reste entier. S’il semble certain, en l’état des connaissances actuelles, que la vitamine D est synthétisée à partir du contact du soleil sur la peau (et non de sa pénétration dans l’organisme par les yeux), certains mettent en évidence que cela ne signifie pas pour autant que les yeux ne jouent aucun rôle, étant donné qu’ils agissent comme messagers dans certaines fonctions organiques ; d’autant que certaines personnes témoignent avoir moins de coup de soleils lorsqu’elles ne portent pas de lunettes*.
On sait que 98 % de la lumière qui rentre dans l’organisme pénètre par les yeux (2% par la peau) ; une fois dans le corps elle va suivre deux chemins différents : un trajet supérieur, le trajet visuel, qui nous permet d’y voir, et un trajet inférieur, qui conduit la lumière jusqu’à l’hypothalamus , lequel joue un rôle crucial dans la distribution de la lumière dans le reste de l’organisme (nos cellules fonctionnent grâce à l’oxygène et aux nutriments que nous consommons, mais c’est le contact avec la lumière solaire qui déclenche la production de protéines, la duplication des cellules et leur réparation*.) Donc même si le port trop fréquent de lunettes de soleil en été ne joue pas sur la production de vitamine D, il interviendrait défavorablement sur d’autres fonctions de l’organisme en limitant l’entrée de lumière solaire dans le corps*.
Alors que faire cet été ??? Fuir le soleil ou pas ? Se badigeonner de crème solaire ou pas ? Porter ses lunettes de soleil ou pas ? A chacun de voir... Dans le doute, je vais garder la crème solaire à la plage mais laisser tomber les lunettes, et faire une prise de sang à la rentrée pour voir si ça marche !
*Références :http://assurancedecesgmf.fr/dossiers/articles/comment-ne-pas-subir-de-carence-en-vitamine-d-cet-hiver/
https://www.naturalnews.com/045074_sunshine_mortality_risk_vitamin_D.html
https://www.paleohacks.com/vitamin-d/vitamin-d-and-sunglasses-438
Mise à jour de cet article, été 2022 : bilan perso non pas d'une année mais de deux, sans port de lunettes de soleil et en n'utilisant quasiment pas de crème solaire (sauf les quelques fois où je suis allée à la plage). J'ai fait une prise de sang à la rentrée 2019, une autre à la rentrée 2020 : mon taux de vitamine D était toujours aussi drastiquement bas. Peut-être que les modifications dans l'atmosphère font que le rayonnement solaire ne nous permet plus de fabriquer des quantités normales de vitamine D, même sans protections solaires individuelles ? Quoi qu'il en soit, et même si cette absence de protection solaire a pu avoir sur ma santé des effets positifs que je ne peux pas mesurer, j'ai décidé de me complémenter en vitamine D, de recommencer à protéger mes yeux de l'excès de luminosité en portant des lunettes de soleil, et de mettre tous les jours de la crème solaire sur les parties exposées au soleil quand je suis à l'extérieur. Nouvelle prise de sang à la rentrée 2021 : tout est entré dans l'ordre concernant la vitamine D.
Note : Ces quelques lignes sont juste le témoignage de ce qui s'est passé pour moi concernant l'élimination de protections solaires sur la peau et les yeux, et l'absence d'effets de ces mesures sur ma production de vitamine D ; il n'a aucune valeur d'exemple ou d'incitation à adopter certains comportements, ni dans un sens ni dans l'autre :-)
En effet, trop peu de temps passé dehors, ou avec une trop faible surface de peau à l’air libre, ou encore avec la peau couverte d’un écran solaire d’un indice de protection supérieur à 8, empêche le corps de synthétiser suffisamment de vitamine D * avec tous les problèmes de santé qui s’ensuivent ( une étude publiée en 2008 dans le journal « Advances in Experimental Medicine ans Biology » explique par ailleurs qu’outre les problèmes osseux comme l’ostéoporose, la carence en vitamine D a de sérieuses conséquences, incluant le risque plus élevé de développer des cancers, des maladies auto-immunes, des infections, et des problèmes cardio-vasculaires).
Concernant le port de lunettes de soleil et leur possible interférence négative avec la synthèse de vitamine D, le débat reste entier. S’il semble certain, en l’état des connaissances actuelles, que la vitamine D est synthétisée à partir du contact du soleil sur la peau (et non de sa pénétration dans l’organisme par les yeux), certains mettent en évidence que cela ne signifie pas pour autant que les yeux ne jouent aucun rôle, étant donné qu’ils agissent comme messagers dans certaines fonctions organiques ; d’autant que certaines personnes témoignent avoir moins de coup de soleils lorsqu’elles ne portent pas de lunettes*.
On sait que 98 % de la lumière qui rentre dans l’organisme pénètre par les yeux (2% par la peau) ; une fois dans le corps elle va suivre deux chemins différents : un trajet supérieur, le trajet visuel, qui nous permet d’y voir, et un trajet inférieur, qui conduit la lumière jusqu’à l’hypothalamus , lequel joue un rôle crucial dans la distribution de la lumière dans le reste de l’organisme (nos cellules fonctionnent grâce à l’oxygène et aux nutriments que nous consommons, mais c’est le contact avec la lumière solaire qui déclenche la production de protéines, la duplication des cellules et leur réparation*.) Donc même si le port trop fréquent de lunettes de soleil en été ne joue pas sur la production de vitamine D, il interviendrait défavorablement sur d’autres fonctions de l’organisme en limitant l’entrée de lumière solaire dans le corps*.
Alors que faire cet été ??? Fuir le soleil ou pas ? Se badigeonner de crème solaire ou pas ? Porter ses lunettes de soleil ou pas ? A chacun de voir... Dans le doute, je vais garder la crème solaire à la plage mais laisser tomber les lunettes, et faire une prise de sang à la rentrée pour voir si ça marche !
*Références :http://assurancedecesgmf.fr/dossiers/articles/comment-ne-pas-subir-de-carence-en-vitamine-d-cet-hiver/
https://www.naturalnews.com/045074_sunshine_mortality_risk_vitamin_D.html
https://www.paleohacks.com/vitamin-d/vitamin-d-and-sunglasses-438
Mise à jour de cet article, été 2022 : bilan perso non pas d'une année mais de deux, sans port de lunettes de soleil et en n'utilisant quasiment pas de crème solaire (sauf les quelques fois où je suis allée à la plage). J'ai fait une prise de sang à la rentrée 2019, une autre à la rentrée 2020 : mon taux de vitamine D était toujours aussi drastiquement bas. Peut-être que les modifications dans l'atmosphère font que le rayonnement solaire ne nous permet plus de fabriquer des quantités normales de vitamine D, même sans protections solaires individuelles ? Quoi qu'il en soit, et même si cette absence de protection solaire a pu avoir sur ma santé des effets positifs que je ne peux pas mesurer, j'ai décidé de me complémenter en vitamine D, de recommencer à protéger mes yeux de l'excès de luminosité en portant des lunettes de soleil, et de mettre tous les jours de la crème solaire sur les parties exposées au soleil quand je suis à l'extérieur. Nouvelle prise de sang à la rentrée 2021 : tout est entré dans l'ordre concernant la vitamine D.
Note : Ces quelques lignes sont juste le témoignage de ce qui s'est passé pour moi concernant l'élimination de protections solaires sur la peau et les yeux, et l'absence d'effets de ces mesures sur ma production de vitamine D ; il n'a aucune valeur d'exemple ou d'incitation à adopter certains comportements, ni dans un sens ni dans l'autre :-)
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Ainsi, selon la tradition chinoise, une personne dont l’élément Feu est équilibré a les idées claires, une parole fluide, et un bel amour de la vie.
Cet élément est associé à l’été et toute action entreprise pour le rééquilibrer durant la saison qui lui correspond est sensée être plus efficace qu’à tout autre moment de l’année (c’est en raison de ce même principe que l’on draine habituellement le foie au printemps, qui est la saison associée à l’élément Bois, correspondant dans le corps humain au foie et à la vésicule biliaire). Juin et juillet sont donc les périodes idéales pour "booster" notre feu : en auto-réflexologie, on peut travailler les zones réflexes du cœur et de l’intestin grêle, une à deux minutes matin et soir sur chaque zone (voir onglet « pratiquer l’auto-réflexologie + auto-réflexo 0 les zones réflexes par ordre alphabétique) pendant plusieurs jours.
La saveur associée à l’élément Feu étant la saveur amère, on peut également ajouter à nos menus quelques aliments auxquels la médecine chinoise attribue cette saveur (blé, épeautre, asperge, laitue, algues, artichaut, céleri, chicorée, endive, pomme, abricot, figue, pamplemousse, porc, tous les poisson, basilic, cardamone, estragon, curcuma, huile de lin, huile de sésame, café, thé, bière) : leur « amertume » loin de nous rendre amers pourrait bien nous aider à garder (ou retrouver) le sourire…
Cet élément est associé à l’été et toute action entreprise pour le rééquilibrer durant la saison qui lui correspond est sensée être plus efficace qu’à tout autre moment de l’année (c’est en raison de ce même principe que l’on draine habituellement le foie au printemps, qui est la saison associée à l’élément Bois, correspondant dans le corps humain au foie et à la vésicule biliaire). Juin et juillet sont donc les périodes idéales pour "booster" notre feu : en auto-réflexologie, on peut travailler les zones réflexes du cœur et de l’intestin grêle, une à deux minutes matin et soir sur chaque zone (voir onglet « pratiquer l’auto-réflexologie + auto-réflexo 0 les zones réflexes par ordre alphabétique) pendant plusieurs jours.
La saveur associée à l’élément Feu étant la saveur amère, on peut également ajouter à nos menus quelques aliments auxquels la médecine chinoise attribue cette saveur (blé, épeautre, asperge, laitue, algues, artichaut, céleri, chicorée, endive, pomme, abricot, figue, pamplemousse, porc, tous les poisson, basilic, cardamone, estragon, curcuma, huile de lin, huile de sésame, café, thé, bière) : leur « amertume » loin de nous rendre amers pourrait bien nous aider à garder (ou retrouver) le sourire…
L’hormone de croissance, ou somatotrophine, est une hormone sécrétée par l’hypophyse et dont la fonction principale est de régénérer nos cellules. Elle agit comme un véritable élixir de jouvence par son rôle important (entre autres) dans la fermeté des tissus, l’élasticité et la souplesse de la peau, la diminution de la graisse surtout au ventre, et la repousse et la coloration des cheveux, mais aussi la vision, l’audition etc.
Son taux de production baisse tout au long de la vie (après un pic pendant l’adolescence), et notre corps la sécrète majoritairement la nuit pendant les phases de sommeil profond (donc au moins 30 minutes après l’endormissement, ce qui exclut les petites siestes) : voilà pourquoi on dit que le manque de sommeil accélère le vieillissement et fait grossir.
Il existe de nombreuses méthodes pour améliorer le sommeil de façon naturelle, et chacun peut chercher celle qui lui convient ; en auto-réflexologie plantaire, travailler :
- les zones réflexes de l’épiphyse* (l’épiphyse sécrète la mélatonine, l’hormone du sommeil),
- et les zones réflexes de l’hypophyse*
- on peut également ajouter les zones réflexes de l'élément Feu selon la médecine chinoise (cœur et intestin grêle*)
*Voir la localisation des zones réflexes : onglet "auto-réflexo 0, les zones réflexes par ordre alphabétique, et l'onglet "comment pratiquer l'auto-réflexologie."
Son taux de production baisse tout au long de la vie (après un pic pendant l’adolescence), et notre corps la sécrète majoritairement la nuit pendant les phases de sommeil profond (donc au moins 30 minutes après l’endormissement, ce qui exclut les petites siestes) : voilà pourquoi on dit que le manque de sommeil accélère le vieillissement et fait grossir.
Il existe de nombreuses méthodes pour améliorer le sommeil de façon naturelle, et chacun peut chercher celle qui lui convient ; en auto-réflexologie plantaire, travailler :
- les zones réflexes de l’épiphyse* (l’épiphyse sécrète la mélatonine, l’hormone du sommeil),
- et les zones réflexes de l’hypophyse*
- on peut également ajouter les zones réflexes de l'élément Feu selon la médecine chinoise (cœur et intestin grêle*)
*Voir la localisation des zones réflexes : onglet "auto-réflexo 0, les zones réflexes par ordre alphabétique, et l'onglet "comment pratiquer l'auto-réflexologie."
1e Quinzaine de Mai
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1 - LA PRATIQUE DES PERCUSSIONS AUGMENTE NOTRE INTUITION ET L'ACTIVITE CEREBRALE :
(…) Lorsque nous jouons des percussions, nous utilisons à la fois l’hémisphère gauche et droit du cerveau. Non seulement notre intuition en bénéficie, mais notre conscience de soi est directement affectée par la création de nouvelles connexions neuronales…et de nouvelles façons de vivre ! (…) [Cette pratique] affecte nos capacités d’apprentissage, en augmentant la taille du cortex auditif et moteur. La répétition du son peut aider à bloquer les tendances du cerveau gauche à continuellement analyser et évaluer les stimuli environnementaux, nous permettant de nous déconnecter momentanément de nos inquiétudes, préoccupations, stress et autres pensées agitées. Une étude réalisée par Barry Quinn, Ph.D., psychologue clinicien spécialisé dans la thérapie neuro-biofeedback pour la gestion du stress, a démontré qu’une brève séance de percussions pouvait DOUBLER l’activité des ondes cérébrales alpha, réduisant considérablement le stress.
2 – JOUER DES PERCUSSIONS REDUIT L’ANXIETE ET LA DEPRESSION
(…)Sincèrement, après avoir pris un tambour pendant seulement quelques instants, je remarque que mon énergie augmente ! Je me sens plus éveillée et vivante, dans le moment présent ! Pourquoi cela ? Faire des percussions favorise la production d’endorphine et d’opiacés endogènes, qui sont des analgésiques internes analogues à la morphine et nous aident dans le contrôle de la douleur. Jouer du tambour améliore donc notre humeur et libère dans notre organisme les endorphines de la joie. Et la joie est une des clés d’une belle vie !
3 – JOUER DES PERCUSSIONS ACTIVE LE CERVEAU COMME RIEN D’AUTRE !
Les percussions tendent à augmenter la production d’ondes cérébrales Alpha, qui nous aident chimiquement à entrer dans un état modifié de conscience extrêmement détendu. Lorsque nous répétons un rythme pendant un long moment, nous pouvons atteindre un espace d’ « entraînement » - un état de conscience altéré. J’aime jouer un rythme simple pendant un long moment, et faire l’expérience de la médecine de l’entraînement. C’est une chose facile à expérimenter : jouez un rythme pendant quelques minutes, et remarquez comment vous vous sentez. Avec le tambour, nous utilisons nos mains droite et gauche ce qui active les hémisphères droit et gauche du cerveau. Cette action permet la production de dopamine –une hormone du bonheur- et agit aussi sur notre cerveau comme de l’huile de foie de poisson et nous rend plus intelligent ! C’est pourquoi les percussions sont utilisées comme thérapie complémentaire pour aider des patients souffrant de dépression, de Parkinson, ou de maladie d’Alzheimer (…)
ESSAYEZ MAINTENANT : Prenez un tambour et jouez, remarquez comment votre humeur change presque immédiatement (les percussionnistes débutants qui n’ont pas de tambour peuvent essayer sur un livre ou une boîte, c’est le genre d’objet que nous avons tous).
4 – JOUER DES PERCUSSIONS REDUIT LE STRESS, ET CALME LE CORPS, L’AME ET L’ESPRIT
Si vous souffrez de stress ou d’épuisement professionnel, jouer du tambour est parfait pour retrouver du tonus sainement. C’est une pratique bénéfique pour nos états émotionnels et mentaux, sans oublier que c’est tout simplement amusant ! La pratique des percussions réduit le stress et la pression artérielle, ce qui en retour nous aide à nous détendre ET renforce le système immunitaire. Elle nous aide aussi à améliorer nos capacités de concentration et procure de la clarté mentale, de façon très similaire à la méditation assise traditionnelle.
Vous pourrez lire en suivant ce lien (https://remo.com/experience/post/impact-on-the-immune-system-study/) une étude merveilleuse réalisée par le Dr Bittman sur les effets de la pratique des percussions sur le système immunitaire. (…)
Il n’y a rien de mieux que les percussions pour procurer un sentiment de force intérieure et de connexion à soi-même.
Voici donc quelques-uns des avantages à jouer des percussions. Mais ne vous contentez pas de lire mes mots, éprouvez cette sensation ! Choisissez un tambour et débutez votre pratique ! Commencez par jouer 5 minutes par jour (tout le monde à 5 minutes !) Je pratique les percussions pour trouver la paix intérieure, un lieu où laisser voler mon âme. Le tambour est comme un meilleur ami, toujours là pour moi, un soutien indéfectible. Jouer des percussions est un outil et une ressource incroyable pour notre vie, une dépendance saine, un excellent substitut aux dépendances nocives. Essayez les percussions, cela pourrait bien changer votre vie, ça a certainement changé la mienne !
Joyeuses percussions,
Marla »
Lien vers une autre vidéo disponible sur sa page Facebook :
https://www.facebook.com/MarlaLeighMusic/videos/vl.1370669359683191/2176490575701859/?type=1&theater
Et vers une vidéo YouTube qui montre le travail de ses élèves :
https://www.youtube.com/watch?v=9AYrVCPiohE
2e Quinzaine d'Avril 2019
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Et oui, les beaux jours nous font pousser des ailes ; alors voici quelques suggestions pour faire du bien au foie et à la vésicule biliaire et libérer notre créativité…
-Boire un jus de citron dans de l’eau chaude, à jeun, au réveil, tous les matins pendant 10 jours ; attendre au moins 15 minutes puis prendre son petit-déjeuner habituel.
-Travailler les Zones réflexes du Foie et de la Vésicule biliaire pendant 10 jours, 1 minute matin et soir, en alternant éventuellement une fois sur les pieds et la fois suivante sur les mains (= réflexologie palmaire, voir photo), pour ne pas abîmer les tissus.
-Ajouter un aliment de saveur acide à chaque repas pendant une dizaine de jours ; ces aliments sont, selon la tradition chinoise : grenade, kaki, prune, pamplemousse, groseille, citron, fraise, rhubarbe, abricot, ananas, cassis, pêche, poire, poireau, tomate, vinaigre, vin, cidre, mouton, agneau, faisan, poulet, fromage, yaourt, pain au levain, graines de sésame.
Attention ! La médecine chinoise déconseille de « drainer » son foie à l’aveuglette avec des plantes à l’action violente comme le radis noir. Outre le fait que les méthodes « fortes » peuvent créer des dégâts collatéraux sur d’autres organes (comme les reins ou la rate en l’occurrence) s'il se trouve qu'à ce moment-là le foie est vraiment fatigué le remède sera pire que le mal : on ne draine pas un foie fatigué, on le régénère d’abord. Préférer les méthodes douces indiquées ci-dessus.
Et maintenant que le foie et la vésicule ont retrouvé leur équilibre, il n'y à plus qu'à laisser notre artiste intérieur s’exprimer !
-Boire un jus de citron dans de l’eau chaude, à jeun, au réveil, tous les matins pendant 10 jours ; attendre au moins 15 minutes puis prendre son petit-déjeuner habituel.
-Travailler les Zones réflexes du Foie et de la Vésicule biliaire pendant 10 jours, 1 minute matin et soir, en alternant éventuellement une fois sur les pieds et la fois suivante sur les mains (= réflexologie palmaire, voir photo), pour ne pas abîmer les tissus.
-Ajouter un aliment de saveur acide à chaque repas pendant une dizaine de jours ; ces aliments sont, selon la tradition chinoise : grenade, kaki, prune, pamplemousse, groseille, citron, fraise, rhubarbe, abricot, ananas, cassis, pêche, poire, poireau, tomate, vinaigre, vin, cidre, mouton, agneau, faisan, poulet, fromage, yaourt, pain au levain, graines de sésame.
Attention ! La médecine chinoise déconseille de « drainer » son foie à l’aveuglette avec des plantes à l’action violente comme le radis noir. Outre le fait que les méthodes « fortes » peuvent créer des dégâts collatéraux sur d’autres organes (comme les reins ou la rate en l’occurrence) s'il se trouve qu'à ce moment-là le foie est vraiment fatigué le remède sera pire que le mal : on ne draine pas un foie fatigué, on le régénère d’abord. Préférer les méthodes douces indiquées ci-dessus.
Et maintenant que le foie et la vésicule ont retrouvé leur équilibre, il n'y à plus qu'à laisser notre artiste intérieur s’exprimer !
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On pourrait croire que les deux seuls organes de notre organisme équipés de cônes (pour capter les couleurs) et de bâtonnets (pour capter la lumière) sont nos deux yeux. Erreur ! L’hypophyse en est également dotée. Pour voir quoi ? On se le demande, puisqu’il s’agit d’une glande de la taille d’un grain de raisin située peu ou prou au centre du cerveau… Cependant, la sagesse millénaire ayurvédique ne s’y était pas trompée, qui, sans microscopes électroniques pour en vérifier les composants, avait appelé cette glande « le 3e œil ».
Siège de l’intuition pour les uns, glande dirigeant la quasi-totalité de la production hormonale pour les autres, l’un n’excluant pas l’autre, il vaut mieux en prendre soin. Et qui refuserait d’améliorer en un seul geste à la fois son équilibre hormonal et son 6e sens (accros à l’Euro-million, c'est pour vous) ? La zone réflexe de l’hypophyse se situe sur la tranche du gros orteil, un peu au-dessous de l’ongle.
Siège de l’intuition pour les uns, glande dirigeant la quasi-totalité de la production hormonale pour les autres, l’un n’excluant pas l’autre, il vaut mieux en prendre soin. Et qui refuserait d’améliorer en un seul geste à la fois son équilibre hormonal et son 6e sens (accros à l’Euro-million, c'est pour vous) ? La zone réflexe de l’hypophyse se situe sur la tranche du gros orteil, un peu au-dessous de l’ongle.
Excellente source de phosphore et de calcium (particulièrement utile aux personnes qui ne consomment pas de laitages et aux végans), le sésame -à servir en graines grillées sur les salades et les gratins, et sous forme d’huile en assaisonnement - est également riche en antioxydants : vitamine E (pouvant aussi jouer un rôle dans la prévention du cancer et des maladies cardiovasculaires, études en cours) et sésamine (utile notamment pour la diminution du mauvais cholestérol).
Le tahin ou tahini (purée de sésame, en vente pour quelques euros dans les magasins bio) permet de faire de délicieuses sauces pour salade, de donner une légère pointe d’amertume à l’houmous (mixer une cuillérée à soupe de tahin avec des pois chiches et le jus d’un demi-citron, saler et poivrer selon le goût, à tartiner sur du pain au sarrasin pour l’apéro) et de fabriquer un masque exfoliant absolument incroyable pour toutes les peaux, y compris pour affiner sans les agresser les peaux matures qui s’épaississent en raison d’un moindre renouvellement cellulaire (les cellules mortes s’accumulent au bord des pores, donnant un effet pores dilatés sur une peau cependant sèche) :
Recette du masque exfoliant au tahin : mélanger une cuillerée à soupe de tahin à quelques pincées de sel fin bio. Etaler sur le visage, laisser agir quelques minutes puis frotter doucement pour obtenir un effet gommage et rincer. Comme on ne devrait jamais mettre sur notre peau ce que l’on ne pourrait pas mettre dans notre assiette (en effet, ¼ d’heure après on retrouve des composants de nos produits de beauté dans la circulation sanguine), on peut faire suivre le masque/gommage au tahin d’un petit massage nourrissant et hydratant à l’huile de coco. Peau douce et fine garantie ! Si c’est avant le coucher, bien essuyer la graisse de coco des paupières inférieures, sous peine d’avoir les yeux gonflés au réveil.
Par ailleurs, l’huile de sésame utilisée pour la cuisine est également prisée pour les massages ayurvédiques qui ont lieu l’hiver, car elle a la réputation de « nourrir et réchauffer les os ».
En auto-réflexo :
Pour le métabolisme des ions calcium = Zones Réflexes des reins et des parathyroïdes
Pour ralentir le vieillissement : Zones Réflexes des Reins et de la Vessie
Pour la qualité de la peau : Zones Réflexes des poumons et du colon.
Le tahin ou tahini (purée de sésame, en vente pour quelques euros dans les magasins bio) permet de faire de délicieuses sauces pour salade, de donner une légère pointe d’amertume à l’houmous (mixer une cuillérée à soupe de tahin avec des pois chiches et le jus d’un demi-citron, saler et poivrer selon le goût, à tartiner sur du pain au sarrasin pour l’apéro) et de fabriquer un masque exfoliant absolument incroyable pour toutes les peaux, y compris pour affiner sans les agresser les peaux matures qui s’épaississent en raison d’un moindre renouvellement cellulaire (les cellules mortes s’accumulent au bord des pores, donnant un effet pores dilatés sur une peau cependant sèche) :
Recette du masque exfoliant au tahin : mélanger une cuillerée à soupe de tahin à quelques pincées de sel fin bio. Etaler sur le visage, laisser agir quelques minutes puis frotter doucement pour obtenir un effet gommage et rincer. Comme on ne devrait jamais mettre sur notre peau ce que l’on ne pourrait pas mettre dans notre assiette (en effet, ¼ d’heure après on retrouve des composants de nos produits de beauté dans la circulation sanguine), on peut faire suivre le masque/gommage au tahin d’un petit massage nourrissant et hydratant à l’huile de coco. Peau douce et fine garantie ! Si c’est avant le coucher, bien essuyer la graisse de coco des paupières inférieures, sous peine d’avoir les yeux gonflés au réveil.
Par ailleurs, l’huile de sésame utilisée pour la cuisine est également prisée pour les massages ayurvédiques qui ont lieu l’hiver, car elle a la réputation de « nourrir et réchauffer les os ».
En auto-réflexo :
Pour le métabolisme des ions calcium = Zones Réflexes des reins et des parathyroïdes
Pour ralentir le vieillissement : Zones Réflexes des Reins et de la Vessie
Pour la qualité de la peau : Zones Réflexes des poumons et du colon.
Pour nous aider à faire face aux moments difficiles, tant physiquement que moralement, les plantes adaptogènes (souvent des plantes utilisées en herboristerie depuis l’Antiquité) font actuellement une percée remarquée. Les adaptogènes sont des plantes non toxiques utilisées pour aider le corps à résister aux agents de stress de toute sorte : physiques, chimiques ou biologiques. Les plus connues sont le maca, le cordyceps, l’éleuthère, le tulsi, le rhodiola, et bien sûr l’ashwaganda. Une de mes amies, [qui souhaite rester anonyme ;-) ], a justement testé cette plante et nous fait part de ses remarques :
« J’ai profité d’une période de stress physique et émotionnel pour découvrir une plante ayurvédique fort connue en Inde, l’ashwagandha (Withania Somnifera de son nom latin). L’avantage de cette plante est de permettre une récupération sans effet tonifiant contrairement au ginseng ou au maca. Au début, du fait de l’effet relaxant qu’elle produit, on peut sentir la fatigue ressortir avec un besoin de dormir plus important. Mais c’est là son intérêt : nous permettre de récupérer profondément d’une fatigue accumulée depuis longtemps alors que la vie moderne nous pousse plutôt à puiser toujours plus dans nos réserves, mettant ainsi en danger notre santé sur le long terme.
Cette plante de la famille des Solanacées peut se cultiver sous nos latitudes si l’on souhaite en maîtriser parfaitement la production. Sinon il faut souvent la commander sur internet car elle est rare dans les magasins bios et les pharmacies. Préférer toujours une certification bio sauf si l’on a toute confiance dans le laboratoire qui la vend en ligne. Avec elle on obtient à la fois un effet sur la fatigue physique et mentale, mais aussi une récupération psychique si l’on a vécu des moments difficiles et une action sur le sommeil. Certains préconisent de la prendre 3 semaines suivies d’une semaine d’arrêt avant de la reprendre à nouveau pour 3 semaines et ainsi de suite. C’est une approche prudente si l’on n’en a jamais pris bien qu’on ne lui connaisse pas de réputation d’accoutumance ou d’effets secondaires. Dans tous les cas, faire une pause dans le traitement permet de constater plus clairement ses effets sur nous."
Attention : l’ashwagandha peut stimuler la glande thyroïde, donc ne pas l’utiliser en cas de thyroïde hyper active ; il s'agit ici -comme toujours- d'un simple partage d'informations qui ne se substitue en aucun cas à un avis médical, et de manière générale il est toujours préférable de parler à son médecin traitant avant de prendre des compléments alimentaires.
« J’ai profité d’une période de stress physique et émotionnel pour découvrir une plante ayurvédique fort connue en Inde, l’ashwagandha (Withania Somnifera de son nom latin). L’avantage de cette plante est de permettre une récupération sans effet tonifiant contrairement au ginseng ou au maca. Au début, du fait de l’effet relaxant qu’elle produit, on peut sentir la fatigue ressortir avec un besoin de dormir plus important. Mais c’est là son intérêt : nous permettre de récupérer profondément d’une fatigue accumulée depuis longtemps alors que la vie moderne nous pousse plutôt à puiser toujours plus dans nos réserves, mettant ainsi en danger notre santé sur le long terme.
Cette plante de la famille des Solanacées peut se cultiver sous nos latitudes si l’on souhaite en maîtriser parfaitement la production. Sinon il faut souvent la commander sur internet car elle est rare dans les magasins bios et les pharmacies. Préférer toujours une certification bio sauf si l’on a toute confiance dans le laboratoire qui la vend en ligne. Avec elle on obtient à la fois un effet sur la fatigue physique et mentale, mais aussi une récupération psychique si l’on a vécu des moments difficiles et une action sur le sommeil. Certains préconisent de la prendre 3 semaines suivies d’une semaine d’arrêt avant de la reprendre à nouveau pour 3 semaines et ainsi de suite. C’est une approche prudente si l’on n’en a jamais pris bien qu’on ne lui connaisse pas de réputation d’accoutumance ou d’effets secondaires. Dans tous les cas, faire une pause dans le traitement permet de constater plus clairement ses effets sur nous."
Attention : l’ashwagandha peut stimuler la glande thyroïde, donc ne pas l’utiliser en cas de thyroïde hyper active ; il s'agit ici -comme toujours- d'un simple partage d'informations qui ne se substitue en aucun cas à un avis médical, et de manière générale il est toujours préférable de parler à son médecin traitant avant de prendre des compléments alimentaires.
La première cause avérée de pollution, de réchauffement climatique, de déforestation etc., bien loin devant les transports, l’industrialisation et le chauffage, est la consommation quotidienne de viande par la population des pays industrialisés. Plus de 51% de la pollution vient de l’élevage, même si cette raison est rarement évoquée par les associations écologiques de crainte de voir leurs adhérents s’éloigner ou de perdre certains de leurs financements qui viennent des producteurs de viande: c’est ce que l’on apprend en visionnant « Cowspiracy, le secret du développement durable », un documentaire produit et réalisé par Kip Andersen en 2014, truffé d’informations précises et très motivant pour changer nos comportements alimentaires. Par ex : la consommation d’eau quotidienne par une personne passe à 5 500 litres le jour où elle mange un hamburger (fermer le robinet quand on se lave les dents paraît d’un coup un peu dérisoire) ; il faut 800 m2 de terre pour nourrir un végétalien pendant un an, trois fois plus pour nourrir un végétarien, et 18 fois plus (14 400 m2) pour nourrir pendant un an quelqu’un qui mange régulièrement de la viande : nous pourrions donc être 6 fois plus de personnes sur Terre (donc 36 milliards d’êtres humains, ça laisse de la marge) sans même changer notre niveau de vie actuel simplement en devenant végétariens. Ce qui fait dire à l'auteur que ce n’est pas le nombre d’habitants sur notre planète mais le régime alimentaire d’une partie d’entre eux qui fait craindre la surpopulation planétaire à court terme.
Lien pour visionner le documentaire sous-titré en français :
https://www.youtube.com/watch?v=BAcb4-kYU10
Coup de pouce auto-réflexologique pour éliminer les toxines: travailler régulièrement les zones réflexes de l’élément Bois (à savoir le Foie et la Vésicule Biliaire), celles de l’élément Eau (reins et vessie) et celles de l’élément Métal (poumons et côlon). Pour plus de précisions, voir les fiches « l’auto-réflexologie » et « Auto-réflexo 0 : les zones réflexes par ordre alphabétique ».
Lien pour visionner le documentaire sous-titré en français :
https://www.youtube.com/watch?v=BAcb4-kYU10
Coup de pouce auto-réflexologique pour éliminer les toxines: travailler régulièrement les zones réflexes de l’élément Bois (à savoir le Foie et la Vésicule Biliaire), celles de l’élément Eau (reins et vessie) et celles de l’élément Métal (poumons et côlon). Pour plus de précisions, voir les fiches « l’auto-réflexologie » et « Auto-réflexo 0 : les zones réflexes par ordre alphabétique ».
Les bains sont utilisés depuis des siècles comme adjuvants thérapeutiques (soulagement des tensions, amélioration du sommeil) ou spirituels (purification physique et symbolique) ; ici il s’agit d’associer l’aromathérapie, la phytothérapie et même la lithothérapie en ajoutant à l’eau du bain des sels d’Epsom ou de l’Himalaya, quelques gouttes d’huiles essentielles, des pétales de fleurs ou des plantes médicinales, et de placer un ou plusieurs cristaux (quartz rose, améthyste, œil de tigre, etc.) au fond de la baignoire. Pour ceux qui n’en ont pas, Deborah Hanekamp (thérapeute américaine qui conseille systématiquement à ses client(e)s la pratique des bains rituels, établissant une formule sur mesure pour chacun(e) en fonction des besoins identifiés au cours de la séance thérapeutique https://www.mamamedicine.nyc) suggère de faire au moins des bains de pieds. Voici deux des recettes qu’elle préconise pour favoriser un travail sur soi et une recette pour la relaxation, et dont vous pourrez accentuer et prolonger les bienfaits en les faisant suivre d’une petite séance d’auto-réflexologie (voir « auto-réflexo 0 : les Zone réflexes par ordre alphabétique » pour la localisation des zones):
1) Pour méditer sur son passé afin de comprendre certains patterns répétitifs : des tranches d’orange, des feuilles de basilic frais, des baies de sureau, une tasse de sels d’Epsom, quelques gouttes d’huile essentielle de patchouli, quelques gouttes d’huile essentielle d’orange douce. Rester dans l’eau une vingtaine de minutes et s’immerger totalement à plusieurs reprises. Après le bain, Deborah Hanekamp suggère d’écrire sur son journal toutes les pensées et associations qui nous viennent. Pour la petite séance d’auto-réflexologie qui suivra : zones réflexes de l’élément Eau, c’est-à-dire les reins, la vessie, et les organes génitaux : en effet, en médecine chinoise l’élément Eau est associé au passé, à la vie intra-utérine, et à ce que nous Occidentaux appelons l’inconscient.
2) Pour travailler sur le féminin en soi : un cristal de quartz rose ; des pétales de rose rose, du romarin frais, 10 gouttes d’huile essentielle de rose, 10 gouttes d’huile essentielle de romarin, une tasse de sel rose de l’Himalaya. Rester une vingtaine de minutes dans l’eau en s’immergeant entièrement à plusieurs reprises. Après le bain : masser en profondeur les zones réflexes de l’élément Terre (Rate, Estomac, Pancréas), car dans la tradition chinoise la Terre est yin par rapport au ciel qui est yang et incarne donc le féminin, et parce que c’est l’élément qui correspond au centre, à la connaissance de soi et à l’ancrage + les zones réflexes des organes génitaux.
3) Pour se détendre profondément en fin de journée : des fleurs de calendula, de l’eucalyptus et des pétales de rose, frais ou secs ; des sels d’Epsom ; de l’infusion d’orties, quelques gouttes d’huile essentielle d’encens oliban, du cristal de roche. En auto-réflexologie, après le bain : les zones réflexes du diaphragme et du plexus solaire font des merveilles. En cas de stress très important : zones réflexes des surrénales et de l’hypophyse, mais ces zones pouvant être très douloureuses il peut être préférable, dans ce cas, de commencer par l’auto-réflexo et de prendre le bain ensuite.
1) Pour méditer sur son passé afin de comprendre certains patterns répétitifs : des tranches d’orange, des feuilles de basilic frais, des baies de sureau, une tasse de sels d’Epsom, quelques gouttes d’huile essentielle de patchouli, quelques gouttes d’huile essentielle d’orange douce. Rester dans l’eau une vingtaine de minutes et s’immerger totalement à plusieurs reprises. Après le bain, Deborah Hanekamp suggère d’écrire sur son journal toutes les pensées et associations qui nous viennent. Pour la petite séance d’auto-réflexologie qui suivra : zones réflexes de l’élément Eau, c’est-à-dire les reins, la vessie, et les organes génitaux : en effet, en médecine chinoise l’élément Eau est associé au passé, à la vie intra-utérine, et à ce que nous Occidentaux appelons l’inconscient.
2) Pour travailler sur le féminin en soi : un cristal de quartz rose ; des pétales de rose rose, du romarin frais, 10 gouttes d’huile essentielle de rose, 10 gouttes d’huile essentielle de romarin, une tasse de sel rose de l’Himalaya. Rester une vingtaine de minutes dans l’eau en s’immergeant entièrement à plusieurs reprises. Après le bain : masser en profondeur les zones réflexes de l’élément Terre (Rate, Estomac, Pancréas), car dans la tradition chinoise la Terre est yin par rapport au ciel qui est yang et incarne donc le féminin, et parce que c’est l’élément qui correspond au centre, à la connaissance de soi et à l’ancrage + les zones réflexes des organes génitaux.
3) Pour se détendre profondément en fin de journée : des fleurs de calendula, de l’eucalyptus et des pétales de rose, frais ou secs ; des sels d’Epsom ; de l’infusion d’orties, quelques gouttes d’huile essentielle d’encens oliban, du cristal de roche. En auto-réflexologie, après le bain : les zones réflexes du diaphragme et du plexus solaire font des merveilles. En cas de stress très important : zones réflexes des surrénales et de l’hypophyse, mais ces zones pouvant être très douloureuses il peut être préférable, dans ce cas, de commencer par l’auto-réflexo et de prendre le bain ensuite.
Nos narines inhalent environ 10 000 litres d’air par jour, le réchauffent et le filtrent avant qu’il n’arrive dans les poumons, puis le rejettent. Lorsqu’elles sont bouchées, il nous faut respirer par la bouche, et dans ce cas-là l’air qui rentre n’est ni réchauffé ni filtré, ce qui est nettement moins bon pour la santé. Par ailleurs, comme c’est la même paire de nerfs crâniens qui s’occupe à la fois du goût et de l’odorat, lorsque le nez est bouché nous perdons aussi la saveur des aliments et, ne sentant plus que la consistance de la nourriture, notre appétit diminue fortement.
Les civilisations anciennes ont toujours pris un soin particulier du nez. En ayurvéda –la médecine multimillénaire indienne- par exemple, il est conseillé de faire un nettoyage nasal chaque matin, le jala neti, afin d’éviter les rhumes et de renforcer toute la sphère ORL mais aussi afin de clarifier le mental (d’où –peut-être- l’expression « avoir du nez » ou « avoir le nez fin » pour parler d’une personne dont le 6e sens est particulièrement fiable!) Il s’agit de mélanger de l’eau bouillie (qu’on laisse tiédir) et du sel de l’Himalaya dans un petit pot appelé neti, et d’en verser le contenu dans une narine puis dans l’autre (penché, la tête de côté, sur un lavabo, puisque l’eau introduite dans une narine va ressortir par l’autre), ensuite de se moucher, et enfin d’enduire l’entrée des narines d’un peu d’huile de sésame.
En auto-réflexologie plantaire : pour maintenir son système respiratoire au top pendant l’hiver, travailler régulièrement les zones réflexes des poumons, des narines, des sinus et de la 1e paire de nerfs crâniens (3e phalange du 2e orteil, sur chaque pied). Voir photos des zones réflexes sur l’onglet « auto-réflexo 0 ».
Une fois que l’on entend parler de la vitamine B17 (contenue en grande quantité dans les amandes amères d’abricot) on se rend compte avec stupéfaction qu’abondent sur internet les témoignages et études cliniques menées par des médecins du monde entier montrant son succès dans le traitement de cancers même en phase terminale. Selon ces témoignages, certains malades consomment directement 8 à 10 amandes amères de noyaux d’abricots par jour (tous les abricots ne conviennent pas, il faut qu’ils produisent des amandes amères, donc, je suppose, que ce soient des abricotiers sauvages), d’autres prennent de la vitamine B17 en gélules. Une clinique allemande à Kehl l’administre même par perfusion.
En raison de l’abondance d’études plus précises, je ne m’attarderai ni sur l’historique de la découverte (à sa base : l’intérêt provoqué chez certains médecins et chercheurs, à partir des années 20, par un peuple du nord du Pakistan qui ne connaissait pas le cancer, les Hounzas, et qui avait la particularité de consommer fréquemment les amandes amères des noyaux d’abricot) ni sur ses aspects scientifiques (en très gros : seules les cellules saines contiennent du rhodanèse, une enzyme capable de dégrader le cyanure contenu dans les noyaux d’abricot amers. Les cellules cancéreuses, elles, ne peuvent lutter contre ce poison et sont détruites, de sorte que la vitamine B17 agirait comme une chimio ciblée n'atteignant que les cellules cancéreuses).
Je souhaiterais simplement dire comment j’ai appris son existence: une de mes clientes a appris par son oncologue, après plusieurs chimios, qu’il n’y avait malheureusement plus rien à faire, et qu'il pouvait tout juste lui prescrire une dernière chimiothérapie non pour la soigner, mais pour soulager les douleurs. Lorsqu'elle en a parlé à sa médecin généraliste, cette dernière lui a alors dit qu'un de ses clients avait totalement guéri d’un cancer généralisé en phase terminale (pronostic vital engagé à court terme)- en prenant des amandes amères d’abricot sauvage.
Ce monsieur ayant accepté que la généraliste communique ses coordonnées, m’a cliente l’a appelé. Elle a entendu son témoignage (Après avoir appris que pour lui c'était la fin, commande en Angleterre d'une boîte de gélules de vitamine B17 dont sa femme avait entendu parler, et amélioration de son état de santé. Deux ans plus tard toute trace de marqueurs du cancer avait disparu de ses analyses ; âgé aujourd’hui de 80 ans, il se trouve en pleine forme) et elle a commandé de la vitamine B17.
En raison de l’abondance d’études plus précises, je ne m’attarderai ni sur l’historique de la découverte (à sa base : l’intérêt provoqué chez certains médecins et chercheurs, à partir des années 20, par un peuple du nord du Pakistan qui ne connaissait pas le cancer, les Hounzas, et qui avait la particularité de consommer fréquemment les amandes amères des noyaux d’abricot) ni sur ses aspects scientifiques (en très gros : seules les cellules saines contiennent du rhodanèse, une enzyme capable de dégrader le cyanure contenu dans les noyaux d’abricot amers. Les cellules cancéreuses, elles, ne peuvent lutter contre ce poison et sont détruites, de sorte que la vitamine B17 agirait comme une chimio ciblée n'atteignant que les cellules cancéreuses).
Je souhaiterais simplement dire comment j’ai appris son existence: une de mes clientes a appris par son oncologue, après plusieurs chimios, qu’il n’y avait malheureusement plus rien à faire, et qu'il pouvait tout juste lui prescrire une dernière chimiothérapie non pour la soigner, mais pour soulager les douleurs. Lorsqu'elle en a parlé à sa médecin généraliste, cette dernière lui a alors dit qu'un de ses clients avait totalement guéri d’un cancer généralisé en phase terminale (pronostic vital engagé à court terme)- en prenant des amandes amères d’abricot sauvage.
Ce monsieur ayant accepté que la généraliste communique ses coordonnées, m’a cliente l’a appelé. Elle a entendu son témoignage (Après avoir appris que pour lui c'était la fin, commande en Angleterre d'une boîte de gélules de vitamine B17 dont sa femme avait entendu parler, et amélioration de son état de santé. Deux ans plus tard toute trace de marqueurs du cancer avait disparu de ses analyses ; âgé aujourd’hui de 80 ans, il se trouve en pleine forme) et elle a commandé de la vitamine B17.