Les intolérances alimentaires, ou allergies de type III.
Résumé de la vidéo de Marcel Rony, suivi de conseils pour un "coup de pouce réflexologique"
Voici le résumé que j’ai fait d’une vidéo de Marcel Bony, responsable d’R-Biopharm en France, sur les intolérances alimentaires (ou allergies de type III). Ce scientifique travaille pour un laboratoire allemand qui a mis en place une batterie de tests sanguins destinés à repérer les intolérances alimentaires (ils sont sensibles à un taux d'anticorps inférieur à celui qui correspond aux allergies). Vous pouvez voir la vidéo sur Youtube à l’adresse suivante :
http://www.youtube.com/watch?v=qJF_Vu7Uh7g
Les intolérances alimentaires (appelées aussi allergies de type 3) sont des formes d’allergies plus diffuses que les allergies véritables (lesquelles vont s’exprimer immédiatement sous des formes malheureusement violentes), et sont plus difficilement repérables dans la mesure où elles vont provoquer des symptômes qui peuvent se manifester jusqu’à plusieurs jours (parfois 4 ou plus) après l’ingestion de l’aliment responsable.
Les symptômes sont liés au phénomène de la digestion de l’aliment et vont s’exprimer différemment selon la personne, leur caractéristique commune étant qu’ils vont tous être le résultat d’une inflammation ; cette inflammation peut être localisée au niveau de la peau, ou bien prendre la forme de ballonnements, de problèmes respiratoire comme l’asthme, de problèmes articulaires…Derrière cela il y a une mécanique du corps centrée sur l’intestin grêle : au fil du temps la consommation du (ou le plus souvent des) aliment(s) responsable(s) va installer une porosité au niveau de l’intestin grêle, porosité qui va permettre le passage dans la circulation sanguine de fragments d’aliments imparfaitement digérés. Face à ces aliments qui ne sont pas présentés sous la forme (totalement digérée) qu’ils devraient avoir, le corps va réagir en mettant en route son système immunitaire, lequel va travailler et aller jusqu’à l’inflammation (ce qui se mesure avec le test : le test mesure les anticorps spécifiques dirigés contre certains aliments ; ainsi la prise de sang peut révéler qu’il y a dans notre organisme des anticorps dirigés contre la banane, la vanille, etc.). Il peut y avoir des circonstances déclenchantes, comme un stress, ou la consommation de médicaments, mais dans tous les cas une intolérance alimentaire ne se développe jamais sur une consommation ponctuelle, elle est toujours liée à une certaine chronicité de la consommation de l’aliment.
En outre, l’inflammation entraîne aussi de la rétention d’eau, ce qui peut expliquer des problèmes de poids, chez des personnes qui continuent à grossir alors qu’elles ne mangent pourtant pas beaucoup et suivent même, parfois, des régimes hypocaloriques.
La réponse sera l’exclusion de l’aliment, pendant une période plus ou moins longue selon le niveau d’intolérance (il y a différents indices, qui vont de 1 à 4). Lorsqu’on exclut l’aliment, on arrête « l’origine du feu », en arrêtant cette exposition quotidienne, le « feu » ne sera plus alimenté, et la porosité intestinale va se corriger. On n’agit pas au niveau des symptômes, mais au niveau de la cause. Les résultats ne se font pas attendre : l’amélioration survient très vite, souvent dans la semaine. Les cas les plus spectaculaires sont ceux de migraine chronique et d’eczéma. Les aliments qui « sortent » le plus souvent dans les tests sont ceux qui contiennent du gluten ou des produits laitiers.
(Résumé de la vidéo de Marcel Bony, responsable d’R-Biopharm en France, « Intolérance alimentaire, allergie de type III »).
http://www.youtube.com/watch?v=qJF_Vu7Uh7g
Les intolérances alimentaires (appelées aussi allergies de type 3) sont des formes d’allergies plus diffuses que les allergies véritables (lesquelles vont s’exprimer immédiatement sous des formes malheureusement violentes), et sont plus difficilement repérables dans la mesure où elles vont provoquer des symptômes qui peuvent se manifester jusqu’à plusieurs jours (parfois 4 ou plus) après l’ingestion de l’aliment responsable.
Les symptômes sont liés au phénomène de la digestion de l’aliment et vont s’exprimer différemment selon la personne, leur caractéristique commune étant qu’ils vont tous être le résultat d’une inflammation ; cette inflammation peut être localisée au niveau de la peau, ou bien prendre la forme de ballonnements, de problèmes respiratoire comme l’asthme, de problèmes articulaires…Derrière cela il y a une mécanique du corps centrée sur l’intestin grêle : au fil du temps la consommation du (ou le plus souvent des) aliment(s) responsable(s) va installer une porosité au niveau de l’intestin grêle, porosité qui va permettre le passage dans la circulation sanguine de fragments d’aliments imparfaitement digérés. Face à ces aliments qui ne sont pas présentés sous la forme (totalement digérée) qu’ils devraient avoir, le corps va réagir en mettant en route son système immunitaire, lequel va travailler et aller jusqu’à l’inflammation (ce qui se mesure avec le test : le test mesure les anticorps spécifiques dirigés contre certains aliments ; ainsi la prise de sang peut révéler qu’il y a dans notre organisme des anticorps dirigés contre la banane, la vanille, etc.). Il peut y avoir des circonstances déclenchantes, comme un stress, ou la consommation de médicaments, mais dans tous les cas une intolérance alimentaire ne se développe jamais sur une consommation ponctuelle, elle est toujours liée à une certaine chronicité de la consommation de l’aliment.
En outre, l’inflammation entraîne aussi de la rétention d’eau, ce qui peut expliquer des problèmes de poids, chez des personnes qui continuent à grossir alors qu’elles ne mangent pourtant pas beaucoup et suivent même, parfois, des régimes hypocaloriques.
La réponse sera l’exclusion de l’aliment, pendant une période plus ou moins longue selon le niveau d’intolérance (il y a différents indices, qui vont de 1 à 4). Lorsqu’on exclut l’aliment, on arrête « l’origine du feu », en arrêtant cette exposition quotidienne, le « feu » ne sera plus alimenté, et la porosité intestinale va se corriger. On n’agit pas au niveau des symptômes, mais au niveau de la cause. Les résultats ne se font pas attendre : l’amélioration survient très vite, souvent dans la semaine. Les cas les plus spectaculaires sont ceux de migraine chronique et d’eczéma. Les aliments qui « sortent » le plus souvent dans les tests sont ceux qui contiennent du gluten ou des produits laitiers.
(Résumé de la vidéo de Marcel Bony, responsable d’R-Biopharm en France, « Intolérance alimentaire, allergie de type III »).
.
2) La zone réflexe du thymus
(sur les deux pieds)
(sur les deux pieds)
Caty Quidu, Réflexologue, 84000 Avignon - 30170 St Hippolyte du Fort - 06 58 01 59 03 -
Précautions : Ne pas rester sur une même zone plus d’une ou deux minutes. Contre-indications : phlébite, goutte, début de grossesse, artério et athérosclérose. Les informations données ci-dessus visent au bien-être et ne se substituent en aucun cas à une consultation chez un médecin.